Toc ou schizophrénie ?

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Message #3

#3 Posté le par Bonnemine

Bonjour,

Vous dites que vous ne baisserez jamais les bras face à un copain qui vous fait du tort. Mais cela n'est pas une attitude forte et intelligente, (désolée d'être si crue mais vous avez besoin d'être secouée...) parce que vous baissez réellement les bras sur la personne la plus importante de votre vie: vous-mêmes.

Et ce n'est pas être du tout égoïste que de le croire, parce que si la paix et le bien-être ne sont pas présents déjà à l'intérieur de votre coeur, vous ne les trouverez jamais dans les autres. La paix est un état intérieur et se dégage. Si l'autre ne veut pas la recevoir, vous n'y pouvez rien, et vous vous acharnez ainsi envers une personne qui ne veut même pas la recevoir parce qu'elle cherche à vous contrôler, à vous l'enlever par ses jeux du mental.

Vous dites que vous n'y pouvez rien. En vous convainquant de cela, sous le couvert de paroles justifiant votre grandeur d'âme, vous laissez tomber votre volonté, qui est le pouvoir de la pensée qui agit et qui peut agir. Cela prend le désir de le faire et vous aimez ne pas avoir le désir de prendre votre vie en main. Vous laissez le pouvoir de votre volonté entre les mains d'un copain qui aime vous contrôler et en plus, en accord avec votre propre consentement. C'est pourquoi vous êtes vraiment une victime consentante à vous laissez contrôler, vous laissez quelqu'un d'autre contrôler vos sentiments personnels et vous faire vivre l'enfer et le fait de continuer de croire que vous n'y pouvez rien fera en sorte qu'effectivement, il ne se passera rien de neuf.

Vous pardonnez à quelqu'un qui cherche à vous faire vivre l'enfer. Vous ne trouverez pas la paix du paradis tant que vous consenterez à faire dominer ses angoisses sur votre volonté personnelle. Il vous enleve votre volonté et vous y participez vous-mêmes. En plus, il sait bien que vous ne l'abandonnerez jamais, il joue là-dessus, alors même si vous dites je le ferais si je rencontrais quelqu'un d'autre, vous risquez de tomber sur le même type d'homme parce que vous non plus, vous ne semblez pas apprendre de vos erreurs, vous voulez continuer d'être comme ça c'est-à-dire servir de bouée de sauvetage à votre copain.

Désolée d'être si directe, et je ne referai plus d'intervention promis, parce que vous avez dans votre entourage plein de personnes qui sont conscientes et qui tentent de vous ouvrir les yeux. Mais vous vous en foutez de ce qu'ils vous disent, vous ne voulez pas comprendre sous le couvert de l'excuse Je lui pardonne, car j'ai tellement une grande âme de sauveuse. Et vous angoissez à l'idée que si vous le quittiez, le pauvre se retrouverait à la rue. Savez-vous que bien des gens se sont repris en main à partir du moment où ils ont été confrontés à la solitude ? Il existe toujours une solution, un endroit à aller pour se reposer et refaire le point sur sa vie. Votre appartement n'est certainement pas le seul endroit sur terre où il pourrait loger temporairement. Le croire c'est se fermer les yeux et dénigrer les nombreuses ressources sociales qui sont disponibles et qui n'attendent que de nous dépanner, de nous aider dans nos municipalités. Vous n'êtes pas son ultime refuge et la seule personne sur terre qui peut l'aider !

Moi je suis en train de vous dire que "Charité ordonnée commence par soi-même". Si dans votre âme et coeur, vous ne faites que donner votre amour à quelqu'un qui vous nuit et qui ne vous aime même pas (et dans votre cas, c'est tellement clair, depuis le temps que vous vous acharnez à lui faire comprendre et essayer de l'aider (il doit réellement s'amuser à vos dépens! C'est devenu tellement ridicule votre histoire)) et vous ne vous aimez pas assez pour vous respecter, eh bien votre grande indulgence se trouve gaspillée. Vous gaspillez et votre amour, et vos forces envers quelqu'un qui ne les reçoit pas et qui se fout carrément de vous.

