à tous ceux ou celles qui ont réussi à arrêter leur antidépresseur

Moi cela fait presque deux mois que j'ai tout arrêter et je commence à me retrouver mais tranquillement est-ce normal que cela prenne du temps comme cela. On dirait que c'est baucoup moins pire que les deux premières semaines que j'ai arrêter. L'anxiété diminue à la longue c'est comme si commme sevrage je ferais de l'anxiété est-ce arriver à vous? j'ai plus de facilité à aller magasiner c'est moins pire de semaines en semaines, j'ai moins d'étourdissement. Peut-être faut laisser notre corps à s'habituer à l'absence de l'antidépresseur? Est-ce que vous avez passer par là? après combien de temps vous vous êtes retrouver complètement?
nikita

Salut,,,

Je lis ton message et une question me viens..devrais-je ou on recommencer ma médication?J'ai arrêté en décembre dernier de prendre Effexor, que je prenais pour un problème d'anxiété généralisé...C'est l'enfer...je me sens dépriée, plus le goût de rien faire, ma libido est morte et mon anxiété est à fleur de peau. Est-ce encore le sevrage, ça fait 5-6 semaines que je ne prend plus rien...J'ai recommencé ce matin à la prendre, sur recommendation de mon doc....mais après avoir fait le tour de ce forum je ne suis plus certaine...J'haïs tellement filer comme cela et surtout faire vivre cette déprime à mon chum et aux enfants...Est-ce le sevrage encore selon vous?

Meci de me lire

Quelle belle victoire!! Tu as bien raison d'en être très fier, encore une fois bravo zaz.
Une chose avec laquelle il m'est difficile d'être en accord toutefois c'est quand tu dis que c,est le temps qui fait passer les choses. Moi je crois que c,est à toi et non au temps que revient cette victoire. C'est toi qui a utilisé le temps pour vaincre et non le temps qui a vaincu sur toi...

j'admire ton courage zaz!

Lorra

Ca fait 1 an et demi que j'ai arrêté les anti-dépresseur. J'ai eu des étourdissements pendant quelques semaines puis je suis restée fatigué pendant au moins 6 mois. Il faut que tu prennes le temps d'écouter les messages que ton corps t'envoie, il n'y a aucune honte à prendre du repos ou à faire des petites siestes. Tu n'as pas besoin d'être une super women et surtout tu n'as rien à prouver à qui que ce soit sinon à toi-même que tu t'estime assez pour prendre soin de toi.j'ai arrêté les anti-dépresseurs et quelques mois plus tard, j'ai été victime d'un hold-up et d'une tentative de viol. J'ai été suivie par une intervenante et j'ai eu des rivotils pour l'anxiété parce que je faisais des crises de panique. Ca fait 4 mois que je n'en ai pas eu besoin, que je n'ai pas fait de crises....!victoire!C'est le temps qui fait passer les choses..bonne chance et prends soin de toi..
zaz

Tout d'abord je te suggère de prendre rendez-vous avec le doc qui te les a prescrit.La seule chose que je puisse te dire c'est de ne pas les arrêter brusquement du jour au lendemain. Tu dois les diminuer de façon progressive, le doc te dira comment procéder. N'aie pas peur de les arrêter moi je les ai arrêter après trois ans de prise pour anxiété. sûr que j'avais essayé de la arrêter avant , à deux reprises mais je recommencait car je ne supportait pas les effets du sevrage pour te dire vrai je ne savais pas que c'était des symptômes de sevrage je croyait que j'était en train de virer folle mais ce n,éétais pas du tout cela. Là cela fait deux mois que j'ai tout arrêter, le premier mois cela a été très dur mais cela se fait je suis la preuve vivante et après tout va mieux ton corps se rhabitue à fonctionner sans ces antidépresseurs. n'arêtre pas de façon brutale tu vas le regretter et c'est très dangerreux.Viens nous voir, tu nous parleras de tes sym,ptômes de sevrage et on te rassuras c'est une étape à passer et après tu en seras récompenser. Tu auras des étourdissements, des nausées mais tout cela diminueras avec le temps. tu as eu sûrement des symptômes quand tu as commencer ton médicament bon! cela sera presque pareil lorsque tu les arrêteras. Parle s'en à ton médecin des effets que tu connaîtras lors du sevrage pour tu t'y prépare car moi je ne savais rien et c'est depuis que je me promème de forum en forum que je vois que c'était normal ce que je ressentais lors de mon sevrage. reviens nous jaser

bonne chance!

