J'ai besoin d'écrire tout simplement

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J'ai besoin d'écrire tout simplement

#0 Posté le par Capi

Est-ce qu’ils vous arrivent d’avoir les blues sans trop savoir pour quelle raison? Est-ce qu’ils vous arrivent de vous demander où vous en êtes dans votre vie et de vous rendre compte que finalement vous ne savez même pas qui vous êtes réellement et où vous allez?

Je ne sais pas ce que j’ai ce soir. Je suis morose malgré les bonnes nouvelles de cette semaine, comme si elles importaient peu. J’ai l’impression de me faire envahir par mes détresses antérieurs que je croyais réglées.

Ces Downs là m’arrivent à l’occasion, sans avertissement et sans raison. Enfin, s’il en a, je ne les vois pas. Pourtant j’essaie de faire une rétrospection sur les événements prédécesseurs, mais quand ils sont tous beaux, ça ne prends pas la tête à Papineau pour comprendre que finalement y’a rien , aucun élément déclencheur à cette situation, cet état d’âme qui pourrit mon vendredi soir. Je ne suis pas en dépression, si je poste ici, c'est que je ne sais pas où réellement mettre mon message, mais peu importe anyway.

J’ai le goût de me mettre en position fœtal sur mon lit et de serrer un oreiller entre mes bras et pleurer toute les larmes que je serais capable, chose que je ne ferai pas, car la position m’est inconfortable, puisqu’en même temps, j’aurais le goût de me défouler, faire de la boxe par exemple, ce que je ne ferai pas non plus, car j’ai le goût de pleurer... Alors dans l’inactivité totale de ma soirée dû par cet ambiguïté, je navigue sans aucun but sur le net. Je viens de regarder, pas que j’y pense, des sites sur le suicide. J’y ai été par automatisme, comme si mon subconscient, si on en a un, voulait me dire que je ne feelais pas ce soir. (comme si je ne le savais pas!) Quand j’ai réalisé ce que je faisais, j’ai finalement quitté le tout, car je n’améliorais pas mon cas et me voilà en train d’écrire un message autant sans but sur ce forum.

Inutile de vous dire que je m’enmerde réellement, car je déteste me sentir ainsi. Dans ces moments je me dis ça y est, je devrai retourner en thérapie, car je me sens carrément inutile et en train de rater ma vie. J’ai l’impression que tout ce que je suis, valeurs, intérêts, goûts ne sont pas réels à ma propre vie. Comme si je me les avais donné pour paraître ce qui serait bien aux yeux d’autrui, peu importe de savoir si je les aime ou non. J’ai l’impression de ne pas être moi, de n’être qu’eux, c’est à dire ceux qui m’entourent.

Est-ce que c’est ça une crise d’identité? Je ne sais pas! La seule chose que je sais, c’est que demain ou au pire après demain, je serai à nouveau sur pied, comme si rien ne s’était passé. Pas triste, seulement contente d’être en vie et de pouvoir profiter du jour présent et faire mon train-train quotidien. Est-ce parce que je suis atteinte d’un brin de lucidité ce soir, au travers de mon vécu en tant qu’automate et que je me rends compte que je gâche ma vie ou est-ce que normalement je suis réellement heureuse et que je suis juste atteinte d’un down?

Tout me paraît à double sens, rien n’est simple, j’ai le cerveau qui bouille. J’ai le goût de discuter de tout ça avec quelqu’un de proche, mais en même temps je ne veux pas qui sache ce que je suis ce soir, car ça me semble épeurant comme situation et que demain ce sera sans doute réglé. Alors c’est vous qui êtes au prise avec un message rempli de noirceur temporaire et j’en suis désolée, mais je dois continuer. Désolé, faut croire que je suis égoïste en plus d’être marabout.

