Bonjour
Je me décide à écrire car j'ai besoin d'aide et de conseils..
Je prends un anti-dépresseur (IXEL 100 mg) depuis plus d'un an. Le problème a commencé à la suite d'une grosse fatigue, je ne me sentais alors pas vraiment "dépressive" mais plutôt très fatiguée. Avant celui là j'avais essayé 2 autres anti-dépresseurs qui ne m'ont pas du tout convenus et un anxiolitique. Je dois faire face depuis à de fortes angoisses. Je me lève le matin très angoissée et ce mal-être dure toute la journée. J'ai du mal à aller travailler pensant que je ne vais pas y arriver, j'ai des idées noires...J'essaie de me contrôler en me disant que çà va passer mais c'est très dur et je mets tous ces problèmes sur le compte de mon travail qui me stresse beaucoup. J'ai décidé d'aller consulter une psychologue en espérant qu'elle puisse m'aider à trouver la cause de tous mes maux. Je précise que je n'ai pas de soucis familiaux et que je suis de ature une personne anxieuse. Je me pose beaucoup de question, dois je changer mon traitement ? après 1 an je devrais aller mieux, non ?. J'avoue que cette idee me fait un peu peur car les précédents médicaments n'ont pas marché . La posologie est elle suffisante ? Dois je consulter un psychiatre ? Je crains ne jamais voir le bout de cette maladie qui me pourrit la vie...j'ai peur de tout, j'ai peur de vivre...
Merci d'avance pour vos conseils et encouragements.
Premier message
non non on est pas seul!!
Allo a vous tous
jai 22 ans et je fais ma 4e depression, pas majeure en ce moment juste modérée. Je peux marcher et faire semblant detre normale mais fatiguée aux yeux des autres.
Je crois que quitte a avoir lair bizzares il faut passer a l'action et faire tout ce qu'on croit suceptible de nous donner du répit... genre toute activité qui nous fait du bien et a lheure que ca nous fait ud bien.. tout est bon pour combattre la depression.. cest epuisant mais bon quand on vit avec.. on a pas le choix de laccepter.
moi si je me met a avoir des pensees noires recurrentes je vais courir meme sil est 11h le soir et ca marche apres je dors, trop crevée.. au bureau je sors prendre lair et etc... on se trouve nos routines et trucs... allez on lache pas...
xxx
jai 22 ans et je fais ma 4e depression, pas majeure en ce moment juste modérée. Je peux marcher et faire semblant detre normale mais fatiguée aux yeux des autres.
Je crois que quitte a avoir lair bizzares il faut passer a l'action et faire tout ce qu'on croit suceptible de nous donner du répit... genre toute activité qui nous fait du bien et a lheure que ca nous fait ud bien.. tout est bon pour combattre la depression.. cest epuisant mais bon quand on vit avec.. on a pas le choix de laccepter.
moi si je me met a avoir des pensees noires recurrentes je vais courir meme sil est 11h le soir et ca marche apres je dors, trop crevée.. au bureau je sors prendre lair et etc... on se trouve nos routines et trucs... allez on lache pas...
