Sevrage du Rivotril

Publié le

Anciens messages (page 5)

sevrage rivotril

#24 Posté le par DCF__9010

Bonjour Thomas,

Je reviens ici par hasard et comme je vois ton message, j'essaie d'apporter une vision perso bien que je sois un peu perdu aussi (n'hésite pas à m'écrire à mon adresse mail ci-dessus).

Sans revenir longuement sur mon "histoire", le problème que j'ai est un ensemble de symtômes mais dont le tableau clinique est un peu flou pour les psys que j'ai pu voir : beaucoup d'angoisse avec des crises dépréssives mais pas majeures + d'autres choses spéciques.
Comme je l'ai dit, j'ai essayé à peu près tous les AD sans vraiment de succès et les neuroleptiques m'assomment trop alors que les benzo classiques ne sont pas assez puissants.
Et le rivotril m'a bcp aidé tant dans mes angoisses que mes douleurs physiques.
Si j'ai arrêté ou tenté, c'est pas un concours de circonstance mais à ce jour alors que mon psy m'avait prescrit de l'effexor, sans succès, j'ai repris du rivotril.
Mais je n'ai repris qu'1/2 comprimé de mg par soi, ce qui est peu vu mes angoisses mais j'ai trop peur de revenir dépendant même si mon toubib me dit que si ça m'aide, je ne suis pas dépendant. Est-ce que le diabétique est dépendant à l'insuline?
Enfin pour l'instant, je me laisse la marge de passer à un comprimé de 2 mg comme avant et tant pis pour la tentative de sevrage car je ne prend rien d'autre et quand je lis que certaines personnes en prenait 6 comprimé par jour.

J'avoue ne pas avoir connu ce que tu dis même si c'est un des risques d'une benzo sur le long terme.
D'ailleurs c'est compliqué car c'est dépend de tes symptômes, du diagnostic, de ta tolérance...
J'ai 35 ans et j'ai "décompensé" il y a 15 ans et j'ai essayé bcp de choses en + des médocs : 2 thérapies dont une de 5 ans et qui a commencé par de l'hypnose et une de 2 ans. J'ai aussi fait des choses corporelles : shiatsu, rolfing, acupuncture etc...

En fait la question est de savoir ce qu'on a et quels sont les symptômes qu'on veut soigner...

En fait j'ai eu une prise de conscience par rapport à mes troubles et ce n'est pas les psys (en france) qui m'y ont aidé.
Après réflexion, je pense et suis convaincu d'avoir entre autre un trouble très polémique voire non reconnu, le trouble borerline.
Ca explique les angoisses majeures avec crises dépressives, les échecs des prises en charge thérapeutiques classiques (médicaments ou psychothérapie). Et surtout il y a d'autres symptômes : impulsivité, cyclothymie et j'en passe.
D'où l'efficacité d'un médicament comme le rivotril plus qu'une benzo classique.
Donc pour l'instant, je survis en prenant mon demi comprimé par soir. C'est juste pour avoir un traitement de fond léger mais ça ne résout rien surtout que je ne suis pas en thérapie pour le moment car seul dans mon coin mais grâce à une assoc française (appel.org), je discute avec des gens sur le trouble borderline pour mieux comprendre les choses, surtout que le psychiatre que j'ai revu ne reconnâit pas vraiment ce trouble alors que pour moi et après discussion avec d'autres personnes, je me reconnais dans le tableau clinique global. Quant à savoir que faire c'est une autre question car c'est trouble sévère et la plupart des personnes avec qui je discute sont sacrément médicamentés !
Donc aujourd'hui ma dose n'est pas suffisante pour calmer ma souffrance physique et mes angoisses majeures alors je vais peut être monter à 2 mg par jour mais c'est vrai que j'ai peur de la dépendance (mais si j'en ai besoin, je n'ai pas trop le choix) mais surtout de l'accoutumance qui est réelle.
Alors il y a d'autres médicaments. Certains disent qu'il est préférable d'avoir des neuroleptiques à petite dose car il y a moins d'accoutumance qu'une benzo. Mais c'est qd même des médocs lourds, avec effets secondaires... bref c'est un choix pas facile. Il faut essayer de se faire conseiller mais les conseilleurs ne sont jamais les payeurs...

Selon ce que j'ai pu lire et vu ce que tu dis par rapport à tes angoisses, as-tu essayer des neuroleptiques ? Es tu suivi ? Quel est ton parcours etc... ?
N'hésite pas à me mailer pour discuter.

