Partir pour la gaspésie ou rester à Montréal ?

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Re: Partir pour la gaspésie ou rester à Montréal ?

#4 Posté le par tajmahal

bonjour roetjas,
je suis nouvelmnt inscrit sur sur le site c'est pourquoi je viens de lire votre message... votre cheminement ressemble au mien c'est pourquoi ça me ferait plaisir de savoir la suite de votre projet .
au plaisir de te lire.
tajmahal

Bonjour à tous et à toutes,
Avant de commencer à décrire ma préoccupation, je désire mentionner que j'ai un peu hésité au sujet de la section dans lequelle je devrais écrire mon message. J'ai pensé tout d'abord à la section "célibataire" car je le suis encore mais j'ai finalement opter pour la section "Mode de vie". Dans mon texte, vous allez comprendre mon hésitation.

Tout d'abord, je vous explique mon cheminement de vie avant d'aborder la question: Partir pour la gaspésie ou rester à Montréal.

J'ai 50 ans et je vis à Montréal depuis 17 ans déjà. J'ai passé mon enfance en banlieu nord de Montréal, soit dans la ville de Sainte-Thérèse. Mes parents et moi vivions dans une maison à l'extrémité de la ville dans un secteur très tranquille où il y avait derrière la maison un petit boisé avec un petit ruisseau avec plein d'animaux sauvages. Dès ma tendre enfance j'ai découvert la nature et mon intérêt pour la biologie. A cette époque, j'ai possédé 1 lapin, 2 canards, 2 poules et d'autres animaux que j'ai eu à différents âge de mon enfance et mon adolescence. De beaux souvenirs. J'ai d'ailleurs fais mes études en biologie. En pasant, j'ai aussi trois autres diplômes d'études collégiales et universitaires dont une maîtrise en science (microbiologie).

Mes parents étaient en fait mes parents adoptifs et que j'ai eu dès l'âge de 2 mois. Je n'ai jamais connu mes parents biologiques. De toute façon, j'ai toujours considéré durant toute ma vie mes parents adoptifs comme mes vrais parents. Ma mère adoptive est décédée en 1991 et mon père adoptif en 2002. Ma mère adoptive était originaire de la gaspésie, principalement d'un petit village du nom de l'Anse-aux-griffons. Durant mon enfance, soit de l'âge de 4 ans et cela jusqu'à l'âge de 13-14 ans environ, j'y passais tous mes étés au complet avec mes parents adoptifs où nous vivions dans la même maison où ma mère adoptive avait vécu son enfance. C'est comme si ma mère adoptive voulait me faire acquérir des racines sociales dans ce coin de pays sachant que j'en avait pas puisque que mes parents naturels m'avaient donné en adoption après ma naissance.

En fait cette maison en gaspésie était devenue pour nous comme un chalet d'été. Une belle grande maison blanche en bois à deux étages avec une toiture en pignon et une grande galerie à l'avant. A ses côté, il y avait une grange. Cette maison était située en haut d'une colline et à moins d'un mille de la mer à l'avant et à l'arrière le champ du terrain était borné par le parc national Forillon. Dans ce champ, il y poussait de petites fraises sauvages. Quel magnifique paysage de calme et de beauté naturelle ! Pas très loin, au bas de la côte, il y avait un quai où les bateaux de pêcheurs revenaient avec des morues fraîchement pêchées. Pour 0.25 sous, on pouvait acheter une directement d'un bateau. Ces souvenirs m'habitent toujours bien que je n'y sois pas retourner en gaspésie depuis 37 ans. La maison fut détruite accidentellement par le feu.

J'ai toujours vécu avec mes parents adoptifs et cela jusqu'à la mort de mon père adoptif à 83 ans alors que moi j'en avais 47. Toutefois, pendant mes études, j'ai vécu à l'extérieur de ma ville de banlieue à Sainte-Thérèse pendant plusieurs années mais revenant dans la demeure familiale toutes les fins de semaine. Ce fut très difficile pour moi de surmonter la mort de mon père adoptif. J'y pense encore souvent. Ce fut une période très éprouvante pour moi mais je m'en suis sorti avec le temps. Quelques mois avant son décès, j'avais perdu mon emploi dans une compagnie pharmaceutique. Cette perte de travail fut quand même salutaire pour moi car l'atmosphère au travail était devenu malsain.

