Des chercheurs américains soutiennent que ce trouble, qui se développe en réponse à une situation violente, pourrait être lié à la taille réduite de l'hippocampe.

Selon l'équipe de recherche, cette petite taille de l'hippocampe pourrait d'ailleurs constituer un facteur de risque de survenue de stress post-traumatique.

Source: radio-canada.ca/nouvelles/