j'aime mes stigmates... est-ce grave?

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Message #10

#10 Posté le par loisemakhno

Salut!

Je me sens mieux à chaque fois que je lis vos messages: quelle heureuse surprise de découvrir que d'autres peuvent s'interesser à moi, me souhaite de jolies choses, etc. C'est émouvant :oops:

Deuce:

Moi aussi, je "crie dans la foret". En fait, c'est plutôt des concours de hurlements que j'organise dans la voiture familiale, et (malgré ma toute petite voix de tous les jours), en général, c'est moi qui gagne haut la main devant mon compagnon et mon fils :lol: . C'est vrai que çà délasse, çà soulage.
Sinon, merci pour ta référence, j'irais voir en librairie si je peux le trouver!

Marika25:

J'ai du mal à répondre à ta question (c'est assez obscur pour l'instant mais j'espère un jour pouvoir y répondre plus précisemment).
Je pense que c'est directement lié à mon enfance, avec deux phénomènes jouant leurs rôles:
-j'ai perdu quasiment toute ma famille de maladies quand j'étais petite. J'imagine que le fait de voir tous ces malades, qui attiraient l'attention, ont dû influencer ma vision d'alors. La maladie, la douleur, apportent la présence et l'attention d'autrui.
-mon rapport à ma mère, seule bouée de sauvetage qui m'est resté jusqu'à l'âge adulte: ma mère a tout-vu tout-vécu, et je n'ai jamais eu la place de pousser dans ce "despotisme" émotionnel.
La solution que j'ai dû trouver pour exister est, je crois, la pitié, la douleur, une sorte d'autoflagellation perpetuelle...
Je ne sais pas trop comment en sortir, mais je sais que faire du ménage dans ma relation à ma mère toute-puissante est probablement la première chose à faire. Seulement, toute la difficulté réside dans le fait de ne plus avoir peur de la réaction de ma mère -c'est en quelque sorte un cercle vicieux- pour pouvoir affronter ses réactions...

Izaline

Le cancer me travaille beaucoup aussi, surement parce que mon père en est mort quand j'avais 6 ans, mais aussi parce que j'ai des conduites dites "à risque". Cela ne m'aide bien sur pas à arreter de fumer comme un pompier par exemple, mais tous les jours j'y pense :roll: .

Pour l'automutilation, ça me parle: je suis en train de me manger la peau des lèvres :? à l'instant où je t'écris, chaque sujet d'angoisse m'ayant toujours fait cela depuis toute petite. D'ailleurs, là aussi, je n'ai pris conscience de son coté "automutilation" il y a tres peu de temps. Avant, c'était un TOC et rien de plus. Lors de crises de violentes colères, çà allait plus loin. Mais ce coté là s'attenue avec le temps, d'autant plus depuis que je prends des antidepresseurs (c'est d'ailleurs leur principale utilité sur moi, il me semble).

Ton image des boites de conserves est en effet tres parlante. Seulement, je ne me vois pas faire quoi que ce soit de ces jours: peur et fatigue se melent et m'empêchent de souhaiter VIVRE demain. En d'autres termes, si quelqu'un m'ouvrait les portes d'un paradis, je serais preneuse. Sinon, je "reste couchée" :wink: .
A force, peut-être arriverais-je à refaire un pas dans le monde, mais pour l'instant, et même si je suis une virulente athéee, je ne rêve que d'une chose: rentrer chez les carmélites, et y trouver la solitude et le silence... :roll:

Expérience perso

#9 Posté le par Izaline

Bonsoir Loisemakhno, et, meilleurs voeux pour 2007.

Ton appel m'a profondément touchée parce que j'ai vécu ce que tu as vécu je pense. J'étais très anxieuse sans même le savoir. Je pensais du coup avoir je ne sais quelles maladies incurables (de préférence)... Notamment, cancer de la gorge parce que je fumais, et, que j'avais la gorge perpétuellement nouée...

Et puis, un jour, on va plus mal que les autres, et, on se rend compte que l'on ne peut plus vivre ainsi, alors, on cherche de l'aide vers les professionnels de santé.