A la suite de la perte de mon emploi, je n'étais toutefois pas mal pris finançièrement car je disposais déjà d'assez d'argent et cela jusqu'à la fin de mes jours. Toutefois, une condition était nécessaire à cela, soit ne pas dépenser de façon exagérée car cela n'aurait pas été suffisant car à 47 ans il est très difficile de se retrouver un autre bon travail. Ayant été économe toute ma vie et ayant fais de bons placements financiers durant mes années de travail je disposais alors d'un bon montant d'argent à la mort de mon père adoptif et cela m'a permit de garder un moral acceptable suite à son décès.

Toutefois, je ne suis pas millionnaire, je ne possède pas d'automobile et j'ai un budget volontairement serré. Et cela afin de ne pas toucher à mes économies personnelles. Pour cela, je gagne de l'argent en faisant de petits travaux chez des personnes âgées dans mon quartier suite à une annonce que j'ai fais paraître localement. J'ai même donné des cours d'informatique à des gens agés durant l'hiver dernier en procédant de la même façon. Tout cela me permet de payer mon loyer, mes comptes et ma nourriture et pendant ce temps mes économies personnelles continuent de fructifier et cela de façon importante depuis trois ans.

Donc, je me débrouille bien et mes économies continuent à fructifier au point où il devenu possible pour moi de faire l'achat d'une maison. Toutefois, pas d'achat à Montréal où les maisons sont trop dispendieuses soit de l'ordre de $ 250,000 environ mais plutôt en gaspésie où il est possible d'acquérir une résidence pour seulement $70,000. incluant un très grand terrain du genre 400,000 pieds carrés, ce qui équivaut environ à 1.5 kilomètre de long.

En fait, mes souvenirs de jeunesse en gaspésie refont souvent surface dans ma mémoire depuis la mort de mon père adoptif et j'envisage maintenant d'acquérir le même genre de maison dans laquelle ma mère adoptive a vécu son enfance en gaspésie. Je veux aussi un grand terrain avec cette maison et être située près du parc national Forillon comme celle où ma mère adoptive a vécu son enfance. Sur ce grand terrain, je ferais des jardins pour y cultiver des légumes. Je m'achèterais une automobile usagée que j'utiliserais pour aller m'approvisionner en nourriture et autres bien dans la ville de Gaspé aux 2 semaines environ, car les commerces sont peu nombreux à proximité et les distances sont longues à parcourir. J'achètrais quelques animaux de ferme comme 2-3 lapins, 2-3 oies, 2-3 canards, 1 chèvre. Un peu le genre d'animaux que j'avais durant mon enfance. Bien sûr, j'aurai une grange aussi.

Une vieille maison en bois en gaspésie va nécessiter sûrement quelques réparations. Bien que je ne suis pas un ouvrier de la construction, mon expérience dans des petits travaux de réparation de plâtre de mur par exemple ou autre chez des personnes âgées dans mon quartier que je fais depuis la perte de mon emploi m'a permis de découvrir mon intérêt pour ce genre de travail.

J'aurai donc de quoi m'occuper à tous les jours durant le printemps et cela jusqu'à l'automne avec des travaux de réparation, des soins pour mes animaux et l'entretient de mon jardin. Durant l'hiver, pour éviter le sentiment d'isolement en gaspésie, je m'abonnerai au câble de Cogéco qui est disponible dans le village. Quant à internet, le village n'est pas encore desservi par Cogéco mais la compagnie projète de le faire. C'est un désappointement pour moi pour le moment car j'aime beaucoup utiliser internet pour m'informer de l'actualité et me divertir. On m'a toutefois dit qu'il était possible d'avoir internet par satellite dans le village mais j'attend un courriel d'un correspondant pour avoir des informations à ce sujet.

