Selon une recherche examinant les réponses émotionnelles, cognitives et sociales, immédiates et à plus long terme, aux événements du 11 septembre, le degré d'exposition (la présence directe sur les lieux) aux attaques serait davantage prédicteur de détresse que le degré de perte (lien avec une personne présentes dans les buildings ou les avions). Les gens qui n'étaient pas personnellement présents rapportent moins de détresse. Les données ont été recueillies en novembre auprès de 1400 personnes au moyen d'un questionnaire anonyme sur internet.
Plusieurs personnes ont rapporté avoir découvert des conséquences positives inattendues comme des relations plus étroites avec les membres de leur famille et une plus grande appréciation des libertés accessibles. Il semble que certaines stratégies d'adaptation adoptées peu après l'événement comme le déni ou le renoncement à composer avec l'événement prédisent un plus haut niveau de détresse à long terme alors que des stratégies comme le recours à la religion et la recherche de support sont associées à des niveaux plus élevés d'émotions positives.

http://www.apa.org/releases/911coping.html