Je ne sais pas, j’ai des événement datant de plusieurs années qui viennent hanter à nouveau mes pensées. Ils étaient pourtant réglés et j’avais pardonné à l’agresseur alors pourquoi finalement remontent-ils ainsi à la surface? Ils n’étaient pas refoulés j’en ai parlé mainte et mainte fois lors de mes thérapies il y a quelques années. On pourrait quasiment dire que j’ai abusé de la bonté des thérapeutes tellement que je racontais toujours le même bout de ma vie sans rien dire finalement. Serait-ce que j’ai tout perdu ce temps ou bien est-ce juste une petite faiblesse qui revient de temps en temps. Serais-je condamnée à vivre des jours de ma vie ainsi pour le restant de mes jours?

C’est con, mais après tout ce temps, j’aurais le goût ce soir de raconter tout ce que j’ai vécu dans le moindre détail, ce que je n’ai jamais fait jusqu’à présent, pour finalement pleurer à chaudes larmes dans les bras de quelqu’un qui finalement me rassurerait! Mais je me suis toujours dit et je me le dis encore, que ça ne vaut pas le coup. Le résumé en très, très gros fera la même chose et ce sera beaucoup moins d’apitoiements sur soi.

J’aurais parfois le goût aussi, quand je feel ainsi, de poursuivre mon frère pour ce qu’il m’a fait subir. Mais je sais que le lendemain je regretterais mon geste. La famille est assez brisée ainsi, faut pas en mettre plus sur la planche! De plus, je suis capable de pardonner et ce n’est pas la justice et la loi qui fera quelque chose de plus dans ma vie. En plus qu’il est déjà mal à l’aise et souffre de ce qu’il a fait, je ne vois pas pourquoi je lui en ferais subir encore plus. Il subit déjà sa peine!

Mais alors pourquoi suis-je dans cette état si tout me semble ok ainsi. Pourquoi suis-je en train de déprimer comme ça se peut pas et que je revis mon passé un petit peu n’importe quand comme ce soir? J’en ai vraiment ras le bol que ça revienne comme ça, mais heureusement ce n’est pas régulier.

Oups… Désolé c’est vraiment long comme texte. Je vais arrêter ça là, je vais aller me changer les idées en lisant un roman.

Merci de votre lecture!

Messages récents

Message #6

#6 Posté le par Capi

Salut MNorway!

Merci de ton support! mais tu peux écrire aussi ce qui te préoccupe dans ses temps ci, si tu veux. C'est un forum de partage et sûrement que ça te fera du bien autant que nous de l'écrire, même si tu crois que c'est différent, similaire de beaucoup ou de peu, ça pas d'importance, l'important c'est qu'on se comprenne tout de même! :)

bye!

Je te comprend!

#5 Posté le par MNorway
En lisant ta lettre,j´arrive facilement à comprendre ce que tu ressens au fond..car ca m´arrive souvent de tomber dans la deprime et ces derniers jours,s´et devenu plus frequent..quoi que ma situation et mon probleme soient tout à fait different du tien.Parfois j´ai envie de rester dans ma chambre et pleurer jusqu´à devenir aveugle.J´ai l´impression d´etre dans un tunnel où il n y a que noir.Mon medecin m´a prescrit un traitement que j´ai pas pris la moitié et cessé apres.je ne veux pas devenir accro des antidepressifs.Je ne repond pas à ta lettre pour te raconter mon probleme mais juste pour te consoler et la fille qui a repondu à ta lettre,si ca peut aider en quelque chose.
Dans mon cas,j´ai les moyens de voyager et j´aime beaucoupvoyager mais c´est le gout à la vie que j´ai perdu suite aux evenements qui m´ont toucher dernierement.
J´espere tout le bien pour toi et à Cyb.
Un Algerien vivant en Norvege.

Message #4

#4 Posté le par Capi

Salut Cyb

Ça va mieux moi ce soir. Je savais que ce serait de courte durée, mais maudit que je déteste me sentir ainsi. Je capote à chaque fois.

