J'ai perdu le contrôle de ma vie.

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J'ai perdu le contrôle de ma vie.

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Une vie de merde? Oui ça existe!

Par où commencer… J’imagine que si je commence par le début, soit ma naissance, que le reste suivra… Enfin je l’espère bien!

Toutes les mère que j’ai côtoyer dans ma vie avaient cette information bien frais dans leur mémoire mais j’imagine que dès ma naissance, on aurait voulu oublier que j’existe.

Mes parents avaient déjà 2 grands garçons de 7 et 8 ans et espéraient très fort d’avoir un fille pour clore la parfaite famille recherché… Merde c’est un gars!

Durant mon enfance, c’était quand même bien mais j’ai peu de souvenirs sauf celui d’avoir souffert de solitude extrême, bien perché sur cette petite colline où se trouvait notre maison. Mes frères on jouis d’une parfaite enfance entouré d’autres enfants avec qui ils pouvaient jouer, explorer, rire, se quereller et vivre toutes autres évènements qui permets de forger une personnalité propre à chacun de nous.

J’essayais bien de suivre mais la différence d’âge était le principal obstacle à mon désir d’évoluer normalement. Mes parents s’assuraient assez bien que je ne risque de me blesser, me salir ou trop me fatiguer! Et si j’avais des petits copains de mon âge? Oui mais à 300 mètres de la maison et surtout, fallait-il oublier d’avoir la permission de m’y rendre. Mon seul copain lointain qui était pourtant si près, dont les gens disaient du mal : ‘’ Ne laisse pas ton enfant allez avec lui, il va l’influencer car il est mauvais, adopté! ‘’ J’ai souffert de cette phrase pendant bien des années par la suite.

Je me souviens de ne pas avoir eu de sentiments de jalousie, peine, tristesse ou de me sentir rejeté. Cela confirme que je suis né avec le sentiment que tout le monde est bienvenue autour de moi. On verra tout le mal que mes sœurs m’on apporté à ma vie malgré un amour aveugle que je leur porte toujours d’ailleurs.

Lorsqu’elle sont nés, j’avais déjà à mon actif plusieurs fugue’’ettes ‘’ à mon actif. J’utilise se terme en fait pour expliquer que je quittais le terrain en cachette pour assouvir ma soif et mon besoin d’avoir des amis. Les jeux de rôles avec ton ami imaginaire après quelques temps c’est assez je crois. Quelques fois je revenais sans que personne s’en rendent compte mais il y avait toujours une grande langue pour s’empresser d’aller le dire à mes parents, surtout mon père car les gens le savait très sévère, surtout à mon égard et quand ma mère l’apprenait et bien je pouvais avoir un immense anxiété tout le reste de la journée en attendant mon père qui allait assurément me servir un bonne tape et laissé moi vous écrire qu’il n’y a jamais eu de punitions alternatives à la fessé mais plutôt cumulative. J’avais le choix de plusieurs trio mais généralement c’était la tape, la chambre et privé de quitter le terrain pour des jours! J’y pense, on m’a jamais demandé pourquoi je désobéissais…

Je n’ai jamais ressenti l’amour de mon père, jamais de respect et d’écoute. J’ai toujours été plus débile que les autres, moins mature, moins intelligent.

Exemple numéro 1 : J’ai mon ami chez moi et mon père nous demandes de l’aider à couper du bois. Depuis longtemps j’espérais que mon père me montre à manier la scie à chaîne et je croyais ce jour là arrivé. À ma stupéfaction, il a donner la scie à mon ami du même âge et l’a laisser couper du bois! Mes sentiments à ce moment là s’explique difficilement mais il y avait une part d’humiliation et de sentiments de n’être bon à rien pour mon père. Je pourrais en raconter des anecdotes comme celle là mais je commence déjà à avoir une boule alors si je veux terminer ce mémo, je dois gérer ce que j’ai à dire pour ne pas m’effondrer.

