J'engoisse juste à savoir que je serais peut-être bipolaire

Bonjour!

Je suis une maman de 32 ans qui est en dépression près de 1 ans (depuis le 18 aout 2005). J esuis suivi par une psychologue des le début de mon arrêt de travaille. Comme médicament je prennais au début seulement Effexor jusqu'a 200 mg . Pas d'amélioration, alors baisse le effexor et ajoute le welbutrin 2 fois par jours.donc 2 antidépresseur.

Pas beaucoup plus d'évolution même que j'ai commencer à avoir des effets sec , vertige maux de têteet les idées noirs on commencés. Donc vu que l'amélioration ne se faisait même avec les consultation avec la psy, il a commencer `se poser des questions sur les troubles bipolaires. Et comme que cette maladie est dans la famille (mon grand-père) et bien il est encore plus convaincu. Il m'a fait ouvrir un dossier en santé Mental, ce que j'ai fait en début mars et je n'est pas eu de nouvelles encore et nous sommes en juillet. Me voilà comme médicament Welbutrin 300 mg 2 fois par jours et divalproex 250 mg 3 fois par jours.

Je suis vraiment découragé j'ai l'impression que depuis que je suis suivi pour cette fichu dépression que je suis de pire en pire. Je suis zombi paresseuse, je veux juste dormir. J'ai de la difficulté à m'occupé de mes enfants, et quand je me lève le matin je me dit encore une autre journée à faire.Et ya des fois que j'aimerais ne pas me réveiller le matin.....

Voilà je voulais juste en parler merci

Bonjour Juju,

On croirait lire mon histoire, même les dates concordent, seule les médicaments diffèrent. J'ai attendu 4 mois pour voir un psychiatre, du 31 janvier au 31 mai. Ma psychologue et mon médecin me pensaient bipolaire puisque je ne prenais pas de mieux. J'ai toujours supposé que ma médication n'était pas adéquate, mais personne n'essayait de la modifier. Ils ont ajouté le Lithium, j'ai été mieux un temps, mais j'ai rechuté. Finalement, je n'étais plus moi même, je savais que j'avais des enfants qui avaient besoin de moi dans un petit coin de mon cerveau, mais pas assez pour survivre dans cet état. Alors un matin, après l'une de mes nombreuses nuits d'insomnies, j'ai envoyé les enfants à l'école, mon chum au bureau, j'ai nourrie les animaux et arrosé mon jardin. J'ai pris l'auto avec l'intention d'en finir et de ne plus revenir. Puis sur l'autoroute j'ai vu une pancarte annonçant l'hôpital, j'ai commencé a y pensé, à la 2ieme pancarte, j'ai pris la direction de l'hôpital. J'y suis arrivé dans un état de détresse extrème et ils mon gardé. J'y ai passé 3 semaines. Ils ont changé ma médication d'un bout à l'autre et établie un nouveau diagnostique. Je suis maintenant bordeline (trouble de personnalité limitte). Les changements apportés à ma médication et à mon état physique et mental auraient pris de 3 à 6 mois à l'externe. À l'hôpital ils peuvent se permettent de faire des changements plus radicaux puisque qu'on est en observation, si ça ne fait pas ils réagisse à la journée, pas au mois !

Bref, la morale de cette histoire, c'est que si tu sens que la situation t'échappe, alors n'attend pas d'être rendu trop loin, n'attend pas que ton cerveau te bouche toute les issues. Lorsqu'on est rendu à bout et que les personnes qui nous suivent baisse les bras, il faut aller chercher l'aide ailleur. On a pas besoin d'être dans un état extrème pour être admis à l'hôpital, j'en ai vu qui était beaucoup plus fonctionnel que moi.

Si tu t'inquiète pour tes enfants, imagine les semaines qu'ils ont déjà passées et celles qu'ils devront encore passées. C'est peut payé pour retrouver leur maman.

Bonne chance et donne moi des nouvelles :wink:

Bonjour Juju32...

Une période difficile pour toi qui se prolonge, normal d,en avoir marre, je te comprends...mais souvent long a bien stabiliser, et pour l,attente en santé mentale, souvent trop long, serait important tu prennes contact avec eux et leur dire que ca va pas, tu peux le faire régulierement, ca aide parfois faire avancer ton suivi, surtout, peut-etre la réponse a mieux te stabilisé s,y trouves, ce qui te serait grandement bénifique a revecoir le bon traitement... le diagnostic si a a ce posé, dis-toi bien n,est qu,un mot, faut pas en avoir peur, c,est celui qui t,aidera a mieux stabilisé...et a faire les changement pour un mieux etre.....et non, tu es pas paresseuse...sont les effets secondaires qui te rendent au ralenti...te souhaite que bientot, tu ai les réponses, a t,aider faire sentir mieux...en attendant, je t,encourages persévérer ma belle et jeune maman...les jours meilleurs viendront...courage...