Bon courage

Benzo

Sevrage du rivotril

#23 Posté le par DCF__7380
Pauvre Michel,en plus d'être difficile c'est que çà ne te soigne pas.Je prenais deux comprimés de prozac,4oo mg.de welbutrin et comme toi 6 comprimés de Rivotril et ce depuis plus de 2 ans.Le rivotril cause des restrictions pulmonaires et aujourd'hui,je dors avec une machine appellée c.p.a.p.Lorsque je suis démanége à Mont-St-Hilaire,j'ai demandé à mon nouveau pharmacien pourquoi il appellait mon médecin.Il m'a répondu que ma médication était anormale et deux mois plus tard suite à des questions, il m'a dit de changer de médecin.Mon nouveau médecin m'a mis tout de suite mis en sevrage rapide.Aujourd'hui je prend qu'un demi comprimé par jour et je réalise que çà ma rendu accro et dépendant de cette drogue et qu'avec un demi comprimé de Rivotril je commence à vivre.Si tu veus sortir de cet enfer n'hésite pas changé de médecin,j'ai pris avec confiance les médicaments et cela a fait de mois un homme qui aujourd'hui n'a plus d'assurance-salaire et vit sur le vieux gagné.Je fonctionne beaucoup mieux et je trouve criminel de donner ce type de médication qui te laisse à long terme avec des problèmes difficiles de sevrage,l'incompréantion de ton employeur de ton entourage car çà ne parait pas que tu es malade.Conseil,change de médecin,ton médecin essaie de te rendre confortable,il ne te soigne pas.Il est dépassé par ton cas.Bonne chance et donne moi de tes nouvelles sur le site.Signé Normand

Sevrage Rivotril

#22 Posté le par DCF__5360

Bonjour,

Moi aussi , j'ai essayé de nombreux types de médicaments pour apaiser mes crises d'angoisses et en 2001 , le Rivotril a eu un effet immédiat incroyablement positif.Mais,hélas, à l'heure où j'écris ces lignes, bien que continuant à prendre le même dosage ( 2mg/jour) , l'efficacité est en train de totalement disparaître avec ce qu'ils appellent la tolérance ( diminution de l'efficacité) et dépendance totale néanmoins car je ne peux m'empêcher de prendre mon comprimé chaque jour sinon ça va encore plus mal .

Quelle alternative thérapeutique et/ou médicamenteuse trouver face à une efficacité de plus en plus faible du Rivotril ( réapparition des oppressions respiratoires, troubles digestifs et j'en passe: je suis actuellement comme un invalide)et un sevrage des plus difficiles ... ?? Je suis dans une impasse face à cette foutue molècule de la famille des Benzodiazépines.

As-tu essayé l'hypnose pour essayer de traiter la cause de fond et non pas seulement essayer toujours de soulager les symptômes ??
En bref quelle ALTERNATIVE pour sortir de ce cercle vicieux dépendance-tolérance de cette benzodiazépine ???

Un énorme merci d'avance pour un éventuel éclairage

thomas

sevrage benzodiazepine

#21 Posté le par DCF__8351
salut a tous,je voudrais dire que j'ai completement arreter les benzo depuis 16 semaines et conserve toujours des droles de sensations,vertiges,crise de paniques,sensation de ne pas respirer proprement,troubles de la vue,douleur a la tete,petite depression,combien de temp cela vat durer je ne sais pas mais je tiendrai comme je l'ai dit je vais etre papa,je me dois d'etre un pere normal pour cet enfant.a tous ceux qui me lirons et qui passe par ce sevrage tenait bon on gagnera

sevrage du rivotril

#20 Posté le par DCF__3544
cé vrai que cest pas facile mais a 3mg par jour ca devrait etre pas si pire (cé pas une grosse dose) et en plus l'éffexor va surement t`aider pour ca.
bonne chance