Nikita

salut nikita
je prend les antidepresseures pendants quelques mois,bon pour le moment ca va bien mais je veux arreter completement de prendre les medicaments.
j'a une peur d'arreter subittement apres 9mois?

merci nikita d'abordeé ce sujet.
walid

Joyeuses Fêtes à toi et prend soin de toi, je reviendrai te donner des nouvelles si tu veux.

Bye!

Nikita

Je me retrouve dans ce que tu dis. Il m'a fallu 3 ans pour me rendre compte que lorsqueje recommençait à les prendre pour cause d'anxiété lorsque je les arrêtais que c'était tout simplement un symptôme de sevrage. J'appelais mon doc je lui disais je crois que je devrais les recommencer j'ai de la difficulté à respirer, je suis nerveuse et je ne voyais pas la cause et là mon doc il me disait recommence les sans me dire que c'était un symptôme de sevrage.Je les recommencais donc en ignorant que c'était dû au sevrage. Une fois que jeles reprenais tout allait bien mais j'étais comme prisonnière de ce médi. Cet été, j'avais oublier de les prendre 1 journée et je me suis sentie très mal et je suis retournée voir le doc j'avais pas le choix il me fallait une note de doc pour le travail. A ce moment il me les augmenté à 30 mg. Et là cette dose ne m'a jamais fait; déprime anxiété sévère plus capable de retourner au travail. j'avais continuer à les prendre car le doc me disait persévvère l'effet se fera ressentir dans quelques semaines. Voyant que je m'enfonçait de plus en plus j'ai tout arrêter pour ça et pour tomber enceinte. C'est drôle je me sens beaucoup mieux depuis que je les ai arrêter pourtant cette pilule aurait dû me relever. À 30mg cela me fesait pas du tout. Ce que je pense aujourd'hui, C'est qu'on est jamais assez bien renseigner sur les effets du sevrage mais crois-moi aujjourd'hui je le sais et je ne retoucherai plus à moins de n'avoir vraiment pas le choix. Quand j'y pense , cela à été un vrai cauchemard et la je me réveille. Je suis moi et je réussirai à passser à travers cela fait deux mois et tout va pour le mieux

Hey! Joyeuses Fêtes à toi!

Nikita

J'ai réussi à cesser la prise d'antidépresseurs et cela n'a pas été facile. Je dirais même que ce fut excessivement ardu. Il a fallu que je passe par toute une gamme d'effets de sevrage car, qu'on le veuille ou non, il y a définitivement un sevrage à subir lorsque nous décidons de ne plus prendre cette médication. J'ai eu des symptômes qui, curieusement, ressemblaient à ceux de la dépression grave qui m'avaient conduite à prendre de tels médicaments. On aurait dit un retour en arrière. Et oui, ce fut très, très long. En plus d'avoir des grosses boules d'angoisse, je fus prise de sudations nocturnes, d'agoraphobie, de douleurs musculaires et d'une sensation extrêmement détestable; celle d'être gelée; tout autour de moi semblait plastifié... j'avais l'impression d'être dans une autre dimension. En fait, de cela j'en suis persuadée, mon corps était en manque. Il a fallu environ trois mois avant que le "dégel" commence à se faire sentir. J'avais accepté ce traitement croyant que cela m'aiderait à sortir de ma dépression, et je me retrouvais avec un double problème... l'on ne m'avait pas dit que ces petites "pilules miracle" pouvaient causer une telle dépendance...Ce fut une longue histoire cette histoire...

