De nouvelles recherches avec des rats suggèrent, selon les auteurs, qu'un mauvais diagnostic de trouble de l'attention/hyperactivité chez des enfants traités au Ritalin pourrait favoriser la dépression à l'âge adulte.

Des rats ayant reçu du Ritalin alors que pré-adolescents, démontraient comme adultes un manque d'intérêt pour les stimulations plaisantes que les rats en santé aiment (la nourriture, le sexe et la cocaine) et abandonnaient plus vite dans des situations de lutte pour la survie (se sauver de la noyade).

Des travaux similaires, par une autre équipe de chercheurs, ont obtenu les mêmes résultats.

Selon les auteurs, ces recherches devraient inciter à s'assurer que le diagnostic de déficit de l'attention/hyperactivité soit prudemment posé à l'aide de séries de tests complètes et adéquates.

Source:
www.psycport.com