C'est vous qui faites pitié, pas lui. Habituellement, les personnes qui pardonnent à leur bourreau ne continuent pas de le fréquenter parce qu'ils veulent évoluer et panser leurs blessures. Cela ne se fait pas si votre bourreau continue de vous flageller à tous les jours. Ce n'est pas du pardon que vous devriez parler, c'est reconnaître que vous ne vous aimez pas assez pour passer à autre chose, c'est-à-dire penser à vous aimer.

Le "pardon" dont vous parler ne se fait pas vraiment en vous car vous continuer de souffrir à cause de lui et aussi parce que vous croyez qu'il ne sait pas ce qu'il vous fait subir, alors qu'il le sait très bien mais ne veut pas arrêter parce que c'est un jeu qui l'amuse. Il sait que vous l'aimez inconditionnellement. Il y a personne qui peut aimer comme le bon Dieu nous aime et vous vous mentez à vous-mêmes si vous croyez que votre amour n'a pas de limites. Reconnaissez vos limites, nous sommes tous sans exception des êtres imparfaits et nous nous sentons très bien uniquement en relation avec des personnes qui nous veulent du bien, pas du mal.

Vous avez la tête dure et c'est à votre détriment. Je suppose que vous aimez vous convaincre que vous êtes très compréhensive (aucune femme au monde n'aurait pu accepté cela, sauf moi)... peut-être que la plupart des femmes comprennent que le fait de se laisser maltraiter doit arrêter un moment donné. Elles comprennent que si l'autre les maltraite elles ne sont pas heureuses et on a tous besoin de ressentir le bonheur et la légèreté de l'être si on veut bâtir une vie stable avec quelqu'un. Vous vous enorgueillez de votre grande compréhension que vous considérer phénoménale.

Au fil du temps, vous avez fini par croire que cela est votre qualité la plus importante ... alors que pour dire vrai, vous aimez vous accrochez aux souffrances des autres, cela vous renvoie une belle image de vous (Les gens parfois que je ne connais pas, se confient instinctivement à moi, me racontant leur vie et leurs problèmes, je ne sais pas pourquoi, peut-être est-ce que je dégage un sentiment de confiance). Vous êtes sûrement très réceptive, et cela est bien, mais vous en faites le rôle principal de votre vie car c'est devenu plus important que votre paix intérieure et le désir de vous donner de l'amour à vous.

Toutes ces pensées vous donnent votre raison d'exister. Et cela est extrêmement triste. Vous devenez votre propre bourreau, par vous-mêmes. Comprenez cela et je vous garantie que vous deviendrez plus heureuse par la suite. Mais ça, c'est si vous tenez à vous.

Sans rancune

Message #2

#2 Posté le par PetitLion

Merci d'avoir pris la peine de me répondre, aussi longuement.

Peut-être que c'est mon destin d'aider, au détriment de moi-même, à chaque fois que j'aime un homme.

Dans ma vie, j'ai eu plusieurs personnes à problème, à croire que je les attire, à chaque fois.

Je sais que je suis quelqu'un d'obstiné, je ne baisse jamais les bras, ça peut paraître bizarre mais c'est ainsi. Un peu comme si je me sentais investie d'une mission. Les gens parfois que je ne connais pas, se confient instinctivement à moi, me racontant leur vie et leurs problèmes, je ne sais pas pourquoi, peut-être est-ce que je dégage un sentiment de confiance.

Quant à mon ami, TOUT LE MONDE me dit de l'abandonner, mais je ne peux pas, je me dis que tout finit un jour par payer. Hier soir on a reparlé calmement de ses TOC, il m'a dit que j'étais la première personne à qui il en parlait, j'ai dédramatisé son problème. En espérant qu'il prenne conscience de tout ça et qu'il fasse le pas d'aller voir un psy.

