L’enfants perdu


Dans se lomps couloir ou il fessait nuit noire


A’longer sur le sole humide et froid.


Je me souviens de toi


Tu ma prise pare la mains en me disant vient avec moi


Enfant insouciant que j’étais je tais suivi à pas de géants sans s’avoir ou j’allais


Tu tes servie de mon corps pour assouvire ta soif


Je me sentier perdu devants temps de visages inconnues


Avec mes yeux d’enfant jais croiser l’enfer de tous les temps


Au jour d’huit je cherche à fuir ton image


Mais sens vains tu reviens sensés dans mais cauchemar


Mais je sais qu’un jour viendra ou tu re deviendra pousser


Et la tu ne seras plus qu’une image lointaine


noemie