C'est ce que j'ai fait il y a 5 ans environ. J'ai fait une psychothérapie, je suis passée en la faisant par toutes les formes possibles de l'angoisse, mais, petit à petit, elles se sont estompées. :!:

Je ne peux que t'encourager à trouver de l'aide : CA VAUT LE COUP ! La vie n'a plus rien à voir après !
J'étais une "sous-personne" avant, je commence à exister, tu ne peux pas savoir ce que ça fait du bien ! :)

je pense quelque part, que l'angoisse, sous toutes ses formes, est à l'image de l'automutilation. Ainsi, lorsque l'on s'automutile, que l'on se maltraite, c'est simplement pour se "prouver que l'on existe" : cela en toute inconscience tant qu'on ne nous a pas aidé à y mettre le doigt dessus. Lorsque l'on a compris, il faut être vigilant, et, chaque fois qu'on s'apperçoit que l'on se maltraite soit physiquement, soit mentalement (injures, insultes, dépreciations... la liste est vaste), il faut essayer de le voir de le repérer, et, à chaque fois qu'on le repère, on avance un brin.

Bien sûr, cela est long, laborieux, mais, je te promets que ça vaut le coup. On a qu'une vie, il ne faut pas attendre qu'elle soit finie pour essayer de la vivre !

Un jour un médecin m'a dit : chaque jour que vous ne vivez pas, vous ne pouvez pas le mettre dans une boîte de conserve en vous disant je le vivrai un autre jour.... ça m'a profondément frappée ! Non, je ne pourrai jamais rouvrir mes boîtes de conserves !

Bon courage Loisemakhno, j'espère t'avoir apporté un message d'espoir. En tous les cas, je te souhaite le meilleur pour l'avenir !
:)

De petites questions pour toi

#8 Posté le par Marika25

Bonjour,

Juste une question: quand as-tu commencé à te fier à ton extérieur pour juger de ton niveau de bonheur et de souffrance? Est-ce que tu peux lier ce besoin d'approbation ou de réprobation extérieure à un événement particulier? Sinon, que dirais-tu que ce trouble a pu t'apporter dans la vie? Car tous nos troubles, nos maladies, ont une utilité, veulent nous apprendre quelque chose, ou nous soulager de quelque chose...

Marika

Message #7

#7 Posté le par loisemakhno

Bonjour à tous.
Merci pour vos messages et encouragements. Cela me recreer une nouvelle petite famille, en quelque sorte...

Carpa:
Je suis d'accord avec toi: une psychothérapie s'impose si je veux vraiment faire le tour du problème. Mais je n'arrive vraiment pas en ce moment à me bouger le c.. pour trouver un thérapeute qui me conviendrait. D'ailleurs, si quelqu'un connait une bonne adresse en la matière dans le département 73 ou alentours, qu'il me l'envoie en mp. Merci!

Sinon, je prends quotidiennement un anxiolytique, et j'en suis même amoureuse (quand je l'ai découvert, j'eus une période où je chantais des chansons à sa louange :lol: ). Ca empêche les grosses crises, mais le quotidien reste douloureux. Peut-être devrais-je en prendre plus, mais l'idée d'en être dépendante m'ennuie. Alors, je n'en prend qu'un le soir, et un autre si je vis un moment anxiogène (passer le tunnel du Fréjus, affronter ma belle-famille, etc :oops: ).

c'est toi qui contrôlait toutes les fois ou l'angoisse était présente et ce dans toutes tes situations de vie ! Mais que ce soir-là, tu n'as plus eus le contrôle, et c'est pour cela que maintenant tu es aux prises de cette anxiété généralisé.

Ouais, mais comment fait-on pour se cacher si longtemps de telles évidences? J'ai depuis longtemps conscience que je n'ai pas conscience de moi, de qui je suis. Mais pourquoi? J'ai l'impression que "les autres" savent quand ils ont mal, quand ils sont malheureux. Pas moi. Je suis comme anesthésiée quand à mon ressenti, tout en étant par ailleurs quelqu'un de tres violent dans ses sentiments, ses humeurs, etc. Je ne sais pas trop quoi penser de moi-même...

Rémi:

C'est une partie de soi qui gère d'une mauvaise facon l'identité.

Tu as raison, je ne l'avais jamais formulé comme çà, mais ta phrase me parle beaucoup. Merci!

