Il est assez fréquent que les gens ne reconnaissent pas le sadisme comme un grave problème à ne pas tolérer. Que l'on pense aux coups bas des divorcés entre eux (ex. plainte factice d'agression sexuelle), à la violence conjugale, au vendeur de drogue qui s'amuse avec la dépendance de ses clients pour les humilier, aux initiations de toutes sortes ou au harcèlement sexuel au travail, il ne faut pas oublier qu'il existe des gens qui prennent plaisir à faire souffrir autrui et à humilier. Souvent ils ont eux-mêmes été victimes d'agression dans l'enfance et sont restés, entre autres, avec des croyances selon lesquelles ils peuvent faire souffrir lorsqu'ils se croient attaqués (même au centuple; ils ont tellement souffert que plus personne n'a maintenant le droit de les blesser même sans intention). Habituellement, pour ne pas aller vers une escalade sans fin et laisser ces gens croire tranquillement qu'ils sont invulnérables (surtout quand ils jouent à faire peur, sans jamais se faire dénoncer) et devenir ainsi de plus en plus sadiques, il faut une intervention rigoureuse pour que cesse l'escalade. En général, seul le recours à la police et au système judiciaire (bien que souvent imparfaits) peut aider pour se protéger soi-même et sa famille. Dans tous les cas, ces gens doivent être considérés comme ayant de graves problèmes et on doit savoir qu'ils récidiveront, après s'être faits pardonner ou sur une nouvelle victime, tant qu'ils n'auront pas reçu un traitement approprié parfois très long. En résumé, un acte criminel n'est pas un comportement à tolérer sous prétexte de souffrances passées du criminel ou du danger de dénoncer (celui-ci, sauf dans des rares cas de règlements de compte, étant bien moins important qu'un sadique en liberté et/ou sans feedbacks négatifs à ses actes).