Mais je dois dire aussi que je ne suis pas la seule qui essaye de l'aider, mes amis aussi, le font pour moi, car ils en ont marre de me voir souffrir, d'être en larmes à chaque fois, à chaque incartade. Son obsession aussi de "vouloir me tromper", est aussi une des caractérisques de son comportement. Il m'a dit que s'il avait vraiment voulu me tromper il l'aurait fait depuis longtemps, comme s'il avait toujours besoin d'être en danger dans notre relation pour y mettre du piment.

Avant les vacances, mon fils voulait venir le foutre dehors. Je reprécise qu'on a 20 ans de différence, il en a 28 et moi 48. Donc mon fils de 26 ans ayant appris qu'il avait demandé à une fille de 15 ans (soeur d'une ex) de sortir avec lui (chose utopique, faite par sms à une fille habitant à plus de 100 km et mon ami n'a pas de voiture ni l'argent pour prendre le train ni le bus), mon fils a pété un câble et au tél lui a dit de préparer ses affaires pour le lendemain, qu'il venait le mettre dehors. Mon ami n'a pas réagi, pour lui je pense que c'était pas possible, il a fait comme si de rien n'était, il a nié pour la fille alors qu'on avait les preuves, après il a dit que c'était une histoire sans conséquence, sans jamais me demander pardon.

Cette fois-ci encore j'ai pardonné, j'ai demandé à mon fils de ne pas intervenir car sinon mon ami se serait retrouvé à la rue, ses parents étant partis en vacances (d'ailleurs sa mère n'en veut plus...). Mais voilà, malgré tout ça, il a recommencé après les vacances, n'apprenant jamais de ses erreurs, ne réfléchissant pas au fait que là, cette fois-ci si mon fils l'apprenait, ça serait définitif (et d'autres amis prochent qui seront là pour le mettre dehors aussi), il a piqué un contact msn d'une fille de 17 ans à un copain d'un copain. Résultat, tout le monde veut lui casser la figure, mais ça n'a pas l'air de le toucher, pour lui c'est pas "grave".

Si je faisais la liste, elle serait trop trop longue de tout ce qu'il a fait depuis qu'on est ensemble, je sais qu'aucune femme au monde n'aurait pu accepter tout ça, exceptée moi, mais j'y peux rien, peut-être que si je rencontrais quelqu'un d'autre, je pourrais le mettre dehors, le quitter, mais je ne peux pas, c'est comme ça, alors en attendant j'essaye de le comprendre, désespéremment.

Amicalement

Message #1

#1 Posté le par Bonnemine

Bonjour PetitLion,

J'ai été consulté quelques-uns de vos anciens messages. Je crois que votre ami souffre de plusieurs troubles à la fois, il est pratiquement impossible de se prononcer sur un seul trouble puisqu'il semble également avoir tendance à souvent vous mentir et/ou vous cacher la vérité. Et il invente toutes sortes de raisons à chaque fois que vous voulez parler franchement, ce qui, à mon avis, est une façon pour lui de s'amuser avec la vie. Et avec vous aussi, à vos dépens.

Vous lui manifestez beaucoup de patience et de gentillesse, et même votre indulgence ne change rien à ses comportements, puisqu'il vous répète qu'il ne les changera pas même si vous les remarquer et même s'il sait que cela vous fait souffrir, vous inquiète.

Dans son cas, je crois sincèrement que la seule option qui s'impose c'est qu'il consulte un bon psychologue. Comme il ne semble pas vouloir coopérer, ou changer sa façon d'agir envers vous, ce qui doit vous demander une quantité considérable d'énergie, je ne crois pas que vous puissiez de par vos propres moyens l'aider à aller mieux. Vous ne pouvez pas faire le travail d'amélioration de lui-même à sa place.