Y remédier? Apprendre à se regarder dans le mirroir en tant qu'identité propre et distincte

Je sais que tu dis vrai, mais cela m'est impossible (pour le moment). Cette idée me séduit, telle une musique enchanteresse, mais comme je me vois comme une petite fille, je ne vois vraiment pas par quel bout je pourrais acceder à un statut, en somme, adulte. C'est super angoissant!

Merci, merci , merci, et je continuerais volontiers cette discussion, le sujet étant si vaste...

Amicalement,
Loïsemakhno

Idéal inversé...

#6 Posté le par Aerofreak

Bonjour à toi! J'ai lu ton texte il m'a grandement interpelé. D'une part parce que je fais moi-meme de l'anxiété généralisé et de l'autre part parce que j'ai vécu et vie encore aujourd'hui cette envie de faire pitier pour qu'on me remarque et qu'on prenne soin de moi.

Mais ceci est une partie de moi seulement, une partie que je peux priorisé autant que les autres. Mais interieurement, nous savons tous que ces une part de soi qui tant à l'auto-destruction. C'est une partie de soi qui gère d'une mauvaise facon l'identité.

Avec le temps, avec les prises de conscience et les chutes, j'ai fini par améliorer mon identité interieur. Cette identité que j'avais et ai encore de la difficulté à développer.

Une chose que je peux dire qui est selon moi la clé pour développer notre identité et donc qui enrayera l'anxiété généralisée du même coup... c'est l'isolement! Je parle ici d'isolement psychologique et émotionnel et non physique. S'isoler, se fermer à autrui, c'est tendre vers l'appitoiement de soi. Cette outil efficace en mode de survis, mais à long therme, c'est tendre vers le gouffre...

Y remédier? Apprendre à se regarder dans le mirroir en tant qu'identité propre et distincte. Se visualiser d'une vue aérienne comme fesant parti du paysage. Faire un séjour en nature pour reprendre conscience de notre vrai nature.

J'espère que mes écris pourrons t'éclairer et au mieux t'aider à cheminer vers tes idéaux...

Amicalement...
Rémi

j'aime mes stigmates... est-ce grave?

#5 Posté le par carpa

Bonsoir /Bonjour loisemakhno,

Tout d'abord, je répondrai à ta question qui est en fait le sujet: « j'aime mes stigmates... est-ce grave? »

Je ne peux dire que cela soit grave, le mot n'est pas approprié !

Si tu aimes le fait d'être identifié comme étant " Angoissée généralisée ", c'est que je perçois dans ce que j'ai lu de toi et ce depuis le premier message, en date du 5 sept 2006, " que le fait d'avoir un nom à mettre sur ton mal être, te donne un certain réconfort ! Dans le sens ou, enfin l'on va s'occuper de toi, l'on va être à ton écoute...etc ! "

Cette constatation je l'ai comprise tout de suite en lisant ton premier message. « me demanda si j'étais quelqu'un d'anxieux au quotidien. Ce à quoi je lui répondit sincèrement que non, bien au contraire, c'est moi qui généralement calmait les angoisses de ma petite famille. Quel aveuglement sur soi peut-on avoir! »

En fait comme tu t'en doutes, ce que tu vis actuellement, est l'aboutissement de toutes les alertes que ton corps, ton psyché, t'ont envoyé depuis très longtemps, et que comme tu dis, tu choisissais le déni !

Le soir ou tu n'as pas réagi, verbalement et physiquement, soit par des pleurs ou en te changeant les idées, fit que ton "presto" sauta !

Mais dis-toi bien, qu'il aurait sauté à un moment où un autre. Que c'est toi qui contrôlait toutes les fois ou l'angoisse était présente et ce dans toutes tes situations de vie ! Mais que ce soir-là, tu n'as plus eus le contrôle, et c'est pour cela que maintenant tu es aux prises de cette anxiété généralisé.

Je sais de quoi je parle. J'ai 44 ans et cela m'ait arrivé la première fois à 39 ans ! Les crises d'angoisse, amène les crises d'anxiété, qui amène la panique ! Rendu-là, c'est la totale :roll:

Il est difficile dans prendre le contrôle, mais sois certaine que cela est possible !

Je suis en psychothérapie depuis 5 ans +/-, et je contrôle d'au moins 90% de mes crises et symptômes. J'arrive aussi à enlever de l'importance ( niveau de 1 à 10), à l'angoisse qui apparaît, ce qui intantanément réduit les symptômes physiques, et de ce fait, n'arrive pas jusqu'à la panique.