Après la neurochirurgie...le Sevrage du rivotril

#19 Posté le par DCF__1166

Bonjour,

Comme beaucoup d'entre vous, je rencontre de grosses dificultés dans le sevrage du rivotril. J'ai 47ans et épileptique depuis tjs jusqu'au 15 novembre 2002, soit il y a un an date à laquelle j'ai été opéré en neurochirurgie de mon épilepsie. Voici un an que je n'ai plus aucune crise...courage à tous les épileptiques, des solutions existent désormais et sachez qu'après une ouverture du crâne sur 20cm, vous sortez de l'hôpital au bout de 7 jours seulement et sans aucune trace aparente!!!
Désormais ma difficulté est le sevrage des médicaments:
le neurontin, c'est fait avec des douleurs dans toute la patie abdominale(estomac, foi, intestins, etc....)
le rivotril...je n'y arrive pas. je suis passé de 1comprimé pris tous les soirs à 1/4 ou encore 5 gouttes. Mais déjà à ce niveau, j'ai de très fortes douleurs musculaires dans les jambes, mes muscles sont très tendus, tensions des maxiliaires, je dors 4heures par nuit. J'ai fait une tentative de 0/jour pendant 15jours. J'étais hyper angoissé, je ne dormais plus....alors que j'ai tjs eu un tempérament positif, créatif, gagneur,...etc, je ne me reconnaissais plus du tout!!
Coment remplacer le rivotril par une substance non txique mais et puisse nous aider??
Bon courage à tous les épileptiques, je suis un exemple vivant de la progression de la neurochirurgie...soyez patients mais n'hésitez pas à consulter à la Pitié Salpétrière à Paris
Alain

En réponse a Benzo

#18 Posté le par DCF__2913

Allo Benzo, je ne crois pas qu'anxiété généralisée avec symptômes dépressifs est une fatalité au sens où tu l'entends. L'anxiété peut à mon avis représenter une fragilité de la personnalité mais n'est pas une valeur absolue de la personnalité. C'est davantage un résultat d'un trop plein d'insécurité et d'un sentiment de perte de contrôle. Nous avons peut être besoin de plus de rassurance et de balises nous permettant de nous donner une direction qui fait du sens. Je remarque que l'anxiété est souvent le symptômes de peurs profondes que l'on n'ose pas affronter suite à un événement traumatique ou à une succession d'échecs ou de déceptions. L'anxiété épuise et nécessairement nous vide de notre énergie vitale. C'est là que les épisodes dépressifs arrivent. Accroche-toi! Reprend ta psychothérapie qui a fonctionné en 2003 et essai un sevrage plus progressif, très progressif du rivotril. Affronte tes peurs. Moi j'en suis rendue là. Et il y a la prière... Ça peut paraître bizarre mais cela a été pour moi un anxiolytique naturel efficace. Par contre tout dépend de tes valeurs... Crois en toi.

Bonne chance mon ami!

sevrage dur,dur

#17 Posté le par DCF__8351
salut benzo content de te faire remonter le moral pourrait-tu m'expliquer tes symptomes de sevrages et le temp ca m'aiderait a me rassurer bien cordialement
manda

Sevrage Benzo... Merci Manue et Manda

#16 Posté le par DCF__1195

Je reviens ici car ce forum est super... et si j'ai bien compris, je suis un peu au Québec.
D'ailleurs, depuis 15 ans d'angoisses profondes, j'ai quand même eu des "parenthèses" agréables dont souvent des voyages à l'étranger et précisément un au Québec... vous êtes très cool !

Pour revenir à mon "histoire", merci à Manue et Manda pour vos témoignages dont la sincérité me touche et les notions de "lâcher prise", d'"émotionnel" etc... sont effectivement sûrement les clés de cette prison dans laquelle je me suis enfermé.

Et ça me fait beaucoup de bien en cette période de lutte intense contre mes angoisses et sans "parachute".
Je dis ça car j'ai cru que j'allais lâcher et me relancer dans le circuit Psychiatrie + médicaments en désespoir de cause et "manque de pot", une analyse sanguine vient de m'apprendre que j'ai des taux de transaminases (foie) anormalement élevés.
C'est très étonnant car je ne prends plus de médicaments, je ne bois pas et suis vacciné contre hépatites A et B.
Je dois faire un examen complémentaire ce qui ne m'aide pas dans mes angoisses (hypocondrie) mais je le prends comme un refus de mon corps de reprendre du médicament, ce qui m'oblige à poursuivre dans la voie sans médicaments. Car j'ai bien conscience de leur toxicité pour le corps, surtout sur le long terme.
Et que dire du fait qu'en ce moment, j'ai (symboliquement) un problème de foi(e)...

Plus que jamais, merci à Manue pour le témoignage "féminin" et Manda pour le témoignage "masculin".