xxx
Message #3
Bonjour
Et merci de m'avoir répondu. Effectivement j'ai un autre problème de santé: je fais de l'hypothyroïdie (soignée par Levothyrox 112,5). C'est vrai que cette maladie n'aide pas, dans mon cas, car je suis toujours fatiguée..mais la prise de sang est bonne et le problème ne vient pas de là. Suite rendez-vous avec mon médecin je continue les anti-dépresseurs. J'ai bien conscience qu'il ne s'agit que d'une béquille et comme me l'expliquait mon médecin ces médicaments aident à franchir un cap mais ne sont nullement une solution. Je suis allée voir une psychologue qui m'a un peu rassurée en me disant que beaucoup de personnes souffraient des mêmes maux que moi et en ce moment je travaille sur les pensees automatiques. çà m'a ouvert les yeux ...et je dois dire aidé de mettre des mots sur ce qui n'allait pas chez moi...C'est en fait toujours les mêmes peurs qui reviennent, dans des situations souvent précises...des peurs et des angoisses qui n'ont souvent pas de sens ! mais qui malgré tout nous terrorisent et nous empêchent d'avancer...Il faut avoir conscience je pense qu'il ne s'agit que de pensées et trouver un moyen, non pas de les empêcher de venir à l'esprit mais en quelque sorte d'y accorder moins d'importance. Nous avons tous des pensées, des bonnes et des moins "sympatiques"..elles entrent et ressortent aussitôt chez les personnes "normales", chez les anxieux elles restent figées et se transorment , se déforment pour devenir de véritables angoisses. Comme vous le disiez si justement il faut essayer de s'occuper l'esprit de s'occuper de soi de faire du sport ou tout simplement quelque chose qui nous fasse plaisir..mais ce n'est pas toujours facile. On née et on reste anxieux toute sa vie..il faut tout essayer pour trouver la meilleure méthode pour vivre avec sans se rendre malade..Certains y arrivent , pourquoi pas nous ! Il faut garder espoir et se dire que l'on n'est pas tout seul!
Et merci de m'avoir répondu. Effectivement j'ai un autre problème de santé: je fais de l'hypothyroïdie (soignée par Levothyrox 112,5). C'est vrai que cette maladie n'aide pas, dans mon cas, car je suis toujours fatiguée..mais la prise de sang est bonne et le problème ne vient pas de là. Suite rendez-vous avec mon médecin je continue les anti-dépresseurs. J'ai bien conscience qu'il ne s'agit que d'une béquille et comme me l'expliquait mon médecin ces médicaments aident à franchir un cap mais ne sont nullement une solution. Je suis allée voir une psychologue qui m'a un peu rassurée en me disant que beaucoup de personnes souffraient des mêmes maux que moi et en ce moment je travaille sur les pensees automatiques. çà m'a ouvert les yeux ...et je dois dire aidé de mettre des mots sur ce qui n'allait pas chez moi...C'est en fait toujours les mêmes peurs qui reviennent, dans des situations souvent précises...des peurs et des angoisses qui n'ont souvent pas de sens ! mais qui malgré tout nous terrorisent et nous empêchent d'avancer...Il faut avoir conscience je pense qu'il ne s'agit que de pensées et trouver un moyen, non pas de les empêcher de venir à l'esprit mais en quelque sorte d'y accorder moins d'importance. Nous avons tous des pensées, des bonnes et des moins "sympatiques"..elles entrent et ressortent aussitôt chez les personnes "normales", chez les anxieux elles restent figées et se transorment , se déforment pour devenir de véritables angoisses. Comme vous le disiez si justement il faut essayer de s'occuper l'esprit de s'occuper de soi de faire du sport ou tout simplement quelque chose qui nous fasse plaisir..mais ce n'est pas toujours facile. On née et on reste anxieux toute sa vie..il faut tout essayer pour trouver la meilleure méthode pour vivre avec sans se rendre malade..Certains y arrivent , pourquoi pas nous ! Il faut garder espoir et se dire que l'on n'est pas tout seul!