Bonjour Nikita!

Oui j'ai eu de gros étourdissements et de fortes nausées mais, c'est parce que j'ai arrêté la médication de façon drastique suite a une tentative de suicide ( j'avais avalé plusieurs cachets) De plus, j'étais à l'hopital (suite à la tentative) alors, sous surveillance médicale très étroite. Je répète qu'il est important de cesser la méd sous supervision médicale parce qu'il y a une façon de les arrêter,il ne faut surtout pas tout cesser d'un coup.
La peur de la rechute, je crois, qu'elle fait partie du processus et qu'elle nous aide à bien prendre soin de nous. Elle s,estompe au fur et a mesure que je prend de l'assurance.
Je crois aussi que c'est normal de trouver bizarre ce que nous ressentons les premières fois parce que, en tout c'était mon cas, j'étais coupé d'elles. Chaque fois, chaque nouvelles sensations, ça m'insécurisait comme l'inconnu insécurise je suppose. Qque fois même, je me suis dis: c'était plus facile de ne rien ressentir mais, chaque fois aussi, j'en sortais plus forte et, chaque fois, avec des outils pour reconnaître et faire face à la prochaine.
Je ne crois pas que l'on puisse être trop à l'écoute de son corps et de ce fait, dramatiser les sensations ressenties mais, plutôt, que l'on apprend à ressentir et à ^^gérer^^ ce que l'on ressent. Au début ça parait gros et on a l,impression que l'on dramatise parce que, comme tout apprentissage, nous sommes maladroit. Ça nous parait gros parce qu'on leur laisse la place qu'elles ont si longtemps réclamées.

Nikita tu peux faire confiance à ce que tu ressens et en prendre soin.

Oui c'est bien vrai ce que tu dis. Moi cela fera 2 mois le 4 janvier que je ne prendrai plus rien. Je suis plus présente avec moi mais ausi par moment je dois être trop à l'écoute de mon corps à la moindre sensation bizarre j'ai l'impression de dramatiser mais après maintes fois je me fais à l'idée que ce n'est rien de grav. je n'ai pas été suivie de près par un médecin lors de ma transition c,est pourquoi je me pose des questions. Ce que je sais c'est que je me sens mieux, plus forte mais je reste toujours avec une crainte d'une rechute mais j'aimerai savoir si tu as eu des étourdissemnts avec lesquels tu te demandais si tu tomberais si tu irais prendre une marche ou une commission lors de ton début de ton sevrage car mainteneant après deux mois je ne ressens plus d'étourdissements mais je dois souvent me répéter là tu peux y aller tu ne tomberas pas tu n'a plus d'étourdissements et j'y arrive c'est comme si je dois me désensibiliser. Est-ce que tu as vécu cela lors de ton début de ton sevrage.

Merci

Nikita

Bonjour Nikita!
J'ai réussi à arrêter de prendre des antidépresseurs il y a maintenant 8 mois. Au début, mon anxiété était surtout relié au fait que je retrouvais mes idées plus claires et, surtout, que je ressentais les émtions dans mon être tout entier. Mon travail en psychothérapie a vraiment démarré à partir de `l'arrêt de la médication. Je suis plus présente à moi.
Pour ce qui est du corps, après 2 mois, d'arrêt complet des anti-dep, il est habitué à ne plus recevoir sa dose et a reprit, de lui même, le travail qui était remplacé par les anti-dep.
J'aimerais quand même préciser qu'il est correct de s'aider d'anti-dep pour se remettre sur pied et qu'il est important d'être suivi par un médecin. Autant quand il est temps de les prendre mais, encore plus, quand on veut décider de les arrêter parce que c'est une période transitoire importante et que le sevrage se doit d'être bien accompagné.

Rassures-toi Nikita, il est normal de ressentir!

car les entidepresseur augmente l angoise, alor sens doute quant tu arrete, tu n a pplus cette angoisse artificiel.
voila ciao