Exemple numéro 2 : Celle là m’a traumatisé et j’y pense encore souvent aujourd’hui… Mon père a toujours pensé que le simple fait de dire ‘’ fait ceci comme ça, utiliser l’outil comme ceci ‘’, toute suite j’étais près à accomplir la tâche aussi bien que lui. Je descendais du champ du bois dans une brouette et c’était assez en pente alors mon père me cria : ‘’ Vas-y en biais! En biais! vas-y en biais j’te dis! Tabarnac tourne de même! ‘’ Et il criait de plus en plus fort! Moi, j’ai aucune idée c’est quoi ce terme là. Ce qui voulait dire c’est de descendre en zigzag pour éviter de prendre trop de vitesse, un peu comme quand on fait du ski. Je suis devenu en panique et je n’entendais plus ces explications mais plutôt des cris et il arriva ce que je redoutais, la brouette c’est renversé. Une fois en bas… euh non! Mon père est venu me rejoindre et j’ai reçu une de ces claques! Essayez donc de comprendre cette attitude et la réaction qui en suit, bonne chance! Encore là je pourrais vous énumérer bien d’autres fait du genre mais je crois qu’un suffira pour vous décrire le personnage.

Exemple numéro 3 : Mon père n’a jamais respecté ces promesses et ententes envers moi, sûrement parce qu’il n’en voyait pas l’utilité car j’étais acquis et comme j’étais le garçon de papa et bien on pouvait tout me faire… De même que mes frères… Ah oui mes frères… Idoles de mon père, ultime figure de réalisation parfaite et d’accomplissement de vie! Mais j’en parlerai plus tard… Il y a tellement d’exemple mais je vais en choisir un au hasard. J’aidais mes frères et mon père à bûcher du bois pour que mes frères le revendent pour payer leurs études… Je vous jure que je travaillais très fort mais j’ai foutrement rien reçu! J’allais le soir après l’école pitcher des grosses pitounes de bois pour revenir à la brunante, comme dans le temps des colons! Je détestais cela mais le faisais quand même, avais-je le chois? Alors voilà donc qu’un lundi je demande à mon père si c’est possible d’aller jouer avec des amis le mercredi soir car on planifiait une compétition et de plus, il y avait une fille qui me faisait pas mal d’effet. Mon père me dit oui à mon grand étonnement! Une fois mercredi arrivé mon père débarque de son travail et me dit : ‘’ Bon tu seras près dans 1 heures pour aller dans l’bois! ‘’ Je dis quoi??? Ce fut ma première vrai fugue! Mais je vous raconte un peu pourquoi j’en suis venu à la faire…

Mon père a commencé à avoir des problèmes à son emploi.
Mon père se faisait arnaquer par son propre fils et pour des milliers de dollars et les résultats scolaires oh lala! Je me souviens de cette première vrai montée de violence. Il avait frappé le téléphone et était venu dans ma chambre pour m’en passer une maudite bonne! Super je me sentais bien et pas du tout traumatisé…. J’en ai presque la larme quand j’écris. Suite à cette première il y en a eu d’autres et d’autres… Peut importe la gravité de mes actes, j’avais le droit au ‘’ all included ‘’! Balaie, rondin de bois, tisonnier, botte capé et j’en passe. Et il se cachait pas car je me souvient de cette journée, 3 jours avant la fête de la St-Jean Baptiste…

Il faisait super beau. Le feu de joie n’était pas fini et monsieur me demande à moi et beaucoup de jeune du village de l’aider à monter le feu le soir même! … Moi, comme je suis un gars vaillant et qui aimes, encore aujourd’hui, aider les gens je répondis par la positive. J’averti donc ma mère et lui dit que je rentrerai souper après le travail et c’était cool pour elle. Pour les rares fois que je pouvais socialiser avec des gens autres que ma famille et en plus en aidant , je me sentais utile et fier, j’avais un rayon de soleil en moi qui brillait très fort et je me sentait quelqu’un! STOP!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Il est 18h30 environs, heure à laquelle mon père arrivait de travailler car il faisait 1 heure de route matin et soir sans compter le voyagement dans le bois en 4 x 4 car il était technicien forestier. Je marchais avec la gang et on discutait de la fin du travail accompli et on devait se séparer pour engloutir un bon repas bien mérité. Les pneus crissent et j’aperçois l’auto de mon père qui vient vert nous à vive allure. Il stop le véhicule violemment et en sort agité! Il se mit à courir vers moi en me traitant de n’importe quoi et ce, en même temps que bien des coups de bottine à cap! Devant tout le monde! Je suppliais d’arrêter mais en vain… J’ai même pas eu le droit au r’accompagnement en véhicule, non je devais marcher vite et il me suivait à côté en criant à gorge déployé de me dépêcher!
J’ai eu le droit à d’autres claques une fois chez moi et j’en passe… Est-ce que je me sentait bien?

