Problèmes de pot

Bonsoir a tous!!

Voilà jai une amie qui a un problème de pot depuis longtemps.Elle fume quotidiennement et en prend avant de se coucher pour pouvoir dormir. Elle travail énormément et lorsquelle se retient pour ne pas en prendre avant de se coucher elle dort extrèmement mal et est énormément fatiquer. Si je compte tout, elle fais environ 55h de travail semaine parfois plus. elle est toutefois alaise la dedans puisque c,est une fille très énergique et tres vaillante. Le troubles c,est quelle sinquiète de son avenir car lorsquelle regarde sa mere et sa grand-mere, elle étaient toute toxicomane et alcoolique. elle a beaucoup de tendance a cela et fume lors de grand moment de joie comme dans de grand moment de peine. Elle dit quelle ne veut jamais finir comme sa mere qui fesait passer alcool et drogue avant son enfant. Elle est tres gener de dire quelle consomme deaucoup puisqu,elle en a fortement honte et sait que cela risque de la détruire un jour. je ne vois pas la désintox comme étant quelque chose a considérer pour elle étant donner certaine raison qui serait trop longue a vous expiquer. Je sais quelle devrait tenter de remplacer le pot par quelque chose dautre qui viendrait combler ce manque mais jai de bonne chance de croire que si elle cesse elle tombera dans lalcool, ce qui ne sera pas mieux. Cest une personne plein de courage et de volonté et je le sais quel est capable de sortir de cette illusion et cest dailleur ce quelle veut. je sais que bien des personnes dentres vous ont du traverser cela alors jaurais besoin de vos commentaires ainsi que de p-t certaine pistes que ce soit meme les plus insignifiante ou meme les petit truc pour penser a autre chose que de fumer. jai besoin dentendre autre chose que ce que je pense puisque jai jamais été dépendant au pot ni a rien dailleur. Jai toutefois vécu dans un entourage de droguer toute ma vie donc jen connait beaucoup. je naprécis pas que la drogue fasse partie des besoin fondamentaux en passe avant les amis, les amours, la famille etc. Je tien également a préciser que jentretien beaucoup de communication avec elle et quelle me fait grandement confiance donc il mest pas difficile de la conseiller mais dela a bien la conseiller il marrive parfois a avoir des doute et a savoir comment my prendre puisque je nai pas vécu tous ce quelle a vécu. Voila ! alors merci davance chummy!

Salut
Des psycologue et des travailleur social elle en a rencontrer pendant quasiment toute sa vie et son enfance oui elle a été des plus difficile. revoir un psy pour se refaire redire tout se quel a déjà entendu non elle ne veut pas et meme si elle voudrait je sais que ce serait totalement inutile car elle est présentement sortie de tout ses probleme quelle avait auparavant et meme si elle travaille beaucoup et quel na pas vraiment de temps pour sa vie social, elle se considère heureuse. Seulement elle sait quelle doit arreter de consommer, elle a deja arreter auparavamt pendant 6 mois mais a repris. Je crois etre capable de laider a sen sortir car contraiment a un psy je laide pas parce que y sagit de mon travail mais plutot parce que je laime. P-t je vais me faire critiquer pour cette afirmation mais pas grave lol. Il est clair que consulter restera encore une alternative mais ce ne serais pas nouveau. Un autre trouble cest que elle me dit qu'elle se voit tres bien comparer a avant lorsquelle etais dans la consommation de drogues dure a la place. Elle a arreter depuis environ un an cette consommation. cest clair que je ne veut pas quel arrete le pot pour moi mais surtout pas!! Je vais prendre ca étape a la fois avec elle et si je vois a un moment donné que la consultation est ce qui reste comme solution, je lui en parlerai mais je sais quelle est capable darreter delle-meme.Merci et a+

Bonsoir à tous
En réponse à tes interrogations Dude25, je crois que ton amie est passée par une jeunesse assez difficile. Les parents toxicomanes, ca n'aide pas et cela lui amène une peur profonde (dans ses tripes) en plus qu'elle en a honte. Pour certaines personnes, le pot est un moindre mal et aide à supporter son mal intérieur. Je connais une personne qui a consommé plusieurs années sans que ca nuise à son fonctionnement quotidien mais cela demeure une béquille (qui l'a gardé en vie). Elle peut avoir une grande confiance en toi mais peut-être lui faut-il voir un professionnel (psychologue) car la gêne sera absente. Si pour le moment, le pot ne lui nuit pas, il viendra cependant un moment où il deviendra un downer et là, il lui sera difficile de dealer avec. Ne fuit-elle pas dans le travail, aussi le fait de parler à un professionnel de la santé lui serait grandement bénéfique car elle en vaut la peine. La vie est si courte, qu'elle se fasse le plus grand cadeau en se donnant la permission de consulter.
Amicalement.

