CAuchemars eveillé.

Bonjour a tous.

Je ne sais pas par ou commencer pour expliqué mes symptomes car moi même je n'arrive pas a les comprendres.

Je suis dépréssif depuis tout petit mais jusqu'a il y a 5ans j'arriver sans médicaments a controler mes émotions et mon état d'etre.
Mais voila, maintenant ca fait quelques semaines que j'ai plus goût a quoi que ce soit et j'ai du mal a tenir le co^t même en prenant du seropram tout les matins.
La nuit je me réveille en sursaut et je continu a faire mon cauchemar tout en étant réveillé. Cela se traduit par une grosse crise d'angoisse incontrolable avec de grosse sueurs et une impression que je meurs sans pouvoir agir sur moi même a cet instant préci. J'ai l'impression que je vais finir par complétement déconnecté du monde réel et que je vais basculé dans une folie sans retour. Il m'est difficile de vraiment vous evoquez ce que je ressent dans ces moments de paniques, mais j'ai de plus en plus peur pour ma famille et les gens qui m'entoure.
Es ce que a votre avis cet état finira par disparaitre?
Es ce que quelqu'un a eu ou a encore ce type de symptomes?
Que me conseilleriez vous pour sortire de cette impasse?

Merci pour vos réponses

Denis

La nuit je me réveille en sursaut et je continu a faire mon cauchemar tout en étant réveillé. Cela se traduit par une grosse crise d'angoisse incontrolable avec de grosse sueurs et une impression que je meurs sans pouvoir agir sur moi même a cet instant préci. J'ai l'impression que je vais finir par complétement déconnecté du monde réel et que je vais basculé dans une folie sans retour.

Tu sais quoi?

J'ai l'impression que tu fais des paralysies hypnagogiques (ce qui n'est pas grave) et que ça se transforme en crise de panique (normal aussi, parce que la paralysie hypnagogique est effectivement terrorisante - quand on ne sait pas ce que l'on a...)

J'ai fait ça quelques fois (sous rivotril uniquement)... C'est infernal.

Je te cite un truc trouvé:

Le trouble connu sous le nom de « paralysie de sommeil » se produit quand la conscience est entre un état de sommeil paradoxal et un état d'éveil, mais où la paralysie musculaire est maintenue. La personne se croit réveillée, mais ne peut bouger. En outre, cet état est habituellement accompagné de certains genres d'hallucinations visuelles et sonores spécifiques, car la conscience est à mi-chemin de l'état onirique et la paralysie crée un état de tension/peur/panique. C'est une sorte de semi-éveil. La personne peut « voir » son environnement mais s'y mélangent les hallucinations oniriques (le rêve peut être définit comme une forme d'hallucination). Elle pourra donc avoir conscience que la porte de sa chambre est réellement ouverte, mais elle verra en même temps un tableau imaginaire à son mur.

Cet état ne dure habituellement pas plus de deux minutes avant que la personne ne retourne vers un rêve ou se réveille complètement, cependant la perception du temps est souvent déformée pendant la paralysie de sommeil.

Bonjour a tous

Je vous remercie pour vos réponses.

Canada, quelque par je suis un peut rassuré de voir que je ne suis pas seul au monde et qu'il y en a d'autre qui présente les même symptomes que moi.
Je doit partir travailler alors je n'ai pas trops le temps, mais je vous promet de revenir plus tard pour rediscuter de tout cela

Denis

Bonjour Blagnacais.

Bon ne te fatigue pas trop j'ai à peu près les mêmes symptômes que toi et ce depuis 15 ans, alors j'ai essayé bien des choses.

Voici le gros de mes symptômes:

Moi aussi c'est lorsque je dors ou que je fais un petit roupillon ou que je suis sur le bord de m'endormir que les crises se déclanche la mojorité du temps.

Lorsque la crise commence je me réveille en sursaut, j'ai des sensations de palpitation au niveau du coeur, avec un malaise souvent dans le bras gauche, et j'ai surtout l'impression d'être à 2 secondes de la mort, donc la chienne me poigne vraiment.

Bref une vrai partie de plaisir.

La médecine est bien documentée sur ce problème, donc les médecins généralistes peuvent t'aider ou un psy en autant que tu leurs décrivent bien tes symptômes.

Suggestions:

Personellement c'est en découvrant cette famille de médicament que j'ai réglé ce genre de problème en moins de 10 min. lorsque j'ai découvert le bon dosage et surtout quant prendre le médicament pour que l'effet soit le plus bénéfique.

Médicaments possibles (Ils sont de la même famille) il n'en tient qu'à toi d'essayer (un à la fois) et de trouver le bon dosage.

