Violence verbale

Monsieur Blondin,
J'ai lu votre article sur la manière de s'affirmer pour ne plus être victime, je crois que c'est faisable avec mes nouvelles relations, amis, collèques ect..., mais la situation victime-bourreau dure depuis 15 ans avec mon conjoint est-ce possible de changer ça???? perplexe!!!!

ces des votours ces gens.
ils on pret a te dir tous ce que tu veux du moment qui peuvent profite de toi.
un petit ex
ils invites mes toi tu n est pas invite, mes toi tu devrais les invites lol
moi il ne me parle plus en pose je suis pas asse interessant je suis mi de cote.
tres dur a vivre, aucune ecoute
j avais une collegue qui bossais et on etais a peu pres d accord sur ces personne mal fesante.
a croire que il y a des personnes que ça ne derange pas, de passe du coq a l anne.
j ais bien peur que ça soit tres rependu cette vermine lol
ces tres fatiguant de ce batre a chaque fois
ces toujour les plus gentil qui ce font tape dessu on pourais m apelle kalimero.
ciao

Salut,
j'ai bientôt 40 ans, toute ma vie, j'ai vu et entendu la violence sous Toutes ses coutures chez mes parents. (de la part du père)
Un père qui a toujours cherché des maîtresses depuis mon enfance, qui s'en cachait quasiment pas, qui découchait, qui rentrait au petit matin, ou avec des cheveux blonds sur les épaules, avec du rouge-à-lèvres sur les chemises, ...
Au cas qu'il était contrarié, j'ai entendu les pires insultes vis-à-vis de ma mère et des coups à gogo. Et pour nous aussi ; ses enfants, avons goûté à la 'douceur' du cuir de la ceinture, parfois avec la boucle en métal, si on n'écoutait pas. A maintes reprises.

Or ma mère s'est comportée et encore maintenant comme une sainte. Elle est encore près de lui, et malgré ses plaintes, et les scandales qu'elles nous pleurnichent, elle reste près de lui. Un jour c'était trop dur à entendre ; qui peut rester indifférent quand la Mère regarde ses enfants dans les yeux pour pleurer et exprimer sa souffrance, son ras-le-bol. Alors j'ai fait une gaffe : j'ai conseillé (pensant bien faire) à ma mère de divorcer, ce que finalement elle n'a pas fait (par honte du quant-dirat-t-on, pour garder son bien-être matériel, ... ou parce qu'au fond d'elle même, elle l'aimait, et voulait juste 'se vider un peu'.) Et mon père qui a eu vent de l'affaire s'est retourné 'contre moi'. Elle était adulte et responsable, ce choix lui incombait, et je ne pouvais pas lui imposer le mien, même 'pour son bien'. J'aurais dû juste l'écouter, la soulager, être à ses côtés, lui donner ma chaleur, mais pas lui bourer la tête... C'est-à-dire, pas me mêler du couple qui n'est pas le mien. Même si j'en éprouve aussi de la peine. (La première fois que ma mère m'a demandé conseil pour des faits similaires, elle avait cette fois entamé les démarches pour divorcer, auprès d'un avocat. Elle me demande alors mon avis avant de signer ; j'étais le plus grand des frères, 15 ou 17 ans et CON. Encore un gamin. Elle me demande qu'est-ce que j'en pense, au jeunot. N'ayant pas la tête d'un adulte, je lui dis "Maman, laisses-lui une chance, fais-le pour moi, STP" . J'aimais très fort mon père, et je voyais mon intérêt personnel. Je ne voulais pas voir les deux êtres que j'aimais se séparer, même si j'étais déçu du comportement paternel. Et elle a déchiré les papiers de divorce. Elle n'aurait jamais dû écouter ou suivre les conseils d'un enfant. Car nous, on allait se casser, mais elle devait finir SA vie auprès de lui ou sans lui. C'était à elle de prendre la décision finale.

Quand je pense encore actuellement à toute cette violence, j'en éprouve de la tristesse profonde. Comme j'ai idôlatré mon père durant mon enfance, j'ai refait ce même schéma, dans ma vie adulte ; j'ai brisé 2 ménages, car je répètais ses mêmes attitudes (je frappais peu, mais j'insultais et étais sévères avec mes compagnes) Pour moi, c'était normal, car le seul mode d'éducation que j'avais eu, que j'avais appris durant toute ma jeunesse, était celui de mon père. J'ai suivi son exemple, j'en ai pas eu d'autres. Et j'en ai été et le suis encore, malheureux. Conscient de la répétition de ce processus, je suis tombé dans une toxicomanie dont je maîtrise 'assez bien' depuis l'âge de 18 ans.

A présent, je veux saisir la chance de la Vie, je veux m'en sortir, mais le seul désir ne suffit pas. Je devais me faire aider. C'est pourquoi, j'ai tourné en Belgique une palette de psychologues et de psychiatres (A ce sujet, je pourrais dresser une liste de gars valables, et de bons-à-rien, qui étaient plus perturbés que moi ! Les premiers sont des oiseaux rares) Jusqu'au jour où j'encontre quelqu'un avec qui le contact passe bien, qui comprend bien ma problématique. C'est un travail de plusieurs années, car il faut à tout prix que je ne refasse plus les bêtises du passé. Le discours ou le désir ou le refus au sein d'un couple ne doit plus passer systématiquement par la violence, par les gros mots, car le respect, l'amour, la compréhension, le dialogue, c'est plus nourrisant et plus constructif pour tous. A condition de le vouloir vraiment.

