étude littéraire

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étude littéraire

#0 Posté le par DCF__2291
Bonjour à tous. Je prèpare une thèse où j'utilise psychologie et psychanalyse pour mieux faire connaître et comprendre un auteur latin du 1er siècle, Pline le Jeune. J'ai pensé qu'il était du type obsessionnel-compulsif, sans pathologie cependant, car on ne peut, vous le savez bien, faire un diagnostic sur quelqu'un qui a vécu il y a 2000 ANS ! Pensez-vous que l'obsession de la perfection littéraire et morale puisse être un trouble pathologique ? Aimeriez-vous bavarder un peu avec moi et m'aider dans mes recherches ? Si certains ont lu l'oeuvre de Pline , "LA CORRESPONDANCE", lettres qui relatent sa vie, je suis sûre qu'ils voudront parler volontiers avec moi. Si Pline vous est inconnu, je serais heureuse de vous le faire découvrir; mais n'étant pas spécialiste en psy, toutes vos remarques seront les bienvenues. L'histoire de Pline, c'est, de toute façon, un peu l'histoire de chacun de nous : souffrance, joie, espoir, etc. QUi pourrait me dire si le fait de n'avoir pas voulu tuer le père "'symbolique" a fait de Pline un inhibé et l'a empêché de devenir un grand écrivain ? A bientôt de vous lire. Amicalement.

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Pline, obsesso-compulsif?

#3 Posté le par DCF__4730
je prépare actuellement un oral de licence dont cet auteur fait parti ; étant plus occupée avec Catulle en ce moment, je n'ai pas encore eu le temps de me penché en profondeur sur le personnage en question ! mais n'hésite pas à me contacter un peu plus tard pour que l'on partage nos points de vue! ce sera avec plaisir !!je t'offrirai mes avis de "littéraire" ! à bientôt myriam

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#2 Posté le par DCF__0601
Bonjour,je dois préparer un commentaire d'une lettre de Pline au sujet de son élection comme augure.Peut-être avez-vous des informations.Malheureusement, je n'ai pas d'adresse mail.

Ca ne me dit rien...

#1 Posté le par DCF__8546

Salut, tu as l'air bien seul. J'ai été touché par ton message et par l'absence de réponses, mais malheureusement, je ne peux pas t'aider, sinon que je souffre moi-même d'un excès de perfectionnisme, mais c'est peut-être trop léger pour pouvoir parler de pathologie !