On parle donc du : Xanax--Rivotril--Activan.
En autant qu'ils portent le même nom sur l'autre continent.
:D

Pour ma part j'ai essayé le Xanax et le Rivotril. Les deux fonctionnent très bien. Cependant j'ai remarqué que l'effet du Rivotril est plus long, donc plus difficile a ce réveiller le lendemain, cependant le Xanax à faible dose me donne de sérieux problème d'excéma aux mains, en échange l,effet disparait plus vite vers la fin.

Dosage:

Pour les deux c'est à peu près la même chose soit:

0.25 mg au levé au midi au soupé et un 0.5mg au couché. Avec l'expérience je sais quant je dois augmenté ou diminué au besoin. malheureusement c'est l'expérience (essai-erreur) qui te le diras.

J'ai remarqué que si je prend d'autres médicaments avec on peu devoir réajuster les dosages en plus de façon général.
Remarque que tu as une bonne marge de manoeuvre car tu peux facilement prendre jusqu'à 6mg par jour au total, personellement j'avais trop de gros étourdissement donc j'ai diminué lorsque j'ai essayé jusqu'à ce dosage.
Il faut bien comprendre ici que chaque personne ne réagit pas de la même façon, donc ce qui fonctionne pour l'un ne sera pas vrai pour un autre d'ou (essai-erreur).

Dernièrement j'ai due cesser les autres médicaments que je prennais, résultat j'ai ramené mon dosage de Xanax de 3 mg à 1.5mg par jour et moins parfois.

J,ai dans ma pharmacie du xanax et du Rivotril que j'alterne parfois dans la même journée, bref je fais encore des expériences à cause des effets secondaires mentionné plus haut.

Bien entendue tu auras compris que j,ai le Go de mon Psy, il me connaît et sait que je vais essayé des choses si ça ne fonctionne pas bien, cependant il me dit jusqu'ou je peu aller sans problème médicale.

En espérant que mon expérience te permettes de trouver rapidement ta solution.

NB. si tu dois prendre plus au couché..ex:1.5mg c'est possible, le truc est de commencer à faible dose jusqu'au moment ou ça fonctionne.
Ne néglige pas les comprimés du jour, car il y a un effet cumulatif du médicament au fil de la journée.

Bon j'arrête la. Donne mois-en des nouvelles. ah oui j'oubliais il est facile d'arrêter ses médicamants, il n'y a pas de gros effet de dépendance si tu désires arrêter.
Demande à ton médecin on parle de une voir maximum deux seamines pour les arrêter, le tout dépend bien entendue du dosage que tu prends.

Bonne chance.

Tes symptomes ne sont pas atribuer à ta dépression, mais bien a un trouble de panique.

Lorsque je suis en crise d'angoisse aiguë, je déréalise (comme si je vivais dans un rêve), je reste figué, terrifier, sans comprendre ce qui marrive. Jai aussi eu plein d'autre symptomes tels délires et appréhension du réel (j'ai le trouble s'Est agravé car je n'Avais pas voulu me faire soigné)

Bref je comprend le cauchemar que tu vis. Lorsque tu te réveille en sursaut, c'Est pcq tu es en plein crise, une crise qui est débuter pendant ton sommeil, et pas longtemps après les symptomes apparaise. Le trouble panique ce soigne par antidépresseur (le plupart du temps), on ma prescrit 20mg de Celexa (citalopram) malheuresuement cette dose ne règlais pas tout mes symptomes, dont mon médecin la augmenter a 30mg.. Encore la TOUT mes symptomes étais disparu et ainsi que tout mes crise, mais trop d'Effets secondaire je suis donc revenu a 20mg. Depuis je suis devenu dépressif, j'ai commencé a me mutilé le bras, jusqu'a ce kon le découvre et quon m'envoi en psychiatrie. LE psychiatre ma prescrit du Rivotril (antianxiolytique) qui complètera les effet du Celexa. Pour l'instant tout va bien.

Je te conseille donc de consulter un psychiatre qui pourra t'aider.

Bonne chance

Quel age a-tu ? Tu sembles avoir malgre tout reussi une certaine vie sociale (tu as des enfants)...

Pour le psy, quand je suis sur ce forum, je me dis que j'ai eu une certaine chance, je n'en ai pas consulte bcp. Seule celle chez qui j'ai frappe, et qui m'a aidee au fur et a mesure des annees (tres chargees par ailleurs sur le plan perso). Mais ma haine du medical m'a defendue de frapper chez un psychiatre. Peur de la medicalisation, certainement. Alors que j'etais moyennement consciente d'etre assez bas pour en beneficier.
Je suis donc assez mal placee pour conseiller apres l'echec d'un certain nombre de psys. Mais je suis de plus en plus farouchement opposee aux psys qui prescrivent du chimique avant de comprendre les raisons du mal-etre, qui n'a en general rien de chimique (une education ratee, le plus souvent).

