Ha que des fois j'aimerais me retrouver ailleurs, loin et fuir toute les reponsabilités. Je ne le ferai pas pour l'amour de ma fille. J'ai toujours eue de la difficulté avec ma fille au niveau de l'autorité , et maintenant étant adolescente cela empire. Je n'en peux plus, je suis fatiguée, j'ai la tête pleine. Tout à commencer à s'aggraver au mois d'octobre 2004, son comportement était innaceptable, elle à changer les rôles, elle le parent et moi l'ado. elle n'écoute pas les consignes, refuse totallement l'autorité, prend le controle de tout. J'ai beau prendre ma place de parent, mais maudit qu'il sont tenace les ados et il ne lâche pas prise. Et la ma fille à commencer à s'automutiler avec des lames de rasoir, immédiatement j'ai prit RDV avec sa psychologue pour qu'elle la rencontre, plus le temps passe et plus les choses s'aggrave, elle me bouscule, prend les téléphones pour que ne puisse pas appeler, se place devant moi et me pique constamment du doigt sans arrêt et me nargue sans arrêt, elle me mets à bout, j'ai beau lui dire d'arrêter et d'aller dans sa chambre , non elle reste comme un piquet devant moi, ferme la télé et me dit des paroles méchante, tout cela à des répercussons à mon travail, alors le 23 décembre mon médecin m'a mise en arrêt de travail pour dépression, je n'en pouvais plus, je ne dormais plus, ne mangeait plus et je n'avais plus le goût à la vie. J'ai prit mon courage et j'ai fait des téléphones pour aider ma fille, j'ai harseler le CLSC pour obtenir de l'aide, il me dise que je doit attendre car beaucoup de gens sont la avant moi, j'ai beau leur dire que je suis en état de crise. Alors lors d'une rencontre avec la psychologue de ma fille elle me fait une lettre et m'envoit directement à l'urgence de l'hopital Ste-Justine, car il y a une équipe pour aider les Ados en crise. Nous avons attendue 4 hrs pour rencontrer le médecin de garde et nous sommes retourner à la maison en me disant que d'ici les 24hrs ou 48hrs un intervenant était pour entrer en contact avec moi. Hé oui, cette personne m'a appeler et m'a aider à obtenir de l'aide du CLSC. J'ai rencontrer l'intervenante avant les fêtes et avons commencer la thérapie familiale après les fêtes. Ma fille ne communiquais pas beaucoup. Et voila que le 3 février j'appelle la police pour aviser que ma fille n'est pas revenue de l'école. Je devais donner une lecon à ma fille, crime que c'est difficile, elle devenais violente et je n'en pouvais plus, je lui ai dit souvent d'arrêter sinon j'appelerais la police, elle ne me croyais jamais. La veille nous nous sommes disputer car ma fille ne voulait plus débarquer de l'ordi, il était environs 23h30, et elle avait de l'école le lendemain, plusieurs durant la soirée elle m'avait narguer, harceler , pousser , et prit les téléphones et quand j'ai décider que l'ordi c'était terminer, je me suis accroupie près de l'ordi pour le débrancher, alors ne le prenait pas, elle m'a bousquler, pousser, pincer, tirer les bras et par le suite je suis aller me coucher en pleurant car je n'en revenais pas que tout cela arrivait, je me sentais impuissante à tout ca. Et le lendemain voyant qu'elle ne revenait pas de l'école j'ai appeler la police, par contre cela ne s'est pas dérouler comme je pensais, ils ont arrêter ma fille pour voie de fait sur sa mère, j'étais anéanthie, je n'en revenais pas que la loi est qu'il on le droit maintenant d'arrêter les ados à partir de 12 ans au Québec. Ils l'ont emmener au poste de police , par la suite à l'hopital et elle est rester chez son père jusqu'a sa date pour passer au tribunal de la jeunesse au criminel, et durant 21 jours je ne pouvais pas prendre contact avec ma fille, j'ai vécue un vrai calvaire, je n'en pouvais plus, alors je suis partit chez mon copain à Montréal car je ne pouvais pas vivre cela toute seule. Par la suite au tribunal à la fin février, son avocat à plaider non coupable pour pouvoir prendre note du dossier, alors nouvelle date de cour milieu avril contre il lui ont fait signer une lettre, n'ayant pas droit à l'ordi et de garder la paix. Ca se peux tu à 13 ans . Elle est rester 2 mois chez son père avant de revenir à la maison, 3 semaines apres milieu avril de nouveau devant la cour, pour sa conséquence, son avocat à plaider coupable et sa conséquence est: garder la paix 1 an, pas droit à l'ordi pour 1an (sauf pour travaux scolaire) pas droit d'arme (car elle s'automutile maintenant avec des couteaux) Oui je comprend que c'est difficile pour elle, par contre elle doit comprendre que nous n'avons pas tout ce que l'ont veut quand nous voulons dans la vie. Et elle doit reprendre son rôle d'ado. Par contre moi, j'ai prit un cour qui se nomme parents d'ados une grande traverser, au CLSC, je suis aller des outils pour mieux comprendre et dialoguer ma fille, maudit que je me suis bien sentit dans se cour, nous étions 12 parents et nous vivons tous les même problèmes, mais différamment, j'ai tout fait pour aider ma fille et pour m'aider moi, car je consulte encore une psycholgue ajd. et maudit que tout cela coute cher quand tu n'a pas ton plein salaire en étant en arrêt de travail. Pour finir je me sent pas bien, car se soir elle à recommencer son petit jeu, de vouloir dominer, me dire quoi faire, quand le faire, mais maintenant ca passe plus, j'ai appris moi aussi. Et maintenant après étée toute les ressources nécessaire pour ma fille, je suis là pour la supporter et la diriger, et elle, elle doit s'aider maintenant car elle a les outils aussi et elle n'a qu'a s'en servir, sinon je ne peux rien y faire. C'est dure en maudit sur le morale d'une mère , surtout de voir son enfant se mutiler et se sentir impuissante face à cette situation, j'ai vraiment peur qu'un jour elle aille trop loin, car si elle n'a pas ce qu'elle veut immédiatement, la rien ne vas plus, mais voila, c'est pas cela la vie. Une mère qui grandit à travers ses épreuves la, j'ai prit conscience de plein chose , mais qui des jours est fatiguer , épuiser, je voudrais des fois crier très fort: Hé je suis la, prener soin de moi, j'ai mal, entourer moi de vos bras, aider ma fille, c'est mon rayon de soleil, un enfant que j'adore.
Ce soir j'ai mal, mal à l'âme, fatiguer de me battre, par contre je me dit, je doit continuer et me faire un peu plus confiance. Malgré tout, je ne lacherai pas.

Une mère en larme