Les directeurs de la protection de la jeunesse ont rendu public leur bilan annuel.

Dans le contexte d'une augmentation de 10% des signalements au cours de la dernière année, ils s'inquiètent du manque de ressources pour remplir leur mandat (notamment expertise en santé mentale, déficience et toxicomanie) et du fait qu'ils sont aux prises, étant donné le manque de services offerts dans les CLSC et les écoles, avec des problèmes qui ne relèvent pas de leur autorité. Ce dernier problème sera accentué avec l'adoption de la loi 125 qui resserrera les critères d'intervention.

Les DPJ veulent développer des partenariats avec les autres ressources du réseau de la santé et des services sociaux. Elles rappellent qu'elles ne peuvent agir comme la porte d'entrée de tout le système.

Sources:
radio-canada.ca
www.cyberpresse.ca

Voyez également:

  • Loi 125: le Barreau ne croit pas que le ballottement des enfants va cesser
  • Dépôt du projet de loi sur la DPJ: facilitation de l'adoption

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