Bonjours,

Je ne sais point par quoi commencer.La vie n'est malheureusement pas simple comme on le désirait. Plusieurs obstacles viennent nous perturber. J'ai maintenant 18 ans et en voie de guérison. À l'âge de 7-8 ans j'ai été violée par mon frère plus vieux alors qu'il avait 18 ans. Et en plus mon père me batait à travers ça sans arrèter. Les couteaux et les assiettes volaient tous bas et plusieurs cris de douleurs ce fit entendre dans la maison.Cela a duré pendant 3 longues années. Vers l'âge de 13 ans j'ai su ce que voulais dire vraiment ce que avait fait mon frère et mon père.C'était de l'abus sexuels et de la violence.

Ensuite je suis tomber dans l'alcool cette même année. De 13 ans à 15 ans j'ai bu pour oublier ce que javais vécue. L'alcool était le seul moyens qui se présentait à moi. J'ai eu de nombreux psys durant cette période. Mais à mes 15 ans,mon autre frère qui avait à ce moment 25 ans m'agressa sexuellement. Touchés et masturbation était d'honore. J'ai arrèter la boisson et je suis tomber dans les drogues douces.

L'année suivante j'ai décider de porter plaintes contre mes frères. Une trvailleuses social de la dpj, car je n'avais que 15 ans, est venue avec moi porter plaintes. Durant les procédures judiciares j'ai tombée dans les drogues dures(cocaïne, extazy,pcp etc... Pendant 2 ans c toujours rester pareil. Je prenais de la drogues plusieurs fois par jours et j'avais mes rencontres avec les travailleurs sociaux de la dpj plus la psychologue que je voyais déjà.

J'ai fait 4 tentatives de suiscide et cela m'a amené en pédopsychiatrie 2 fois. Après le centre d'accueil arriva,pendant 6 mois et un autre fois pendant 1 mois. à ma sortie du centre d'acueil d'un placemant d'un mois ,alors que j'avais 17 ans, j'ai été placé en famille d'accueil avec l'obligation de suivre une dexintoxe.Ce mois si je suis sortie de famille d'accueil parce que à mes 18 ans mon dossier de la dpj a fermé .

Aujourdh'ui je suis toujours ma desintoxe et vois encore une psychologue. À l'hopital la psychiatre qui m'as rencontrer m'a dit que je souffrais de la maladie mentale ''borderline" et de dépendance affective. Avec les années d'effort immences mon sort s'améliore de plus en plus. Je voie le chemin que j'ai accomplie et j'en suis très fière.

J'ai survécue à l'inceste de mes frères, à la violence de mon père, aux drogues dures, à la prostitution et le plus important le SUICIDE. Garder espoir tout peut changer pour le mieux!!!