Statut d'étudiant à 39 ans

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Statut d'étudiant à 39 ans

#0 Posté le par DCF__1805
Au mois de septembre 2001, je vais feter mes 39 ans et mon entrée en formation d'Assistante Sociale avec un statut d' étudiant!!!
Je vais devoir effectuer 300 kms par jour afin de préserver au maximum ma vie de famille ( mariée, 1 enfant). J'usqu'à présent je travaillais et je viens de demander un congé sans solde de 12 mois.
Plusieurs questions restent pour l'instant en suspens.D'autres personnes ont-elles vécues ce type de situation ?

Messages récents

Félicitations

#23 Posté le par DCF__1805
Je te félicite à mon tour pour ce retour aux études et te souhaite d'en profiter pleinement très bientôt puisque tu as terminé cette année.
Qu'as-tu préparé comme formation, question de curiosité mais aussi pour pouvoir éventuellement échanger. Merci.

Retour aux études à 39 ans

#22 Posté le par DCF__0069

Bonjour Tomette,

Je te félicite d'avoir suivi ta voie et je t'encourage à continuer. Tu y arriveras malgré certains moments plus difficiles parfois. Je suis retournée aux études à 36 ans. J'ai deux enfants. Je termine mes études cette année. Je suis très fière de moi et contente d'avoir persisté dans les moments difficiles.

Continue. Tu ne le regretteras pas.

J'avance !!!

#21 Posté le par DCF__1805
Je reviens sur le forum après plusieurs mois , je n'ai plus beaucoup de temps il est vrai!
Merci à Azul et Guylaine pour leurs messages qui m'ont réellement faits plaisir. Depuis septembre j'ai fait des aller-retours journaliers et aujourd'hui même j'ai commencé mon premier stage de formation à côté de chez moi (pour 3 mois).
Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir jusqu'au diplôme mais j'avance ...et par moments je doute ...Merci pour vos messages.

le plaisir

#20 Posté le par DCF__6990

J'ai un peu de mal à comprendre les dates indiquées en haut des messages ; des réponses de 2001 à des messages de 2002 ? Enfin bref, pas grave.
Moi aussi depuis plus de vingt je me forme ; je n'arrête pas, sauf que je me trompe à chaque fois ; ayant une formation de secrétaire de direction, j'ai toujours privilégié cette voie, alors que j'adore la psychologie ; je me suis inscrit à la formation par correspondance à Clermont Ferrand, et j'ai malheureusement retrouvé un emploi pour... deux mois et demi ; j'ai depuis préféré la facilité : les missions intérim ; cela n'est pas du tout gratifiant ; apprendre fait avancer, et se sentir un peu plus complet, c'est beaucoup plus valorisant pour son ego ; mais peut-on, à 43 ans, trois enfants de 13 à 20 ans, en étant divorcée, reprendre des études de psycho. par correspondance, avec un délai de trois ou quatre ans avant d'obtenir un résultat positif : consilier la vie active, avec ....plaisir ; je suis un peu découragée ; j'ai du mal à prendre mes décisions. Trop de questions, trop de questions...

Cela dit, Livie, je pense comme toi.

études

#19 Posté le par DCF__7864
oulala, il n'y a pas d'endroit pour tes études qui soit plus proche de chez toi???? C'est bien d'étudier mais pense à toi et à ta famille. Bonne chance

Je pense que tu dois continuer tes études

#18 Posté le par DCF__0386
et si tu as besoin d'un support psycologique tu seras sure que ici tu le trouveras toujours.
bon courage, le monde aux audacieux!!!

suite

#17 Posté le par DCF__6320

Cléophée,

Différence...

J'y pense beaucoup et je n'ai pas de réponse claire comme une résolution mathématique.

Je me suis toujours sentie à part des autres. Et longtemps je m'en suis fait un complexe, persuadée tout au fond de moi que j'étais forcément inférieure si je n'étais pas pareille.
Petite je ne me mêlais pas aux jeux, j'attirais les moqueries, on me disait lente, d'autres petites filles se moquaient de ce que je ne fonctionnais pas comme elles. Je me souviens même que certaines disaient que j'étais bête.

L'horreur !

En fait tout se passait à l'intérieur de moi. Je réfléchissais déjà beaucoup, je rêvais, j'avais des attentes.

À l'adolescence ça a commencé à changer. Parce que je me suis dit que je n'étais pas heureuse et que je voulais que les choses soient différentes.
J'étais timide. Je me souviens m'être intéressée à des livres parlant de vaincre sa timidité et avoir compris alors que ce qu'on souhaitait changer on avait le pouvoir de le changer.