Votre relation actuelle semble tourner en rond sur elle-même, et ce, depuis quelque temps déjà (en constatant les différentes dates de vos messages). De son côté, votre ami n'a pas l'intention de changer comment il est, et même si pour vous ses comportements vous font vivre l'enfer par moments, vous demeurez toujours optimiste que "peut-être demain cela ira mieux." Tant et aussi longtemps que vous penserez ainsi, il ne le fera pas par lui-même, parce que lui ne veut pas s'aider vraiment.

Vous semblez être prise dans un cercle vicieux avec votre ami. Il ne vous dit pas, en paroles sincères et prononcées, qu'il vous aime. Il ne peut que vous l'écrire. Cela démontre qu'il n'est pas prêt à être vrai, en paroles, envers vous. Pourquoi vous acharnez-vous vous-même à vouloir l'aider s'il ne le veut pas ?

Qu'est-ce qui vous fascine tant à son sujet s'il ne vous manifeste pas de vérité ni d'amour sensible, mais est plutôt porté à jouer un rôle de façon quasi constante, envers vous et envers lui-même ? Vous êtes sa copine, et votre relation avec lui n'est pas neutre. Tant qu'il pourra bénéficier de vos cordes sensibles, en jouant avec votre grande indulgence, il ne sentira pas la nécessité de changer le rôle principal qu'il a décidé de jouer dans sa vie: être quelqu'un d'insaisissable, qui aime séduire mais qui ne désire pas partager son univers avec quelqu'un, en vérité et en profondeur.

Je suis un regard objectif sur votre situation, et il m'apparaît flagrant qu'il vous fait sa victime. Vous ne le confrontez pas, vous encaissez et tentez de le comprendre. Est-ce que vous en êtes réellement amoureuse ? Si oui, pourquoi? Pourquoi tenez vous à quelqu'un qui n'est même pas sincère envers vous? Et pourquoi cela ne vous dérange pas suffisamment pour lui imposer de voir un bon spécialiste? Seulement parce que lui, il ne le veut pas, mais vous, ce que vous aimeriez, est-ce que ça compte pour vous ? Et vous, que voulez-vous vivre avec cet ami réellement ? Vous voulez l'aider, mais il ne le veut pas! L'évolution de votre relation ne peut pas se faire, elle stagne dans cette impasse, et vous tournez en rond, essayant de le comprendre sans qu'il veuille qu'on le comprenne.

Et une autre question qui me vient à l'esprit.... admettons que vous réussissez à saisir, à comprendre, tous ses troubles de comportements. Qu'allez-vous faire? Vous allez les lui dire, et attendre sa réaction. Je ne suis vraiment pas certaine que même si vous trouvez exactement ce dont il souffre, qu'il se mette à changer et à devenir sincère et authentique avec vous. Pourquoi? Parce qu'il ne veut pas en parler. Vous, vous lui dites ce que vous ressentez et lui fait tout pour rester comme il est, en évitant surtout d'en parler. Il tient à son personnage ! Il souffre peut-être, ses comportements l'indiquent, mais le seul fait de trouver ce dont il souffre réellement ne fera pas en sorte que cela règle tous vos problèmes. Parce qu'il lui manque la seule condition nécessaire à faire la lumière sur soi: la volonté que cela se fasse. Et à cause de cela, même si vous parvenez à le comprendre de A à Z, vous demeurerez quand même impuissante face à l'amélioration de votre relation.

À mon avis, vous êtes dans une impasse qui empêche l'amour de se manifester entre vous, et cette impasse est bien contrôlée par votre ami. Vous me semblez être la seule qui nage et désire avancer. Vous avez tenté plusieurs fois de l'aider, de toutes les façons, et cela ne change rien.

Votre dernière question de ce message est: " Je sais que je ne peux pas l'obliger mais comment faire, quel comportement puis-je avoir face à ça ?" Eh bien, il n'y a rien que vous puissiez faire, parce que vous avez essayé de communiquer franchement avec lui, à plusieurs reprises, et il ne le veut pas. Tant et aussi longtemps que vous ne comprendriez pas cela, vous allez rester au même point dans votre relation avec lui, parce que lui ne se relie pas à vous pour communiquer, et ne se préoccupe pas de ses propres attitudes envers vous. Il ne s'en soucie d'ailleurs même pas pour lui-même !