Un psychiatre, ne peut aider par son écoute. Par contre, il peut prescrire un anxiolytique, qui permet de mieux contrôler cette pathologie !

La plus grande aide est la psychothérapie à long terme.

Il te faut découvrir à ton rythme, le pourquoi, le comment ! :wink:

Tant que tu ne t'investiras pas dans une thérapie, tu n'arriveras pas à bien contrôler et vivre mieux !

Dis-toi, que tout ça part d'une ou plusieurs choses et tu te dois de le/les décrouvrir, pour toi !

Si pendant toutes ces années tu as sus contôler, dis-toi que tu peux reprendre le contrôle, sauf que cette fois, tu as besoin de savoir pourquoi, et d'avoir les outils nécessaires à ton mieux-être !

Pour terminer, tu auras l'attention, la présence, l'affection, le respect...etc, des autres qui font parties de ta vie, et ce même si tu es moins anxieuse. :wink: De plus, tu y gagneras beaucoup plus que tu ne peux l'imaginer ! :)

Sincèrement,

Carpa.

Re: j'aime mes stigmates... est-ce grave?

#4 Posté le par sosoleil
Allo! Alors si se sont les symptomes de l'anxiété généraliser moi j'en n'est eu dernièrement. J'ai fait une réaction allergique au médicaments.Suite à cela mon post traumatique à pris le dessus j'ai eu tellement peur que j'ai été 1 mois à ne plus manger que de la soupe , difficulter à avaler, engourdissemenr du visage , accélération des batement de coeurs, diarré, sentiment détouffer à tout moment , douleur à la poitrine, engourdissement des mains, l'horreur.Mon état intérieur était complétement détraquer et sa ne prend pas grand chose pour que sa recommence .Mon fils à été malade la nuit dernière j'Ai tellement eu peur j'ai eu mal au ventre, je ne dort plus je le surveille sans arrêt. Mes deux enfants allergique dine à l'école se midi je me sens pas bien serrement de poitrine étourdissement ,maux de ventre. Tu voit moi ma psychologue m'a appris la respiration elle m'a expliquer que tous ses symptomes venait de la respiration on ne respire pas bien et nôtre corp réagis elle a pratiquer avec moi et je peut tu peut me croite sa améliorer mon état de 50 % .Comme le dit pooki la marche aide grandement au ressourcement de l'esprit la maladie mentale est causer par une déréglementation au niveau de la tête et la respiration et l'exercise augmente vraiment le bien être. Il faut croire en nos ressources naturel ont les as oublier on ne sort plus ne travaillons plus dehors. Moi je croit pas que l'on peut comparer une emputation à la maladie mentale. La plupart du temp on n'est bourrer de médicaments car les psychiatres non pas vraiment le temp de sacharner sur nous de nous aider concraintement et de nous suivre pas à pas avec leur connaissance si il pouvait nous prendre un a un il ferait des miracles sans médicaments.Il faut se poser les vraix question et se demander d'ou part réelement le problème sa n'apparaît pas seul sans raison il y a forcément un déclancheur. C'est mon opinions !! JE croit pas que tu prend réellement la parole des autres comme tu le dit plus que la tienne car si tu dit te complaire dans ta maladie ses que tu as de l'influence sur toi et que tu réussit à te convaincre. Je croit pas que ses facile à sens sortir ont souffre énormément et quelque fois on n'aimerait être une personne d'on le système nerveux fonctionne bien!Bon courage à toi dans ta maladie. Au plaisir sosoleil

Re: j'aime mes stigmates... est-ce grave?

#3 Posté le par loisemakhno

Merci à vous deux!