Exemple numéro 4 : Bon celle là est le plus belle exemple de cruauté gratuite de mon père et de mes frères. La preuve que je ne suis rien dans cette famille et que je ne mérite pas le respect. Cette événement m’a tellement affecté que je me rappelle même plus pourquoi c’était arrivé! Une chose est certaine c’est que mon père a bondi sur moi avec une grosse branche et a commencé à me fouetter… Je me suis mi à courir dans le champs et mon père me suivait en me fouettant… Et vous savez quoi? J’ai cette vidéo en mémoire, je supplie mon père d’arrêter en braillant et en courrant, mon père continuait en me traitant de toutes sortes de noms et mes 2 frères qui sont sur la galerie en train de rire de me voir me faire taper dessus, oui rire!

Je me souviens d’un élève qui avait peinturé les sièges d’autobus et quelqu’un avait appeler mon père pour lui dire que c’était moi! J’ai un une putain de correction et il m’a obligé d’aller m’excuser au chauffer qui était : Normand! Et vous savez quoi? Se n’était pas moi! le savait et il la dit après! Mon père a toujours cru tout ce que les autres racontaient sur moi, incluent le parent qui avait peur que ce soit son p’tit gars qui soit accusé! Comment mon père pouvait-il jugé sans preuves et explications, juste sur le oui dire!

Mon frère sorti tout à coup et se dirigea directement chez mon père pour lui raconter. Je lui suppliais tout le long du voyage pour ne pas qu’il lui disent… Vous connaissez la suite! En plus mon frère riait en faisant le trajet, je crois qu’il prenait plaisir à voir mon père me mal traiter!

Pourrais-je ajouter un fait à mon histoire. Ouvrez grand vos yeux!

Pendant que mon père me battait au gré du temps, mon oncle faisait de même! Peut importe où je n’étais jamais en sécurité. La pire fois c’est que je marchais dans la rue et il stoppa sa camionnette à côté de moi, ouvrit la portière sans la refermer et bing bang j’étais à terre à me faire taper dessus. Où la fois ou il a littéralement cassé un balaie sur mes genoux! J’en garde encore quelques douleurs et inconfort aujourd’hui! Après cette dernière crise de mon oncle, j’ai dû commencer à en parler à quelqu’un car ça ne pouvait plus continuer… Et du même coup, je racontais aussi pour mon père. J’étais dans un cercle interminable, mon oncle me battait, mon père me battait parce que mon oncle me battait et que c’était forcément à cause de moi!

J’en parlais donc à la travailleuse sociale de l’école et je vous épargne les détails de longues haleines mais cela a fini en cours et il fut accusé de voie de fait simple. Il avait même avoué aux policiers qu’il devait se contrôler pour ne pas trop me frapper sinon il pouvait me tuer!

Mes tantes ont tellement fait de la pression sur moi pour ne pas porter plainte contre mon père que j’ai du abandonner. Elles m’avait promis que mon père arrêterait! Foutaise!

J’avais pas de rage en moi mais de la colère! Ma mère qui ne faisait jamais rien pour m’aider même si je la suppliait. Elle a UNE SEULE fois dit à mon père : ‘’ Gérard bon là c’est assez! Cela va trop loin! ‘’ Mon père lui a lancé un regard et lui a crié : ‘’ Toi mêle toi pas de ça! ‘’ Ma mère c’est retourné pour préparer son poulet et elle pleurait! Cette image là aussi restera en moi toute ma vie.

Et que dire des menaces au couteau de mon frère... La pointe juste assez dans le ventre pour sentir le pincement! J’en garderai toujours l’image et la sensation.
Un moment donné, j’étais paniqué et j’avais une tel boule en moi! Je claquais les portes d’armoires et disais ma mère : ‘’Aides moi maman!! ‘’ Mon frère une fois était en vacance d’école et m’a vu faire une crise de panique alors il a tout dit à mon père! Mon père est allé voir mon oncle pour lui dire que je faisais des crises et il a reçu de bons conseils et les voici :