Toute amélioration des comportements d'une personne se fait uniquement si cette personne le désire véritablement. On ne peut pas changer les autres, on ne peut que se changer soi-même, et prendre de nouvelles dispositions pour y arriver.

Bonne chance dans votre détachement de votre ami, car un jour ou l'autre, vous devrez le faire. Un jour, vous en aurez marre de jouer l'unique rôle que vous tenez dans cette relation: celui de mère et de psychologue (et il ne veut même pas en consulter un seul ?!). Tant qu'il n'y a pas de sincérité dans une relation, il n'y a pas vraiment d'amour. Et je suis sûre que vous le ressentez au plus profond de vous, mais vous vous acharnez mentalement à vouloir l'aider contre son gré et vous oubliez que vous êtes en relation avec quelqu'un qui ne vous aime même pas. Abandonnez votre rôle de psychologue à son endroit, vous arrêterez ainsi de vivre constamment dans un cercle vicieux qui stagne, dans une relation qui vous pourrit l'existence à force de vivre par procuration.

Ne méritez-vous pas de vivre de façon plus libérée, d'écouter vos désirs, de penser à vous pour une fois ? N'avez-vous pas envie de vivre, et non plus subir, refouler, dénigrer votre propre vie, parce que vous ne voulez pas arrêter de vous inquiéter ? Il n'en tient qu'à vous, vous seule, de créer votre paix intérieure.

Jamais personne d'autre peut nous donner notre sentiment de liberté intérieure. Si on croit que l'autre peut nous faire sentir mieux si on l'aide à être mieux, si le fait qu'il agisse mal nous fournit des angoisses au point de négliger nos propres besoins personnels, on risque de passer la majorité de notre vie à être déçu parce qu'inconsciemment, on s'enlise à mettre notre bonheur sur la responsabilité, l'attitude, le comportement ou l'amélioration de l'autre. Aucune personne ne doit représenter la source de notre bonheur absolu, sinon on ne fait que se créer des attentes envers cette personne et cela nous éloigne de notre propre paix, en nous empêchant de vivre l'authenticité du moment présent. En vous attachant à l'idée de vouloir l'aider coûte que coûte, à vouloir le comprendre malgré tout, vous restez prise presque constamment "dans votre mental" qui projette dans le passé, dans le futur, et analyse la situation. Vous restez accrochée à vos inquiétudes, vous devenez par vous-même une victime consentante, à vouloir décortiquer les comportements de votre ami alors que lui s'amuse à inventer des raisons farfelues pour ne pas que vous le saisissiez. Ainsi, vous vous empêchez vous-même de vivre dans le moment présent, qui est le seul moment de l'authenticité et de la liberté, le seul moment qui indique la valeur véritable d'une relation et qui fait qu'une relation évolue dans un état sincère.

L'état de paix intérieur, le bonheur, ou le sentiment de liberté, s'acquiert à force de travailler sur notre bonne volonté, à chaque instant, pour notre bien-être personnel. La paix ne se trouve pas dans les pensées, ces dernières ne sont que des constructions du mental, pas un état affectif et serein. Il n'y a pas non plus de paix réelle dans le passé (pensées de souvenirs) ou dans le futur (pensées de projections, de "si cela arrive", etc.) ou dans des pensées de rêves. Nos rêves personnels sont essentiels pour l'équilibre de notre vie, et se contruisent réellement seulement à partir du moment où on décide de les bâtir, et c'est toujours au moment présent, ici et maintenant.

Tout part de nous et seulement nous; nous pouvons - et devons! - nous-mêmes exercer notre propre volonté pour améliorer notre vie, cela ne peut jamais venir de quelqu'un d'autre, ou à un autre moment.

Amicalement, Bonnemine 8)