Personne ne s'entend vraiment sur la définition du joueur compulsif. C'est ce qui explique que personne ne s'entende non plus sur leur nombre. Selon un sondage réalisé par la firme Léger Marketing en septembre 2001 à l'occasion du Forum sur le jeu pathologique, 5 % des Québécois se considèrent eux-mêmes joueurs pathologiques. 



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