J'étais trop maigre, timide, renfermée, pas sportive, pas vraiment populaire, et je n'avais pas les moyens de m'habiller à la mode... mais j'avais la tête pleine de rêves.

Il y avait dans ma classe des filles que j'admirais (et jalousais bien un peu aussi) parce qu'elles étaient tellement à l'aise, tellement naturelles ! On aurait pu dire qu'elles étaient un peu superficielles ; c'est possible. Mais ce que je voyais c'est à quel point elles semblaient bien socialement.

J'ai commencé à fantasmer sur leur vie, à vouloir à toute force m'intégrer à des groupes. Mais j'étais trop orgueilleuse pour me glisser dans une petite place dans leur ombre.

J'ai d'abord changé mon look : en arrangeant des vêtements que j'avais, en empruntant de grands pulls à mon père... Je me souviens d'une robe que j'avais réussi à me faire acheter par ma mère, très à la mode, et que je me suis mise à porter fièrement ; et d'une garce commentant tout haut à côté de moi : "La robe est jolie ! Dommage qu'elle soit si mal portée !".

Mais malgré les garces dans son genre et quoi qu'on en dise, l'habit fait un peu le moine.
Je me suis rapprochée d'une ou deux filles réservées mais pas trop en marge. Je me mettais des défis et ça m'excitait de les relever. Je ne doutais de rien et j'avançais. J'ai découvert, à ma grande surprise, que certaines des filles les plus populaires et qui me regardaient de haut se mettaient à me parler naturellement ; comme si de rien n'était.

Je devine ce que tu pourrais penser : non, je n'avais pas l'impression de faire des concessions aux autres ou de piler sur moi-même. Je me disais que ces filles qui s'étaient permis de me regarder de haut je m'en servais maintenant à ma façon. Je les utilisais pour atteindre autre chose. Je voulais imposer mes différences comme des plus, faire admettre que là où je n'étais pas pareille c'était de la chance et pas un handicap.

On peut dire aussi que ce besoin de la reconnaissance des autres est terrible, qu'il suffit après tout d'être ce qu'on est et que le reste du monde peut bien en penser ce qu'il veut...
Facile ! Mais nous sommes humains et l'être humain n'est pas un solitaire. Nous avons besoin des autres. Le reconnaître me semble un grand pas en avant.

Et j'ai découvert beaucoup plus tard (c'est une parenthèse) que tout le monde manque un peu de confiance en soi. Qu'il suffit bien souvent d'en afficher pour que l'entourage nous accorde tout crédit. Les opinions courantes et générales ne sont bien souvent que celles de celui qui s'est le mieux ou le plus sûrement exprimé.

Bref, je suis allée jusqu'à me faire élire déléguée de classe, à faire de la scène et de la radio.

Très franchement ça ne signifie pas que j'étais complètement arrivée à ce que je voulais, complètement à l'aise partout et tout le temps. Quand je pense à cette période, c'était plutôt comme des moments de solitude intérieure mêlés à des moments de rayonnement social ; un certain dédoublement.

Mais je trouvais mon compte des deux côtés.

Là où il était évident que rien n'était gagné, acquis, c'est que je ne savais pas mener une relation amoureuse. Très tard j'en ai été incapable (que je déteste ce mot ! il paraît tellement définitif !). J'étais impressionnée, effrayée par les hommes. Je ne savais pas faire semblant d'être à l'aise.

Entre 20 et 24 ans j'ai entretenu une relation particulière avec un homme dont j'étais littéralement folle ; un genre de jeu du chat et de la souris. Mais nous n'avons jamais franchi le pas entre désir et réalité.

Vers 25 ans finalement j'ai rencontré le père de ma fille. J'ai cédé à mon désir de stabilité, me suis raconté des histoires, mais n'ai pas connu le grand amour à ce moment-là. J'ai fini par admettre que je me reniais moi-même en continuant avec lui.

Le miracle s'est produit 15 jours à peine après que je l'aie finalement quitté ; à 35 ans. La relation amoureuse que je vis en ce moment est au fond la première authentique. Avant je me sentais différente là aussi. J'avais fini par admettre que personne ne saurait jamais vraiment ce que je ressentais ; comme si je venais d'une autre planète.

Il y a d'autres problèmes liés à cette relation - et très difficiles à vivre (j'ai même parfois souhaité en mourir). Mais il m'arrive de me dire que c'est peut-être le prix à payer.

Surtout, ne jamais m'avouer vaincue !