Bien que mon texte représente un rêve de vie pour moi, je me sens quand même hésitant à quitter une grand ville comme Montréal où il est facile de se procurer divers biens et services comparativement à la gaspésie. De plus, dans le quartier où je vis, je peux voir à l'occasion un ami et quelques connaissances. Aussi, je n'ai presque plus de famille proche avec qui je conserve des liens, soit quelques tantes et oncles très agés dont je n'ai plus de nouvelles. Je n'ai pas de petite amie non plus et je n'ai pas d'enfant. Je me dit que partir avec une petite amie en gaspésie pour y vivre serait beaucoup plus agréable que de partir seul. A vrai dire, vais-je m'ennuyer là-bas tout seul bien qu'une tante de 70 ans y vit encore ? Si j'avais une petite amie qui voudrait s'installer avec moi en gaspésie, ma décision de partir viendrait sûrement plus rapidement ?

Que pensez-vous de mon récit ? Dois-je quand même partir en gaspésie pour réaliser un rêve même seul ? Peut-être que ce site favorisera une rencontre qui sait.

Re: Partir pour la gaspésie ou rester à Montréal ?

#3 Posté le par tajmahal

bonjour roetjas,
je suis nouvelmnt inscrit sur sur le site c'est pourquoi je viens de lire votre message... votre cheminement ressemble au mien c'est pourquoi ça me ferait plaisir de savoir la suite de votre projet .
au plaisir de te lire.
tajmahal

Bonjour à tous et à toutes,
Avant de commencer à décrire ma préoccupation, je désire mentionner que j'ai un peu hésité au sujet de la section dans lequelle je devrais écrire mon message. J'ai pensé tout d'abord à la section "célibataire" car je le suis encore mais j'ai finalement opter pour la section "Mode de vie". Dans mon texte, vous allez comprendre mon hésitation.

Tout d'abord, je vous explique mon cheminement de vie avant d'aborder la question: Partir pour la gaspésie ou rester à Montréal.

J'ai 50 ans et je vis à Montréal depuis 17 ans déjà. J'ai passé mon enfance en banlieu nord de Montréal, soit dans la ville de Sainte-Thérèse. Mes parents et moi vivions dans une maison à l'extrémité de la ville dans un secteur très tranquille où il y avait derrière la maison un petit boisé avec un petit ruisseau avec plein d'animaux sauvages. Dès ma tendre enfance j'ai découvert la nature et mon intérêt pour la biologie. A cette époque, j'ai possédé 1 lapin, 2 canards, 2 poules et d'autres animaux que j'ai eu à différents âge de mon enfance et mon adolescence. De beaux souvenirs. J'ai d'ailleurs fais mes études en biologie. En pasant, j'ai aussi trois autres diplômes d'études collégiales et universitaires dont une maîtrise en science (microbiologie).

Mes parents étaient en fait mes parents adoptifs et que j'ai eu dès l'âge de 2 mois. Je n'ai jamais connu mes parents biologiques. De toute façon, j'ai toujours considéré durant toute ma vie mes parents adoptifs comme mes vrais parents. Ma mère adoptive est décédée en 1991 et mon père adoptif en 2002. Ma mère adoptive était originaire de la gaspésie, principalement d'un petit village du nom de l'Anse-aux-griffons. Durant mon enfance, soit de l'âge de 4 ans et cela jusqu'à l'âge de 13-14 ans environ, j'y passais tous mes étés au complet avec mes parents adoptifs où nous vivions dans la même maison où ma mère adoptive avait vécu son enfance. C'est comme si ma mère adoptive voulait me faire acquérir des racines sociales dans ce coin de pays sachant que j'en avait pas puisque que mes parents naturels m'avaient donné en adoption après ma naissance.