Une soirée mon père m’appelle de l’épicerie pour savoir si maman avait besoin de quelque chose… Alors que dans les faits, il voulait savoir si j’étais là! 30 minutes plus tard la police se pointe chez nous! Je savais pas trop ce qui se passait… Et bien voilà, il m’on regardé et dis que je devais les suivre! Ils m’on suivi dans ma chambre, regarder me changer et m’on fait sortir avec des menottes devant les voisins. Mon père avait demandé de me mettre en cure fermé pour des semaines parce que j’étais supposément violent! J’ai appeler mon père le lendemain soir pour lui demander de cesser cette mascarade et que le seul problème que j’avais était la peur de lui! J’ai passé une semaine là bas et y a le psy qui a conclu que je devais quitter la maison. Enfin quelqu’un qui me croyait! Je ne peux expliqué ce que cet événement a déclenché en moi mais beaucoup d’insécurité et la peur de voir la police débarquer pour m’arrêter et j’ai encore ce traumatisme aujourd’hui! D’ailleurs éveillé par un évènement à l’automne passé!

Suite à l’événement il m’offrait de me donner du BS et de me loger aux résidences du Cegep! Vous savez quoi? Mon père a appeler la directrice pour lui interdire de me louer… Heureusement que cela n’a pas fonctionner! Il m’interdisait aussi de m’approcher de mes frères et j’en passe.

Mon frère, laisse moi rire! Je sais je passe des bouts et ma chronologie d’événement n’est pas parfaite mais j’ai tellement à écrire! J’avais été à son appartement et il y avait son ami qui prenait de la drogue et sous l’effet il m’a tabassé et vous savez quoi? Mon frère regardait! C’est tout! Et bien pour éviter la violence j’ai sauté en bas d’un fenêtre… Je ne connais pas la suite mais quelques jours plus tard la police recevait une plainte pour méfait! Encore bien juste tout ça d’autant plus que mon frère n’était pas foutu de dire la vérité encore! Mais on verra plus tard ce que m’a causé cette plainte que je n’étais même pas au courant!

Je passe droit aussi le fait que mon père a accepté de me changer d’école! J’étais maintenant à 1 heure de la maison donc je devais rester la semaine en résidence mais vous savez, à 15 ans j’étais pas près à cela. Personne ne m’avait montrer comme se débrouiller, comme dépenser, comme ça marche dans la vie! Ce fut un déboire totale car je n’allais pas souvent aux cours, passait mes nuits à m’ennuyer et la pression de passer de 240 élèves à 3000!!! Pourquoi il m’a changé d’école… trop compliqué et trop long mais si jamais je survie assez longtemps pour rencontrer le lecteur de cette lettre, je prendrai ce temps.

À 18 ans, sans un sous, j’me suis dirigé à Montréal et j’y ai déniché une job comme aide livreur de bière. Cela a fini en merde et vous savez pourquoi? J’avais un mandat d’arrêt contre moi car je m’avais pas présenté en cours pour le truc de méfait dont je n’étais même pas au courant, surtout à cause de mon instabilité de logis! Je me suis fait arrêté et j’ai fais de la prison pour voir le juge ! Je raconte léger là mais vous savez, quand vous n’êtes pas un criminel, ne prenez aucune drogue, ni presque pas de boisson, que vous essayez de vous en sortir avec la plus grande honnêteté du monde, cela fait énormément mal à l’intérieur et laisse des traces pour la vie. Et cela devient des secrets si terribles et si humiliants que vous n’en parler jamais!

Après le juge ils m’ont retourné à car mon père ne voulait surtout pas de moi. Et mon autre frère, qui habitait Québec à ce moment là, j’avais l’inconscient rêve qu’il pouvait peut-être m’aider à me sortir de cette merdique de roue du malheur! Non je ne suis pas victime mais les faits sont les faits!

J’ai dû dormir à l’armée du salut! J’en tremble encore! Et j’ai dû essayer de m’en sortir avec mon insatiable énergie de vouloir trouver le bonheur et l’équilibre! Mais c’était quoi au juste? Malheureusement je n’avais aucun point de références à ce sujet!

Je suis fatigué d’écrire et je vais couper cela court car je sais que je vais avoir encore plus du mal à vivre durant les 2 prochaines semaines et que de toutes façons, je suis à la fin de mon chemin aujourd’hui! J’ai le choix entre partir, fuir loin où personne me connais et essayer de me faire une vie! Foutaise car toujours et encore mentir sur mon passé et le faut bonheur! Peut-etre bien rester et m’enfoncer encore plus et finir par m’éteindre de toutes façons!