Je continue à me sentir différente. Je n'ai rien gommé. Mais je crois tout au fond de moi que ces différences sont un plus. Je me refuse à ressembler à tout le monde.

Au fond la différence avec avant, c'est ma perception des choses. Et ça a suffi à tout modifier.

Amicalement,

Livie

tu n'es pas une ratée

#16 Posté le par DCF__6320

Ma chère Cléophée je ne suis pas en train de te dire que ma vie est parfaite ; loin de là. J'ai plein de rêves à réaliser, ce qui est une autre façon de dire que je n'en ai pas encore réalisé beaucoup.

Mais je suis bien dans ma peau, heureuse de vivre, et ce qui me tenait à l'écart des autres quand j'étais enfant a fini par tourner à mon avantage.

Il n'y a pas de secret pour accéder en deux jours à la sérénité. Ce qu'il faut savoir c'est qu'on a le droit de se décourager mais pas d'abandonner. Quand on tombe on se relève parce que le désir d'être bien est le plus fort. Et aussi qu'il faut être patient.

J'ai 37 ans ; donc "quelques" années de plus que toi. Quand j'avais 10 ans de moins, je me souviens avoir pensé que puisque je n'avais rien fait de ma vie je n'avais plus qu'à me faire une raison, que le meilleur était derrière.

Quelle erreur !

Il n'y a pas de règle. Et surtout, surtout, ne pas se laisse influencer par les opinions des autres, par ce qui se fait ou ne se fait pas, par les raisonnements et les idées toutes faites. La vérité en ce qui te concerne n'a probablement rien à voir avec celle des autres. Si tu avais 65 ans et que tu viennes de comprendre où est ta voie, ce serait le bon moment pour avancer.

Comment peux-tu écrire que tu es une ratée ? Tu ne le deviendras que si tu te résignes et n'as plus de désirs, que si plus rien ne réagit dans ta tête. Et quoi qu'il en soit on n'est pas une ratée à 27 ans (ou 28 ?).

ALlez prends courage Cléophée. Il faudrait peut-être que tu commences par réaliser tout ce que tu as de plus que les autres en toi.

Je dois m'interrompre. Je te reviens un peu plus tard avec ta question sur ma différence.

Amicalement,

Livie

moi je

#15 Posté le par DCF__3027
ce que j ais le plus mal a accepte ces de pas etre fort ,j aurais voulu etre comme les autres ,grand et costaux ,ça ne me derange pas mes ces quand je suis devant des mecs plus grand et que il ce moque de ma gueule ces la que il y un problemme ,je pourais par leur envoye moin poing dans la tete (pour etre polie )et aussi il profite de cette taille que j ais je ne fait que 1 65 et les grand non pas de respect pour cette taille il me manque beaucoup de respect anvers ça on ne me fait pas confiance pas de discution entre mec toi tes trop petit tu vois des truc comme ça ,meme quand j etais petit la c etais pas la taille qui joué j etais trop maigre et j etais ecarte de tous car j etais trop fetiche et j avais toujour les mauvais garçon qui voulais soit m emnmerdé soit me casse la gueule pour ce donne une reputation ,bon c etais pas tout le temp mes ça a ete comme ça des fois .

quand j y pense j ais vraiment eu personne qui ma invité a une fete ou une soiree personne .

mes bon personne veux une personne qui fait la gueule ces ce que lon ma dis l annee dernier au camping .

alor imposible de connaitre et de povoir aprendre ,mes j ais comme meme une nature enfantine ,deja je fait pas du tout mon age ,10 de moin que l age actuel .

on ma dit beau gosse (encor ce mot gosse ) meme il y pas si longtemp que ça a mon boulot au mois de juin il y une personne qui ma dit reste a tes 18 m moi je vois comme ça dans ma tete (alle reste loin de nous tes pas un homme ) et ces vraix je suis pas du tout comme eux ,je parle pas ,je me moque pas ,je drague pas ,je parle pas de sexe ,je suis pas extravertie .

et bien tous ça ,ça repouse les gens ,les grande personnes que je ne suis pas .

voila bise

oui faudrais ce tenir les coudes comme tu dis ,mes alor en pyjama

serrons-nous les coudes !!!

#14 Posté le par DCF__0475

Tu as raison pour le chat, la mienne aussi m'apporte beaucoup de réconfort, parfois elle me "parle" et selon son miaulement, je peux comprendre ce qu'elle veut, je trouve qu'un chat exprime très clairement ses émotions. Peut-être devrais-tu tout de même reprendre un chat ? Cela ne te fera pas oublier ta chatte, tu pourrais encadrer une photo d'elle ?