En fait cette maison en gaspésie était devenue pour nous comme un chalet d'été. Une belle grande maison blanche en bois à deux étages avec une toiture en pignon et une grande galerie à l'avant. A ses côté, il y avait une grange. Cette maison était située en haut d'une colline et à moins d'un mille de la mer à l'avant et à l'arrière le champ du terrain était borné par le parc national Forillon. Dans ce champ, il y poussait de petites fraises sauvages. Quel magnifique paysage de calme et de beauté naturelle ! Pas très loin, au bas de la côte, il y avait un quai où les bateaux de pêcheurs revenaient avec des morues fraîchement pêchées. Pour 0.25 sous, on pouvait acheter une directement d'un bateau. Ces souvenirs m'habitent toujours bien que je n'y sois pas retourner en gaspésie depuis 37 ans. La maison fut détruite accidentellement par le feu.

J'ai toujours vécu avec mes parents adoptifs et cela jusqu'à la mort de mon père adoptif à 83 ans alors que moi j'en avais 47. Toutefois, pendant mes études, j'ai vécu à l'extérieur de ma ville de banlieue à Sainte-Thérèse pendant plusieurs années mais revenant dans la demeure familiale toutes les fins de semaine. Ce fut très difficile pour moi de surmonter la mort de mon père adoptif. J'y pense encore souvent. Ce fut une période très éprouvante pour moi mais je m'en suis sorti avec le temps. Quelques mois avant son décès, j'avais perdu mon emploi dans une compagnie pharmaceutique. Cette perte de travail fut quand même salutaire pour moi car l'atmosphère au travail était devenu malsain.

A la suite de la perte de mon emploi, je n'étais toutefois pas mal pris finançièrement car je disposais déjà d'assez d'argent et cela jusqu'à la fin de mes jours. Toutefois, une condition était nécessaire à cela, soit ne pas dépenser de façon exagérée car cela n'aurait pas été suffisant car à 47 ans il est très difficile de se retrouver un autre bon travail. Ayant été économe toute ma vie et ayant fais de bons placements financiers durant mes années de travail je disposais alors d'un bon montant d'argent à la mort de mon père adoptif et cela m'a permit de garder un moral acceptable suite à son décès.

Toutefois, je ne suis pas millionnaire, je ne possède pas d'automobile et j'ai un budget volontairement serré. Et cela afin de ne pas toucher à mes économies personnelles. Pour cela, je gagne de l'argent en faisant de petits travaux chez des personnes âgées dans mon quartier suite à une annonce que j'ai fais paraître localement. J'ai même donné des cours d'informatique à des gens agés durant l'hiver dernier en procédant de la même façon. Tout cela me permet de payer mon loyer, mes comptes et ma nourriture et pendant ce temps mes économies personnelles continuent de fructifier et cela de façon importante depuis trois ans.

Donc, je me débrouille bien et mes économies continuent à fructifier au point où il devenu possible pour moi de faire l'achat d'une maison. Toutefois, pas d'achat à Montréal où les maisons sont trop dispendieuses soit de l'ordre de $ 250,000 environ mais plutôt en gaspésie où il est possible d'acquérir une résidence pour seulement $70,000. incluant un très grand terrain du genre 400,000 pieds carrés, ce qui équivaut environ à 1.5 kilomètre de long.

En fait, mes souvenirs de jeunesse en gaspésie refont souvent surface dans ma mémoire depuis la mort de mon père adoptif et j'envisage maintenant d'acquérir le même genre de maison dans laquelle ma mère adoptive a vécu son enfance en gaspésie. Je veux aussi un grand terrain avec cette maison et être située près du parc national Forillon comme celle où ma mère adoptive a vécu son enfance. Sur ce grand terrain, je ferais des jardins pour y cultiver des légumes. Je m'achèterais une automobile usagée que j'utiliserais pour aller m'approvisionner en nourriture et autres bien dans la ville de Gaspé aux 2 semaines environ, car les commerces sont peu nombreux à proximité et les distances sont longues à parcourir. J'achètrais quelques animaux de ferme comme 2-3 lapins, 2-3 oies, 2-3 canards, 1 chèvre. Un peu le genre d'animaux que j'avais durant mon enfance. Bien sûr, j'aurai une grange aussi.