Je crois qu’il ne faut pas trop espérer du côté médical dans cette société, surtout celle du Québec. Des gens malades attendent par milliers pour se faire opérer et c’est physique, ça se voit! Alors imagine pour ce qui est du mental… lol J’aime autant mieux ne pas trop y penser.

Lorsque tu parles de voyages, c’est fou ce que tu me ressembles! J’aimerais voyager oublier ma vie, tout lâcher, quitter qu’avec un seul sac à dos vers l’aventure. Mais je suis loin d’avoir les moyens pour ça! Je paye un prix de fou pour un ti deux et demi en banlieue de Québec, donc je n’ai pas réellement les moyens de m’en laisser de côté. Mais je me promets au moins un voyage en Grèce avant ma mort. C’est mon rêve. Même si je mets toute une vie pour le réaliser, je serai énormément contente de le mettre finalement à terme.

Je suis certaine que tu es importante pour des gens autour de toi et qu’ils t’aiment. Autant que moi je crois ou j’espère autant l’être. Est-ce qu’on ne se fermerait pas involontairement à ses démonstration quand ça ne va pas? Puis pour ce qui est de ce complaire ou non dans le malheur, je ne crois pas que c’est possible de s’en complaire, même si je crois que si, quand je ne feel pas. Pour ma part, je ne veux tellement pas allé mal, que je ne me le permets pas et que je me dis que je me complais pour me punir par exemple.

Bon bien, je te laisse la dessus je vais aller me coucher des journées et des soirées comme hier et aujourd’hui m’épuisent et il est légèrement tard alors je vais rejoindre les bras de Morphée.

Fait attention à toi!

Message #3

#3 Posté le par Cyb

Bonjour, je sais que mes périodes de déprimes ont durer bcp plus longtemps certains moment, mais mon dieu, je ne veux pas être ta copycat, mais je me sens vraiment comme ça quand je déprime, presque que tout ce que tu dis me fais vibrer.

Je suis triste de voir que tant de personnes se sentent ainsi et la société ne fait pas vraiment grand chose pour nous aider et que tant que l'on soit le moindrement fonctionnels ils nous refoutes dedans en esperrant que rien ne claque pour nous... Je me sens souvent prête à claquer, comme si je sais que quelque chose va mal tourner et que ma vie va prendre un tournant auquel il fallait bien que je m'attende après tout.

J'ai 25 ans, je suis en appart, j'ai mon chat et je me trouve des colocs pour ne pas payer trop de loyer, je loue mes chambres meublée et je rencontre des colocs de partout dans le monde. Ma façon de faire le tour du monde avec le merdique budget que j'ai. Toute ma vie j'ai travailler à me faire des racines et à me rendre forte pour traverser la vie et cet hiver pour la première fois je ne voulais plus de ces racines, je voulais être libre et ne plus avoir cet appart à gérer et aller dans tous les pays de mes anciennes colocs. Je rêve de ça depuis quelques mois et je ne sais pas comment me sortir de ma situation financière pour réaliser ce rêve, je ne sais pas si c'est une façon pour moi de m'évader et de ne plus vivre dans ma réalité de vie plate. Je viens de commencer des études et ça ne ne plait pas autant que j'espèrais et je suis un peu tombée de ma bulle, je croyais ue ce serais si fanstatique... Et je suis en plus retournée à un emplois de merde, j'aime les gens, mais je me fais tellement chier là bas, pis j'ai une coupure salariale ridicule et je suis rétrogradée de poste.

Ha, je ne sais pas si c'est parce que je me complais dans la déprime, si j'aime me plaindre et je veux juste attirer l'attention. Mais ce que je ressens est vrai et je ne veux pas me faire plaindre des gens, je veux juste qu'ils disent que je suis importante pou eux et qu'ils m'aiment...

Message #2

#2 Posté le par Capi

Bonjour!