Moi je n'arrive pas à être indifférente à ce que j'ai raté, ça fait trop mal...

moi aussi je suis un raté .............

#13 Posté le par DCF__3027
j ais pas reussi ma vie de famille ,non plus ma vie professionelle .
mes je m en fiche completement .
le plus beau truc pour moi ces de voir venir un chat ver moi et lui donnée a mangé ,le voir ce tendiné de plaisir .
voila un petit bout de paradis

pardon pour Tomette

#12 Posté le par DCF__0475

de parasiter sa discussion avec mes problèmes qui n'ont pas vraiment à voir avec le sujet !!!

Je ne peux que l'encourager à reprendre ses études, car je sais qu'avoir un métier qu'on n'aime pas, où on ne se sent pas considéré, c'est très dur et déprimant, et lorsqu'on a enfin trouvé sa voie, il ne faut pas hésiter : à 39 ans, il reste 20 ans de carrière, plus peut-être en considérant les tendances actuelles en termes d'âge de la retraite. Et 20 ans, c'est fort long...

différence

#11 Posté le par DCF__0475
Bonjour Livie,

Je t'envie vraiment d'avoir réussi à trouver ta voie tout en étant différente, d'avoir refusé les chemins battus tout en étant quelqu'un d'épanoui et heureux dans sa vie. Ce n'est pas trop mon cas, je suis assez perdue. Je ne suis jamais rentrée dans le moule non plus, et on me l'a beaucoup reproché. Sais-tu toi quelle est ta "différence" ? Car moi, je ne la connais pas exactement, je l'ai toujours subie sans vraiment la comprendre. Comment as-tu fait pour la découvrir, pour connaître sa nature et surtout pour en tirer profit ? As-tu la chance d'avoir un métier que tu aimes ? Ca m'aiderait que tu me parles de ton cheminement.

Quant à moi, faute de ne pas pouvoir me contenter d'un "petit bonheur ordinaire", je n'en ai pas du tout...J'en ai assez de ma vie, mais je n'ai pas la force de la changer. Il paraît que j'aurais pu réaliser de belles choses, mais je n'ai rien fait. Je suis devenue une "ratée"...

Pareil

#10 Posté le par DCF__6320

Que te dire Cléophée, sinon que tu m'enlèves quasiment les
mots de la bouche.

J'ai toujours détesté l'école, j'y ai toujours été malheureuse, différente, je ne rentrais pas dans le moule.

Et puis les examens, cette façon instaurée par des humains qui jugent d'autres humains... Non, décidément je suis rebelle à ce genre de méthode. Mais si d'autres s'y trouvent bien je respecte tout à fait ça.

En revanche je lis énormément, j'écris constamment, je questionne, j'écoute je "bois" les informations et les digère à ma façon.
Et puis ne pas me trouver bien dans l'ordinaire de tant de gens me permet de prendre du recul et d'être davantage moi-même.

Être à part quand on est enfant est évidememnt le signe d'une différence. Il faut apprendre à en tirer parti à l'âge adulte et ça ne se fait pas du jour au lendemain. Mais au bout du compte on en sort gagnant.

Amicalement,

Livie

plusieurs sources de savoir...

#9 Posté le par DCF__0475

Bonjour Livie,

A quoi prends-tu plaisir exactement ? A étudier ou à te cultiver ? Car ce n'est pas forcément la même chose.

Pour ma part, j'aime apprendre, me cultiver et m'enrichir intellectuellement (bien que je croie que je ne retrouverai sans doute jamais la soif de savoir qui m'animait lorsque j'avais 10 ans, c'est dommage), mais je n'aime pas l'ambiance des études, des salles de classe ou des amphis, et les programmes et les devoirs obligatoires. J'ai toujours détesté qu'on m'OBLIGE à apprendre. Le problème, c'est que pour avoir un statut reconnu par la société, il faut en passer par là, pas d'autre moyen...

Lorsque je me retrouve dans une salle de classe avec un prof devant qui fait la leçon et où on est pris pour des gamins (enfin assez souvent), ou à la fac ou on vous balance des notions hyper abstraites sans explications, cela m'enlève toute envie au bout d'un moment. C'est ennuyeux pour moi, car j'aimerais me reconvertir. Mais je sais que ma motivation ne durera pas longtemps dans un cadre scolaire (lorsque j'étais enfant, j'adorais lire et apprendre mais j'ai toujours détesté l'école où je m'ennuyais et où je m'entendais mal avec les autres qui me considéraient comme différente et bizarre).