Je suis "obligé" de croire qu'on peut sortir du tunnel sans médicaments. La leçon de ma visite ici c'est peut être que les "autres" font partie de ces aides... Merci à vous deux.

Benzo

Ps : j'espère avoir d'autres témoignages de vécus de personnes qui malgré une vision de la réalité noire ou compliquée chronique (due à l'acquis dans l'enfance et/ou à l'inné ?) ont réussi à en changer après une longue quête et sans forcément prendre des médicaments à vie..

sevrage benzo

#15 Posté le par DCF__8351
Message modifié le 11-oct-03 à 04h18  (EST)

oui en effet le sevrage n'est vraiment pas une partie de plaisir,j'ai pris pendant 12 mois bromazepam 6mg/jour avec diminution progressive de 1.5 mg/mois maintenant je suis en arret complet depuis 8 semaines mais c'est pas encore gagne a l'heure actuel je fais de grosses crise de paniques avec un etat d'anxiete permanent,je reste dans le brouillard,des douleurs musculaires,des douleurs a la tete,sensation de vertiges,vomissements,et dernierement sensation d'etouffement,bref c'est pas une partie de plaisir mais je tiendrai,est ce que pourrait me renseigner sur le temp qu'il faut pour se sevrer.je voudrais dire aussi que mes attaques sont encore pires qu'avant de prendre ces benzo.je pense que pour tenir le coup au sevrage il faut une bonne dose d'energie,moi je la trouve dans le fait que je vais etre papa dans 5 mois et j'ai envie de mener une vie normal avec,dernierement je me suis retourne vers les plantes naturel et je trouve que ca m'aide beaucoup,je vous donne le nom si ca peut vous aider pour ceux qui sont dans la meme situation que moi "kalms" 3 a 6 gelules/jour et je voudrais dire aussi que ce site est super merci

Benzo, nous vaincrons !

#14 Posté le par DCF__7520

Si tu savais comment je comprends ton désespoir. J'ai peu près vécu les mêmes choses que toi avec les crises de panique et les sensations d'irréalité en sus. Ça fait trois ans. Il y un an, j'ai moi aussi cru que de me suicider demeurait la seule solution. Si ça n'avait pas été de l'image de mon père malade, qui est venue m'effleurer l'esprit au dernier instant et d'un ami qui est revenu de voyage à temps, je ne t'écrirais pas ce message aujourd'hui.

Mon état ne s'est pas encore stabilisé, mais je vais beaucoup mieux. C'est assez rigolo que je te dise ça aujourd'hui surtout que je vis présentement une grosse semaine de rechute à cause d'un nouveau contrat. Mais bon...

Benzo, la solution, c'est la quête d'une vie. On finit bien par trouver une solution. Et si les recherches demeurent infructueuses on en vient parfois à se dire que nous posons peut-être le problème à l'envers. Peut-être faut-il trouver la cause ? Peut-être faut-it tâcher de comprendre le processus ? Ou peut-être faut0il apprendre à lâcher prise. Lâcher prise... le FAMEUX lâcher prise... ça fait trois ans et je commence tout juste à comprendre ! LOL Je comprenais rationnellement ce qu'était le lâcher prise, mais émotionnellement, ça ne référait à rien pour moi. Les personnes au prise avec des troubles anxieux ont souvent de la difficulté à lâcher prise : nous voulons constamment tout contrôler et la perte de contrôle (contrôle émotif, contrôle sur sa vie, contrôle de son environnement)nous rend anxieux. C'est simple, nous ne savons pas comment lâcher prise. L'anxiété est le contraire du lâcher prise. Trêve de brainswahing ! ;)

Es-tu prêt à essayer de nouvelles choses ? Et surtout, surtout, malgré les échecs passés, es-tu prêt à poser un acte de foi ? (et pas nécessairement dans le sens religieux du terme)

J'attends de tes nouvelles bientôt.

Bises d'empathie
Manue

Sevrage rivotril

#13 Posté le par DCF__1195

Je viens ici en désespoir de cause car j’ai vu des discussions intéressantes.
J’aimerais savoir si vous pensez qu’une anxiété généralisée avec parfois symptômes dépressifs est une fatalité au sens où c’est quelque chose qui est ou devient structurel et chronique ou un désordre momentané ?
Comment changer cela quand on a essayé médicaments, thérapies et j’en passe ?