La mari est plutôt qualifiée comme un perturbateur, tout dépend du contexte dans lequel on en fait usage. Si le consommateur est de type actif celui-ci bougera, s'il est plutôt de type passif, il s'écrasera. Je m'explique tout est dans le contexte de la consommation. L'alcool est également un perturbateur quoique fréquemment un dépresseur. (copier-coller d'une réponse déjà fait). Si sa consommation est pour dormir cela peut être bénéfique dans son cas.

Toutefois, il est vrai qu'en remplaçant cette habitude par une autre serait tout aussi bénéfique. Car il y a tolérance par le corps car il s'adapte. Pour le sommeil on suggère l'exercice le matin, elle nous met en forme pour la journée et le soir la fatigue est plus présente. Elle pourrait prendre une marche soit environ une heure avant le dodo, revenir pour un bon bain chaud et se laissé aller par la suite à un sommeil réparateur.

Le comité permanent de lutte à la toxicomanie (CPLT) définit la substance ainsi: parfois appelées hallucinogènes, perturbent les fonctions psychiques d'un individu. Elles provoquent des altérations plus ou moins marquées du fonctionnement cérébral, de la perception, de l'humeur et des processus cognitifs. Donc, une visite sur les sites de psychotropes pourrait l'aider à déterminer ce qui ne lui plait pas et lui donner justement cet envie de s'en passer.

Le tout est en corrélation avec la quantité, le contexte et surtout l'attitude au moment de la prise de ce psychotrope.

Merci abbyes!

En passant désolé davoir poster mon message dans la section musique lol. Je suis content que tu minforme davantage c,est tres gentil.

Tu me fais rendre compte que c,est vrai quel a beaucoup de difficulté a vivre ses émotions. Elle a de la misère les confronter même lorsque quel est heureuse. Moi je croyais que remplacer le pot par autre chose pouvait aider comme en commancant a pratiquer un sport en particulier par exemple ou une autre activiter. je connait certaine personne pour qui sa avait marché puisqu'ils évacuaient leurs émotions par ces moyens en les défoulant en réduisant leur tensions dans lactivitée physique. Je ne sait pas par contre si sa marche pour tout les cas mais des centaines manière snt disponibles pour évacuer ses émotions comme tu le dit si bien en nen parlant par exemple!

On dirait que les gens que je connait qui on commencer a consommer des droques cétait majoritairement parce qu,ils avaient perdu quelque chose: amour, amis, sécurité familiale. En tk je sait que ce sujet a certainement été aborder de nombreuses fois mais p-t que si elle pouvait réussir a vivre ses émotions dans autres chose ses ce qui laiderait. Pour ce qui est déviter les consommateurs et dealer et les endroits susceptible den trouver ça savère plutot difficile dans son cas puisque la majorité de ses grandes amies son dans sa situaton et consomme avec elle durant lheure du diner avant lécole. Cest amie serait respectueux pour ne pas fumer en sa précence mais je crois que de moin voir ses amies ne ferait pas vraiment son affaire. Mais je sait qu'il y a une chose qui joue en sa faveur c,est quel est plein de volonté et qu'elle va faire ce qui faut.

En tk merci et je tencourage toi aussi a continuer ton sevrage ne lache surtout pas! Rien nen vaut plus la peine! bye

Allo Dude,

Je suis présentement en sevrage de *pot* et c'est très difficile. Comme ton amie, je consommais pour dormir ainsi que dans les moments de peine et de joie.

J'ai du arrêter ma consommation car de je devais commencer un antidépresseur. Cela m'a donc confronté à ma réalité et ça m'a amené à me demander objectivement pour quelles raisons je consommais de la drogue et de l'alcool en quantité industrielle.

À mon avis, le début est là. Losque l'on commence à consommer et qu'on augmente la quantité avec le temps, c'est forcément, et je parle ici de mon cas, qu'on veut *geler* des émotions qu'autrement on aurait de la difficulté à vivre et/ou à confronter. On ne veut pas nécessairement ouvrir des petits tiroirs fermés depuis longtemps car on sait d'avance que ça va faire mal.

En résumé, que ce soit l'alcool ou la drogue, c'est une fuite...mais crois-moi, tout ce qu'on veut enfouir profondément nous rejoins forcément un jour ou l'autre. Dans mon cas, ça pris 18 ans, même si au fil des années j'étais fonctionnelle dans ma vie, il m'a fallu une surdose d'émotion pour me faire tomber en dépression.

Je suis heureuse d'avoir arrêté de consommer car maintenant, j'affronte mes problèmes...et je regrette sincèrement toutes les années*perdues* dans ses artifices.

Pour arrêter, il faut éviter les contacts avec les consommateurs/dealers et pour un temps, les endroits plus susceptibles d'en trouver. Verbaliser aussi...et je pense que tu es l'ami idéal pour aider ta copine à s'en sortir...se documenter aussi.

Bref, il y a pleins de moyens, suffit seulement d'être prête à s'affronter et éviter de continuer le pattern familial car elle sait ce qu'il en résulte...

Bonne chance,
Abbyes.