Message #2
bonjour,
je comprends votre souffrance moi je vis avec le dépression et l'anxiété depuis mon enfance, et j'en ai 42. chaque jour je me dis que je suis obligée de vivre avec, elle fait partie de ma vie, et c'est une souffrance continuelle.j'ai eu plusieurs anti dépresseurs et anxiolitiques pendant plusieurs mois, toujours des différents, bien sur ça apporte un soutien, mais je ne suis rééllement pas guérie, et je crois que je ne le serai jamais. j'ai consulté des psys, j'ai failli etre hospitalisé tellement mon cas s'est aggravé l'an dernier, suite a mon divorce, car les conséquences de ma dépression après l'accouchement de mon dernier m'a occasionné de la fibromyalgie, fatigue chronique, douleurs épouvantablesdans les muscles etc.. comme vous je me dis que je vis au quotidien un handicap, car j'aurai besoin de retourner travailler mais avec toutes ces douleurs plus l'anxiété, je me dis que je n'y arriverai plus, et ça aggrave mon cas. j'ai commencé une psychothérapie, mais je ne sais pas si ça va m'apporter et en plus ce n'est pas remboursé, je dis ceci, car je me connais par coeur, depuis tout ce temps que je suis dépressive, et je sais que ce sont des traumatismes de la vie qui m'ont rendu comme cela, etnous seules pouvont je pense savoir évacuer tout ceci, surement avec peut etre de la relaxation, du sport, un loisir qu'on aime, s'entourer des personnes qui nous comprennent, car ça c'est loin d'etre évident.et surtout ce faire plaisir;penser a soi plutot qu'aux autres, s'accorder des moments de plaisir, voila j'espère vous avoir remis un peu de baume au coeur et je suis dispo si vous voulez parler a bientot
je comprends votre souffrance moi je vis avec le dépression et l'anxiété depuis mon enfance, et j'en ai 42. chaque jour je me dis que je suis obligée de vivre avec, elle fait partie de ma vie, et c'est une souffrance continuelle.j'ai eu plusieurs anti dépresseurs et anxiolitiques pendant plusieurs mois, toujours des différents, bien sur ça apporte un soutien, mais je ne suis rééllement pas guérie, et je crois que je ne le serai jamais. j'ai consulté des psys, j'ai failli etre hospitalisé tellement mon cas s'est aggravé l'an dernier, suite a mon divorce, car les conséquences de ma dépression après l'accouchement de mon dernier m'a occasionné de la fibromyalgie, fatigue chronique, douleurs épouvantablesdans les muscles etc.. comme vous je me dis que je vis au quotidien un handicap, car j'aurai besoin de retourner travailler mais avec toutes ces douleurs plus l'anxiété, je me dis que je n'y arriverai plus, et ça aggrave mon cas. j'ai commencé une psychothérapie, mais je ne sais pas si ça va m'apporter et en plus ce n'est pas remboursé, je dis ceci, car je me connais par coeur, depuis tout ce temps que je suis dépressive, et je sais que ce sont des traumatismes de la vie qui m'ont rendu comme cela, etnous seules pouvont je pense savoir évacuer tout ceci, surement avec peut etre de la relaxation, du sport, un loisir qu'on aime, s'entourer des personnes qui nous comprennent, car ça c'est loin d'etre évident.et surtout ce faire plaisir;penser a soi plutot qu'aux autres, s'accorder des moments de plaisir, voila j'espère vous avoir remis un peu de baume au coeur et je suis dispo si vous voulez parler a bientot
psychiatre
Bonjour,
j'ai connu une dépression et plusieurs épisodes dépressifs.
L'anxiété est ma compagne, je suis insomniaque depuis de longues années.
Actuellement je vis une période de forte angoisse et de fatigue, les pleurs se sont manifestés dernièrement.
J'hésite à prendre un antidépresseur, mais je ne compte pas traîner cet état pendant des semaines.
Mon expérience tend à me faire penser qu'un psychiatre est le professionnel incontournable de la dépression et de l'angoisse.
Je sais aussi qu'un antidépresseur qui convient à l'un ne convient pas à l'autre. S'il ne s'agit pas d'une dépression sévère, au bout de 2 mois de traitement, on va mieux.
Dans votre cas, il me semble qu'il est nécessaire de consulter un psy, mais peut-être avez vous un disfonctionnement ailleurs (thyroide? Autre?).
Vous dites avoir pris un antidépresseur alors que vous n'étiez que fatiguée, ça me semble peu logique. Si vous vous réveillez angoissée c'est peut être que votre antidépresseur est stimulant au lieu d'être apaisant.
