Ce bruit que j'ai appris à détester hier, le fracas des moteurs de l'avion à son décollage et qui ne défonce pas les tympans mais mon coeur, ouiii. Tu ne peux pas savoir! Non, désolé, je sais que tu sais et que tu pleurais aussi.
J'ai été forte à l'aréoport et je n'ai pas pleuré devant toi pour t'offrir mon sourire sincère en pensant plutôt à combien je t'aime et à ma joie pour toi que tu retrouves dans quelques heures tes êtres chers. Mais quand j'ai entendu ce bruit cruel! J'ai caché mon visage a mon enfant qui n'aurait pas compris et l'ai laissé seulement voir à notre ami malgré la laideur qu'il devait avoir marqué par une cassure crispé; celle de mon coeur.

Je n'avais jamais entendu un décollage avant celui qui t'as éloigné de moi. Je n'avais jamais laissé qqun à l'embarquement en retenant mes larmes. Et je n'avais jamais eu à laisser partir un amour chez lui si loin.Et encore moins eu une raison de retenir mes pleurs comme là je considérait nécéssaire de le faire a un moment si fracassant de douleur.

Je n'oublierai jamais l'effet du bruit du décollage. Seuls des mots qui n'existent pas encore pourraient décrire à sa juste valeur la sensation éprouvée. Ceux et celles qui l'on vécu sentent bien et se rappelle sûrement de quoi je parle.

Moi qui me veux sage, raisonnable, en contrôle et tout... Cette douleur montre bien qu'on ne contrôle pas tout, dans la vie.