En effet Cyb, c’est peut-être les SPM. Je n’ai pas porté attention à ce phénomène. Ça serait logique aussi, car la dernière fois que j’ai eu le cafard ainsi, c’est lorsque j’ai créé mon compte sur psychomédia, le 4 février, donc ça remonte à un mois... J’avais les blues cette journée là aussi, mais finalement je n’avais rien écrit et ça avait passé. Alors ça concorde pour les SPM. Faudra que je vérifie pour en être certaine.

J’ai lu tes messages dans ta discussion. Je ne veux pas maximiser ta situation, ni minimiser la mienne, car de toute façon, ça ne se compare pas, mais je ne crois pas que je sois rendu à ce stade. J’ai déjà été par contre au fond de la fausse, il y a quelques années. J’ai eu de nombreuses hospitalisations suite à des tentatives de suicide, suivit de thérapies avec une médication assez forte qui me rendait complètement zombie. J’étais en arrêt de travail et je n’avais pas les capacités de retourner à l’école.

En 2002, j’ai cessé toute médication. Je me sentais merveilleusement bien et en 2003, j’ai cessé ma thérapie pour un manque de temps. Je faisais trop de supplémentaire à mon boulot que je m’étais trouvé entre temps. Bref ça fait deux ans que tout va comme sur des roulettes. J’ai 24 ans, j’ai toute ma vie devant moi, je crois aimer mon emploi, malgré que je sais que j’aurais pu faire mieux de ma vie si je n’avais pas pété ma coche pendant mes années d’études. J’ai mon appartement, minable par contre, avec la compagnie de mon merveilleux petit chaton.

C’était tout ce que je désirais à 16 ans, lorsque j’ai commencé ma première thérapie avec un coup de pied dans le cul que je m’étais assené, après qu’ils m’aillent ramassé à la petite cuillère. Travail, appart et chaton. C’était mon plan de match. C’est bien! Je ne dis pas le contraire. Mais finalement ce n’est pas l’extase non plus. Surtout quand je sais que j’aurais pu faire mieux si je n’avais pas pété les plombs, si je n’avais pas vécu ce que j’ai vécu, si j’avais été plus forte émotionnellement blablabla. Avec des « si » on peut aller bien loin, pas vrai?

Comme hier et comme aujourd’hui encore, j’ai l’impression que mes thérapies m’ont comme remis sur pied avec l’aveuglement de bien des automates de cette société. Suivre le courant sans me plaindre, patauger quelques fois plus ou moins vite selon mes compétences. Comme si on m’avait bouché les yeux en me disant : « tu nages dans le chocolat ma belle. Alors fonce! » et même si je trouvais que le chocolat avait un goût bizarre, ils ont réussi à me faire croire que c’était bon, mais finalement je suis laide et je suis dans la merde genre et non dans le chocolat…

J’ai vécu deux ans sans problème et me revoilà en train de chuter quelques fois par ci, par là. Est-ce normal ou vais-je me péter le nez contre un mur de béton bien vite? Je crois que c’est ce qui me fait le plus peur présentement. À chaque fois que je me sens ainsi, j’ai toujours peur de ne plus en ressortir. Je me dis que c’est de courte durée deux jours maximum, pour visualiser du bonheur, mais après, supposons que ça continue ou amplifie, qu’est-ce que je vais faire?

Puis si j’ai hésité à écrire la première fois, c’est que j’ai peur de me retenir dans mon malaise à force dans parler. Présentement, c’est comme si c’était flou, je sais que je ne feel pas de temps en temps mais pas plus. En écrivant, j’ai peur d’éclaircir des douleurs et d’intensifier certains points pour finalement me créer mon propre mur de béton, tomber dans ma propre fausse septique pendant l’accident et finalement patauger dans ma propre merde. Désolé pour le langage, c’est la seule façon que j’ai trouvé d’imager la situation tel que je la ressens.