Le plaisir

#8 Posté le par DCF__6320

Tu as raison Galium, au fond ça ne sert à rien. Peut-être à nous donner l'illusion qu'on vaut mieux, plus qu'avant. Parce qu'en fait, plus on avance et plus on se rend compte qu'on sait peu de choses.
D'un autre côté, voir plus clair peut mener à plus de sérénité.

Mais chercher à en savoir plus est un besoin humain. Quoi que j'en pense je n'accepterais pas d'arrêter. J'y prends trop de plaisir.

Est-il nécessaire de connaître l'alphabet Grec?

#7 Posté le par DCF__4028
Epsi, je ne connais pas le grec mais je sais que grâce au racine grecque et latine ont a plus de logique et de compréhension.
Esope le narateur esclave grec qui contait les contes orientaux, Aristote qui demande des explications au spy, oui vraiment pour toi les connaissances sont vraiment important et c'est merveilleux d'être ansi! Pom celle de l'arbre pas le serpent mais le dragon de la fertilité...

Besoin

#6 Posté le par DCF__3565
Je pense que le savoir est une richesse immense! Personnellement, j'ai BESOIN d'apprendre. C'est pour moi (et certainement pour beaucoup de personnes) un plaisir de pouvoir découvrir de nouvelles choses. Je ne donne pas d'explication à cela, j'apporte simplement mon témoignage.
Amicalement, Epsi

être bien dans ta peau

#5 Posté le par DCF__4028

Si tu n'as pas besoin de gloire tant mieux!
Tu as raison "Ça vaut pas la peine de quitter ceux qu'on aime pour aller faire tourner un ballon sur ton nez"
Mais se qu'on entend de nos jours " L'argent fait le bonheur, L'argent"

Tu as raison Galium ,l'amour fait le bonheur si on a un peu d'argent...Pom

pour quelle resussite ?

#4 Posté le par DCF__3027
a quoi ça sers la reussite ,quand la fin est la seul chose qui nous attend .
la reussite de l egoisme ?
la reussite de ça fierté ?
la reussite de gloire ?
je comprens pas !!!

les connaissances sont un +

#3 Posté le par DCF__4028

Galium, on peut apprendre toute sa vie,et changer de jobs souvent et on a plus d'ouverture de marché.

C'est un tremplin pour la réussite que d'avoir plusieurs connaissances...On est jamais à court de possibilité...Pom

mais pourquoi apprendre temp ?

#2 Posté le par DCF__3027
pourquoi vous apprené temp , a quoi ça peut servire dans une vie le savoir ?
je suis et j ais beaucoup de connaissance et tellement inculte de tous .
ça ne sers a rien la connaissence ou alor a ce donné encor plus de question que l on a de reponse .
bye amicalment

Statut d'étudiant à 39 ans

#1 Posté le par DCF__1981

300 kms par jour c'est beaucoup... très très beaucoup même.

Cinq fois par semaine, çà fait 1,500 km par semaine ou 6,518 km par mois. À ce rythme, l'auto aura plus de 78,200 km à l'odomètre et perdra deux années de dépréciation «supplémentaires à la normale» (3 ans de dépréciation sur 12 mois en fait !).

À un côut très conservateur des frais généraux d'utilisation d'une automobile, soit 0.22¢ du kilomètre, on en arrive à des frais de voyagement de $66.00 par jour, $330.00 par semaine ou $1,434.00 par mois.

Plus de $17,000.00 par année, juste pour le voyagement !!!

Avec tout le reste: Repas & cafés quotidiens à l'extérieur, habillement, frais d'inscription et matériel scolaire, 5 à 7 étudiants et autres imprévus qu'il est sage de prévoir.

Sans compter les deux heures de route au quotidien, à chaque matin. Et encore deux heures de route à chaque fin d'après-midi. Préparer le souper en arrivant, les devoirs à faire en soirée. La fin de semaine c'est pour le ménage, l'épicerie et une petite sieste bien méritée (s'il reste du temps).

Courage... beaucoup de courage et de $$$ cela vous prendra.


À 48 ans j'ai entrepris l'an dernier un cours intensif comme programmeur analyste, je termine en octobre. J'ai loué un petit logement «formule tout compris» et je peux travailler sans être dérangé et sans déranger personne, à mon rythme. Le temps passé à voyager, je l'utilise pour étudier... pour réussir. Avec le téléphone, les miens sont tout près et çà coûte très peu avec une formule de temps illimité. Lorsque je retourne chez-moi, je suis mieux apprécié et j'apprécie mieux les miens qui me supportent.