Maintenant, de ce que tu decris, il est sur que la perte quasi instantanee de tes 2 parents (surtout si tu as grandi alors que tu allais deja mal) ne peut pas t'avoir laisse indifferent, mais avec des blessures profondes, et surtout muettes... Qui se rouvrent lorsqu'on a affaire a ses propres enfants.

La relaxation, ca pourrait aider a controler sa respiration pour le moment ou on sent la crise de panique monter (les miennes, c'etait surtout en soiree). J'avoue qu'a priori, pendant le sommeil, ca semble plus complique... Mais je me demande si des techniques telles que le yoga ou la sophrologie ne pourraient pas aider, au moins pour te sentir moins mal juste apres le reveil.

Maintenant, j'ai l'impression de te sentir tellement bas que ce que je te dis risque de te sembler plutot comme un cataplasme sur une jambe de bois... Et que tu as surtout besoin de reprendre un peu confiance en toi et en tes facultes a t'en sortir... Sois juste sur qu'elles existent. Peut-etre que pour reprendre du souffle, tu devrais essayer de t'eloigner un peu de ton quotidien (je sais , avec des enfants, ca ressemble a mission impossible !). Ou arriver a te creer des moments bien a toi, de preference hors de ton domicile. Souvent, apres ca, on revient aux problemes avec un esprit un peu plus efficace.

Bises

Izaza

Merci pour ta réponse Izaza.

Je n'ai découvert que vers 17ans que j'était dépressif. La mort de ma mére a 16ans et le rejet de mon pére mon mit vite dans la réalité des choses.
J'ai essayé de voir plusieurs psy qui ne m'ont pas apportés grand choses.

Le psy-Bonjours monsieur, ca va cette semaine?
Moi- ben j'essaye suivant vos conseils de trouver l'origine de mon mal, de remonter loin, mais bon je n'arrive pas a faire le lien.
Le psy- ben c'est pas grave vous allez y arriver, je vais vous aider en vous assoment un peu plus avec divers antidepresseurs!!!
Voila rien de bien concret, jamais de thérapie de fond.
Tu me dis de trouver une méthode de ralaxation, mais ces crises de paniques me surviennent le plus souvent la nuit alors que je dors, comment puije etre plus relaxé que en dormant?.
Aujourd'hui j'ai pas le moral et j'ai vraiment une peur atroce de basculer dans la folie créant la grande tristesse des gens qui m'entoure et qui m'aime.
J'aimerai telement que ces angoisses me laisse enfin vivre et que je puisse aprécier pleinement le bonheur de voir mes enfants sourires .

Salut !

Dis-toi surtout que rien n'est immuable, et que parfois de tels etats peuvent s'ettenuer ou disparaitre plus vite que l'on a l'impression...
J'avoue que si depuis tout petit tu es depressif, ca ne disparaitra pas en 2 jours, mais il y a moyen de se prendre en main.
Tu dis que tu prends des comprimes, mais est-ce la seule demarche que tu entreprends pour aller mieux ? T'es-tu penche sur les raisons de ton mal ? As-tu tente d'autres moyens pour te detendre, eviter que les crises de paniques n'aillent trop loin ? Je pense aux techniques de relaxation, eventuellement aux medecines douces. Suis-tu une psychotherapie ?

Je suis aussi tombee dans les symptomes depressifs tres petite, et bien profondement. Bcp de choses sont restees enfouies tres longtemps, et la majeure partie de mon mal a completement echappe a mon entourage. Je ne me suis prise en charge qu'il y a 4.5 ans, en me decidant a pousser la porte d'une psychologue. Je suis aujourd'hui tjs suivie, et les crises de panique ont fait partie des choses qui sont arrivees durant la therapie, longue, pronfonde. Je n'ai jamais eu de medicalisation (ma psy m'a classee "pathologique", mais sans me diriger vers un medecin, et je me suis aussi fait aider par une homeopathe, apres la periode la plus rude).
Mais j'estime que la therapie a joue le meilleur role: remonter aux sources du mal, l'expliquer, mettre des mots, travailler sur les mecanismes qui m'ont amene la, mettre en place des moyens d'eviter les obstacles... J'estime que tout cela, avec des medicaments, aurait ete impossible. J'ai maintenant depasse la trentaine, et j'ai reussi a m'inserer socialement, fonder une famille. Donc je pense qu'il n'y a pas de raison, que les chances de s'en sortir existent.

Bon courage.

Izaza