Alors si je relis mon dernier paragraphe, je pourrais en convenir que finalement j’ai peut-être plus de choses refoulées que je le crois. Qu’il serait peut-être bien de retourner en thérapie, car je déteste me sentir ainsi. Mais entre mes crises, quand ça ira bien, qu’est-ce que je lui dit à psy? Ahhhh! La vie est belle, il fait beau, patati patata! Elle sera heureuse de se faire payer 45$ de l’heure pour ça et mon compte en banque sera le seul qui souffrira pendant ce temps! Je prendrai rendez-vous seulement en début de mois lors de mes SPM, si c’est réellement ça! Hihi Elle me fera interner, car je suis consciente que quand ça feel pas, c’est pas très jolie à voir. Heureusement que mes jours ne sont pas tous ainsi.

Message #1

#1 Posté le par Cyb

Salut capi, je te comprends tellement!

tu peux lire mon mail " je me sens si vide" et ça te ressemble bcp je crois. Presque tout ce que tu dis me touche et me fais réagir, je me sens souvent comme ça, mes période dépressive dure plutôt quelques jours mais c'est très semblable à ce que tu vis. Je veux mourir, je veux arrêter la souffrance je veux que ma vie ait ne sens et que je sois quelqu'un d'important, et je veux être bien dans ma peau.

Mais à la place, je me sens vide et insipide et tellement looser et je ne veux pas vivre ce genre de vie de looser, alors je me dis je préfère mourir que de vivre comme ça. Évidement je n,ai jamais passé à l'acte et je ne me suis jamais vraiment fait de plans pour m'enlever la vie, je suis trop curieuse de savoir ce que ma vie deviendra... Je veux voir si je m'en sortirais et si je deviendrais quelqu'un...

Je ne comprends jamais pourquoi j'ai ce genre d'épisodes, récemement j'ai eu des difficulté financières et je crois que cela à eu un impact asser important. J'ai aussi ces périodes quand mes règles s'en viennent, du genre 3-4 jours avant, c'est toujours pénible et je mange tout plein de chocolat... je ne dis pas que tu dois te sentir pareil, je veux juste te dire que parfois quand je ne sais pas pourquoi je me sens ainsi, ce sont souvent mes règles qui s'en viennent... Il est possible que pour toi ce soit autre chose un anniversaire important, une date que tu aimerais oublié ou juste un changement hormonal comme moi, je sais pas.

Je tiens surtout à te dire combien je partage tes sentiments, je vais bien depuis quelques jours et je me demande encore ce qui à pu faire toute cette différence en moi, si on lit mon témoignage ou bien mon mail on ne pourrait se douter qu'une semaine plus tard je sois sortie dans un club toute la soirée et que je me sois bien amusée... Je semblais si morte et prête à sauter....

Je ne sais pas quoi te dire, je n'ai pas eu de fais marquant pour témoigner de ma douleur, je n'ai eu qu'un famille disfonctionelle et une enfance un peu triste et mouvementé, mais rien de dramatique. J'ai fait une thérapie de groupe et je prends même encore un médicament, j'en ai tellement honte, les seules personne qui savent sont mon père et ma mère, je ne le dirais jamais à un ou une ami(e)...

Je me sens coupable de me retrouver comme ça à terre sur une base presque régulière, je voudrais que cela cesse et que ce soit enfin réglé et que je mennes enfin une vie normale et sans trouble émotionel. Je voudrais être normale et heureuse. Je vis sans cesse dans la peur de faire une espèce de rechute et de faire une gaffe et de ne jamais m'en remmettre, et d'ainsi rater ma vie, comme si un seul événement pouvait avoir un impact dramatique et irréversible sur ma vie, comme si j'avais une épée de damoclèse (?) au dessus de la tête et que jamais elle ne me quiterra. Je me sens comme si je serais toujours potentiellement looser et j'aurais toujours une chance de faire une horrible gaffe pour rater ma vie pour de bon.

Voilà ce que je ressens aujourd'hui et pourquoi je crois que nous vivons un peu des choses similaires...

À bientôt et prends soin de toi, n'hésites pas à revenir écrire tes malheurs si ça te reprends...