Une vieille maison en bois en gaspésie va nécessiter sûrement quelques réparations. Bien que je ne suis pas un ouvrier de la construction, mon expérience dans des petits travaux de réparation de plâtre de mur par exemple ou autre chez des personnes âgées dans mon quartier que je fais depuis la perte de mon emploi m'a permis de découvrir mon intérêt pour ce genre de travail.

J'aurai donc de quoi m'occuper à tous les jours durant le printemps et cela jusqu'à l'automne avec des travaux de réparation, des soins pour mes animaux et l'entretient de mon jardin. Durant l'hiver, pour éviter le sentiment d'isolement en gaspésie, je m'abonnerai au câble de Cogéco qui est disponible dans le village. Quant à internet, le village n'est pas encore desservi par Cogéco mais la compagnie projète de le faire. C'est un désappointement pour moi pour le moment car j'aime beaucoup utiliser internet pour m'informer de l'actualité et me divertir. On m'a toutefois dit qu'il était possible d'avoir internet par satellite dans le village mais j'attend un courriel d'un correspondant pour avoir des informations à ce sujet.

Bien que mon texte représente un rêve de vie pour moi, je me sens quand même hésitant à quitter une grand ville comme Montréal où il est facile de se procurer divers biens et services comparativement à la gaspésie. De plus, dans le quartier où je vis, je peux voir à l'occasion un ami et quelques connaissances. Aussi, je n'ai presque plus de famille proche avec qui je conserve des liens, soit quelques tantes et oncles très agés dont je n'ai plus de nouvelles. Je n'ai pas de petite amie non plus et je n'ai pas d'enfant. Je me dit que partir avec une petite amie en gaspésie pour y vivre serait beaucoup plus agréable que de partir seul. A vrai dire, vais-je m'ennuyer là-bas tout seul bien qu'une tante de 70 ans y vit encore ? Si j'avais une petite amie qui voudrait s'installer avec moi en gaspésie, ma décision de partir viendrait sûrement plus rapidement ?

Que pensez-vous de mon récit ? Dois-je quand même partir en gaspésie pour réaliser un rêve même seul ? Peut-être que ce site favorisera une rencontre qui sait.

Message #2

#2 Posté le par macadam

Vous allez pouvoir faire les mêmes choses qu'à la ville. Vous aimez aider les gens alors vous leur ofrirez vos services et de fil en aiguille de nouvelles amitiés naisseront peut être.
Avec l'argent vous allez pouvoir payer votre bois pour vos réparations de maison ainsi que la nourriture pour vos petits animaux de ferme.

Moi aussi dans quelques années j'aurai la chance de vivre quelque chose semblable à vous mais je me décalle de seulement 20 km par rapport à mon logement présent.

Vive la campagne ! :D :idea:

Message #1

#1 Posté le par mousti1

Bonjour Roetjas,

Vous parler avec tellement de passion de votre petit coin du pays, qu'il suffit de vous relire pour avoir vos réponses. Je pense pas qu'il faut pas attendre après qui que ce soit pour réaliser nos rêves. Vous savez l'âmes soeur peut-être partout, il ne faut pas vous retenir car vous avez peur d'être seul. Je pense au contraire que vous avez beaucoup plus de chance de faire des rencontres (amis ou autres) dans un petit village que dans une grande ville. Les gens sont beaucoup plus chaleureux, cordiale et enthousiasme de faire la connaissance des nouveau venus en banlieu. Vous avez là un très beau projet!!! Ce n'est que mon opinion mais combien de gens passe à coté de leur rêve, et vous, vous l'avez presque clé en main! Moi je vous dirai de foncer et laisser faire le matériel et respirer à plein poumon la belle nature qui vous attend.

D'une personne qui vous envie :wink:
Mousti