Que Dieu nous sauve. Qu'il me coupe les mains si j'étais amené à frapper un jour un enfant. Z.

je suis daccord avec vous je suis desoler de se qui vous ete arriver. je suis un etudiant a lecole la magdelaine a lapririe et je fait une recherche sur la violence verbale famillale si vous aver der information faite moi signe a
⋯@⋯.com

Bonjour Elodie
Je ne parlerais pas d'hypocrésie car je vis un peu le meme genre de situation. Apres plusieurs années j'ai pris conscience que les gens qui me denigraient étaient en générale des gens incompétents qui l'ignoraient.
Je me suis rendu compte qu'il arrive que la jalousie pousse ces gens a agir de la sorte envers une personne car inconsciemment cette personne leur font peur.
Dans certain milieu,avoir une personnalité forte ou indépendante ou autome est tres dérangeante;
donc le seule moyen que ces personnes trouvent pour se défendre de leur peur et de leur insécurité est d'essayer d'entrainer les autres pour dénigrer ou tenter de mettre a part la personne concernée.

Hypocrésie: je dis non mais j'ai appris a composer avec ce genre de personne. Je dirais plutot qu'il s'agit d'un signe d'intelligence et de maturité. Évidemment la relation envers certains colegues de travail reste une relation polie je garde mes distances et ne leur confie rien de ma vie privée - au cas ou ils auraient envie de se servir de mes faiblesses -

Faire bonne figure: pourquoi ()
pour obtenir leur approbation ()

bon
j'espere avoir pu répondre a ton questionnement.

sol

bonjour Sol,
tu dis qu'il ne faut pas faire l'autruche, moi j'y étais obligé car tout ce que je disais se retournait contre moi il y avait une grande résistance en face, mais comme dans le milieu prof je suis très autonome ils ne pouvaient pas
me faire partir si je ne le voulais pas
donc je les ai ignoré pendant des années mon orgueil en a pris un coup et ca m'a beaucoup changé sur le plan de ma personnalité je me suis endurci et je n'ai plus de souffrance quand on me calomnie
aujourd'hui ils tentent un raprochement
et me demandent de tout oublier pour repartir à zéro
mais moi je n'oublie pas le mal qui a été fait
se sont des expériences pour moi
je ne sais pas comment je peux faire bonne figure avec eux.
dois je faire l'hypocrite avec eux??
sachant qu'ils peuvent être très dangereux ??

Bonjour,
j'ai trouvé une solution pour faire face à la violence verbale : le silence complet
depuis des années je suis en but à ce problème
et je me tais
je me demande si j'ai CHOISI la bonne méthode
quand je rencontre ces gens la je suis toute douceur et généreuse même si je sais ce qu'ils racontent
eux quand ils voient ma réaction sont désarconnés
se taisent et ne me disent plus rien,
j'en arrive même à leur faire croire que je les aime
pensez vous qu'ils vont arrêter ?
derniérement OUI ,
une ébauche de raprochement est entrain de se tramer
mais je me demande si je tiendrais jusqu'au bout
parce que moi je voudrais couper les ponts avec eux
et je me rends compte qu'ils tentent un raprochement que faire ???
je suis parmi une bande de loup
si je travaille avec eux ils ne chercheront qu'a exploiter mes qualités qu'ils détourneront a leur profit
le problème est celui ci : comment refuser poliment l'association qu'ils veulent me proposer sans les brusquer ?
ils ont la tête près du bonnet sont en colère très facilement.
C'est par la douceur que je me suis imposée
c'est par la douceur que je m'en sortirais
je dois être très prudente, éviter les pièges et en ce moment il y en a je dois être très vigilente
me montrer sous mon meilleur jour tout le temps
quelqu'un peut il m'aider ???
Ceux qui m'ont haî pendant des années et ont tentés de me faire partir veulent aujourd'hui devenir mes amis.
JE NE LES AIME PAS

il s'agit simplement de prendre les bons moyens et dans ce genre de cas (que j'ai moi-même vécu), c'est de partir
bonne chance et donne des nouvelles
alouette

Bonjour Sandra
le réponse la plus simple qui me vient a l'esprit:
rompre avec le bourreau
tu dis que ta situation bourreau-victime dure depuis 15 ans; lorsque tu en auras assez tu trouveras les moyens de laisser cette personne,
il y a de nombreux reseaux d'entraide pour les personnes dans ta situation.
peut etre que tu n'es pas prete, ta sécurité matériel est peut etre encore plus important que ton bien etre emotionnel()
a toi de choisir, car tu ne pourrais modifier le caractere de ton conjoint; si celui ci ressentais un besoin de changement il prendrait les moyens neccessaires pour le faire il ne faut quand meme pas jouer a l'autruche , une modification d'un trait de caractere tel que la violence se modifie ( quand cela est possible) sur une longue periode.

bonne reflexion
sol