En fait, je crois que je me suis mal exprimée, ou plutôt, je suis allée trop vite dans mes descriptions...
Je ne souffre pas d'une simple anxiété. L'anxiété généralisée est une maladie reconnue comme handicapante (tant socialement que professionnellement). Il faut differencier l'anxiété commune à tout individu -reaction normale et temporaire car surmontable- de l'anxiété généralisée, terme clinique qui désigne un trouble du comportement, (la définition exacte se trouve dans le site de psychomedia). En bref, cela se traduit par une série de symptômes physiques liés à une trop grande angoisse. Mais à l'inverse du classique mal au ventre pre-exams, ces symptômes sont présents au quotidien, sans objet spécifique conscient. Par exemple, le premier mois (le plus violent) après le déclenchement de ma maladie, j'avais un pouls constemment autour de 120/130 pulsations/minutes; de la fièvre; je ne pouvais pas rester seule plus de quelques minutes sans que je ne ressente une aggravation significative des symptômes (j'ai suivi pendant plus de 6 mois mon compagnon à CHAQUE pas qu'il faisait -travail, courses, salle de bain, etc!); tremblements; oppression thoracique; douleurs musculaires; impossibilité de manger (oesophage trop contracté), diarhée aigue, nausées, et impossibilité de dormir sans être "accrochée à mon compagnon, etc, la liste est longue!
Il n'y a pas besoin d'objet angoissant. Seul le fait d'être réveillée me suffit à être malade... Bref, aussi fatiguant qu'une grippe, sauf qu'elle durerait beaucoup plus d'une semaine!

Tu sais, Pooki, je ne cherche pas la "réussite". Je voudrais seulement, dans un premier temps, réussir à atténuer ce trouble, histoire que je puisse à nouveau mener une vie "normale". Quant au "vouloir c'est pouvoir", j'aimerais savoir ce que tu entends par-là (en d'autres termes, est-ce que tu entends par cette phrase qu'un amputé ,s'il le veut, peut faire repousser sa jambe? :wink: ).

Sosoleil,
Je suis d'accord avec toi pour dire que personne n'a à condamner quiconque. Tout est en effet relatif, et nous ne partons pas tous avec les mêmes handicaps. Mon problème n'est cependant pas directement lié aux autres. Ce ne sont pas eux qui me renvoie quoi que ce soit de négatif. C'est seulement moi qui croit que les autres vont croire :lol: que je vais bien (ou pas si mal en tout cas), alors que j'ai envie que mes blessures soient visibles. Si j'y réfléchi, je pense qu'en fait, à moins d'être totalement aveugles, les autres doivent avoir une idée de ma détresse. Mais je n'arrive pas à l'intégrer... Tout cela reste en superficie. En mon for interieur, je suis persuadée que personne ne voit mon malheur...
Je ne sais pas si je suis tres compréhensible, je vais tres vite, je passe sur beaucoup de choses, mais j'aimerais ne pas faire trois pages de mes petits questionnements internes! :roll:
Je vous laisse.
Bisous,
Loisemakhno

anxiete

#2 Posté le par pooki
moi je pense que nous souffrons tous d une forme d enxiete.je pense que nous pouvons appeler ca la peur de l inconnue. meilleur chose a faire prendre une bonne marche a l exterieure beau temps mauvais temps. nous sommes les seules maitre de notre corps physique et mentale donc a nous de se conditionner pour la reussite . vouloire c est pouvoir.

Re: j'aime mes stigmates... est-ce grave?

#1 Posté le par sosoleil
Allo! Moi je souffre d'anxiété Quelque fois par apport aux autres il est interressant d'avoir une bonne raison à donner pour justifier nos comportements qui ne sont pas souvent acceptable au yeux des autres.Je comprend se que tu vie car tu as trouver une justification enfin à ta souffrance. Tu peut me donner des exemple de comportement relier à ton anxiété? Moi tu va peut être rire de moi mais se qui me fait du bien c'est de me dire que se n'est pas important d'être plus ou moin que les autres imagine en se moment dans le monde il existe encore des papous qui vivent comme des hommes préhistorique sur la même planète il y a des plus beau que les plus beau et des plus laid que les plus laid. Finalement on sert à qui a quoi? il ya les riches ,les pauvres.Quand je me fait cette examen de conscience je me trouve pas si pire que les pire et pire que les moin pire lol.Qui sont c'Est gens qui nous juge qu'on t'il sur les milliard d'humain qui nous entoure de plus que qui d'autre pour te dire que tu est moin bien ou plus malade ou moin malade!!! Sa semble compliquer mais moi sa me décomplique la vie de penser comme cela sa me dit que moi je suis qui je suis et ses tout. Personne n'a entièrement confiance en lui tout le monde peut voir sa confiance ébranler.Donne toi le droit de guérir de toute façon la vie est courte et pourquoi la rater. Au plaisir Sosoleil