J’ai toujours caché ma vie passé à mes amis de la ville. Toujours fait accroire que mon enfance était super! Même mon ex blonde qui n’a rien su pendant ces 5 années. Je ne suis pas violent donc personne ne peu se douter! Si mes amis savaient, ceux que j’aimes et à qui je ment, surtout depuis les derniers mois!

Aujourd’hui à faire le point il est évident que je n’ai pas de vrai famille, surtout quand je repense à quelques trucs comme :

C’étais ma fête et j’étais à , mon frère me demande de venir à pour me fêter… J’arrive et personne se pointe et après multiples appels mon autre frère me dit qu’ils ont décidé de fêter la sœur de l’ami et dont la fête était la semaine suivant! Déception une fois de plus, tristesse et l’estime, j’en parle pas assez mais j’en ai plus d’estime aujourd’hui!

La fois où mes sœurs on décidé de venir rester avec moi en appartement pour leur cegep! Bof j’en parle pas cela fait trop mal mais j’ai été littéralement abandonné une fois de plus par ma famille! J’ai tellement fait pour mes sœurs!!

Le pire dans tout cela c’est que ma mère ma tout avoué, qu’elle savait mais avait pas le choix, les regrettes de mon jeune temps, les remords et tout mais jamais elle le dit aux autres, que des excuses cachés! Mes parents on toujours voulu paraître parfait! L’image et tout! J’ai tellement de blessure de trahisons en moi! Tellement d’histoires et de souvenirs négatifs que je n’arrives plus à fonctionner et cette résilience que j’avais, cette passion pour la vie malgré tout je ne l’ai plus.

À l’automne j’ai subi un gros choc qui semblait moins dommageable qu’il l’est en réalité! Je me suis fait trahi et manipulé. Menti et menacé et je ne sais pas pourquoi mais cette épisode, je ne peux la filtrer comme je faisais avant! Je n’arrive pas à oublier avec le mal réel en dedans de moi comment les gens peuvent être aussi cruel! Je parle de mon Ex! La laisser ma coûté cher en argent mais très cher en énergie positive je n’y arrive plus. Je repense constamment à mon passé et toute cette merdique de vie dans le mensonge! J’ai menti pour certaines chose à des gens que j’aime et que j’apprécie dernièrement et je n’arrive plus à vivre avec cela! Je n’ai plus la force de mentir et de faire semblant, je suis tellement fatigué en dedans et j’ai mal! Ma vie n’est qu’un échec et n’allez pas me dire vos bla bla bla habituels. Quand on fait le résumé et qu’on regarde où je suis aujourd’hui le 29 août 2008, on ne peut que constater!

Je répète que je ne me considère pas comme une victime, je crois que la vie m’a foutu dans cette merde, qui sait qui j’étais avant dans une autre vie pour mériter cela!

Je ne sais pas à qui je vais envoyer cette lettre ou même, vais-je l’envoyer à quelqu’un? À un ami? J’aimerais croire que je puisse me confier sans conséquence sur notre amitié car mon expérience de vie m’a apprit de ne pas montrer tes faiblesses et de paraître toujours ride on! Pfff… Foutaise!!!

Oui j’ai été turbulant à mes heures, oui j’ai fais des petites espiègleries dans mon adolescence mais dites moi : Est-ce que je mérite d’être battu? Battu dans un coin de l’entrée et ‘’ vargé ‘’ toujours de plus en plus fort malgré que tu pleures en boule plus petit qu’un foetus dans ce putain de coin d’où tu ne peux t’évader que par l’esprit!

Ces dernières années, la relation avec mon père c’était grandement amélioré, il se disait rempli de remords. J’avais l’impression qu’il était sincère et l’apparence trompeuse de faux bonheur que certaines personnes on vu durant les dernières années c’est estompé dramatiquement durant les derniers mois! Mon père est redevenu ce qu’il était avec moi et a retrouvé son insensibilité d’avant. Et ce, malgré que ces jours sont comptés! Mon père va me regretter jusqu’à ca mort, je le sais! Je suis fatigué et il me manque cette étincelle d’estime de moi qui m’aurait permis de m’en sortir. J’ai trop de blessures, trop de déceptions, trop de squelette dans le placard!

Ma merdique de vie