A 35 ans, mon parcours est le suivant :
Suite à un épisode viral il y a 15 ans, anxiété généralisée avec le cortège de symptômes psychiques et physiques.
Consultations de médecins, psychiatres, psychothérapeutes etc…
Prise de médicaments : antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques.
Essai de toute la batterie de l’époque sauf IMAO à cause de leur emploi difficile et le fait que j’étais plus anxieux que dépressif, même des médicaments qui n’étaient pas sur le marché.

MAIS CELA NE M’A JAMAIS AIDE DE FACON NOTABLE et j’ai souvent plus subi les effets secondaires.

En 1998, prescription de Rivotril : disparition des symptômes physiques et des symptômes psychiques les plus sévères.
En 2003, décision d’arrêter le Rivotril vu l’amélioration notable et parce que suivi thérapeutique en parallèle.
Résultat : malaise avec crise convulsive grave, Direction Urgences Hôpital.
Depuis plusieurs mois, j’essaie de lutter contre l’anxiété généralisée de fond plus forte que jamais à cause de tous les symptômes de sevrage.

Ayant l’impression que c’est un trait de ma personnalité et vu l’échec de tous les traitements médicamenteux ou non, je me dis qu’il n’y a pas ou plus de solution.
Et je ne veux pas d’une vie dans l’angoisse permanente donc qui ne permet pas d’envisager le lendemain. Et la seule solution que j’entrevois pour stopper cela est le suicide… simplement parce que je n’y crois plus alors qu’au fond de moi, je veux vivre mais pas comme ça.

rivotril

#12 Posté le par DCF__7706
Je suis présentement suivi par un psychiatre.Je prend présentement 2 mg de rivotril au coucher et.05 le matin et au souper. Je prenait effexor avec ca mais je vient de changer pour Zoloft car l'effexor me donnait de l'anxieté c'est un des effets secondaires possible de ce médicament. Ca va beaucoup mieux avec Zoloft amélioration rapide.

J'ai commencé a couper le rivotril le jour a raison de 1/4 d'un comprimé de .05 par semaine, faut pas aller trop vite, de la patience Je connais ca un peu c'est la troisième fois que j'ai a faire ce genre de sevrage. Je suis présentement le jour a 3/4 d'une .05 le matin et 1/2 d'une .05 au souper. Quand je commencerai le sevrage du 2 mg de nuit je prendrai du remeron en petite dose c'est a dire 7.25 mg le 1/4 d'un comprimé de 30 car le remeron (antidepresseur) prit a tres petite dose endort, je prendrai aussi avec le remeron une petite quantité de nozinan (neuroleptique) 6.25 mg le 1/4 d'un comprimé de 25 mg. Pas de dépendance avec ces 2 médicaments. J'entreprendrai bientot un thérapie de 3 mois en hopital de jour sur l'art de gérer mes émotions. Faut aussi vouloir s'aider et apprendre a se connaitre pour améliorer sa qualité de vie. Bonne chance )

les médicaments ont plusieurs fonctions

#11 Posté le par DCF__4028
Le rivotril peut etre utilise pour l'epilepsie, mais cela n'est pas vraiment une utilisation tres courante. On l'utilise souvent pour autres choses que l'epilepsie. Entre autres pour des secousses musculaires que l'on appel myoclonie. Certaines personnes l'utilisent aussi pour les aider a dormir ou pour diminuer l'anxiete. Alors il est tout a fait normal qu'on se sente fatigue car ce medicament cause de la somnolence.

Sevrage du rivotril

#10 Posté le par DCF__6763

Bonjour Michel,

J'ai eu l'occasion de prendre du rivotril associé à du Laroxyl en "anti-douleur" suite à un accident qui a fait que j'ai eu 2 nerfs du poignets complètement écrasés. Ca fait vraiment très très mal ! Comme personne ne voulait prendre le risque d'opérer pour réparer les dégâts, ils m'ont prescrit les 2 médicaments cités avant. J'ai pris ce traitement 10 mois avant le sevrage qui a duré environ presque 2 mois. Je t'assure que je ne savais pas ce qu'était un trouble panique, une agoraphobie, une crise d'angoisse...et j'en passe et des meilleures..., mais là, j'ai été servie 6 semaines environ après l'arrêt total du traitement ! Le 1er septembre 1998 est un jour que je n'oublierai pas, je te prie de le croire !

J'ai appris....plus tard, que le Rivotril, à la base, est donné aux personnes atteintes d'épilepsie, et le Laroxyl, à des personnes très dépressive. De plus, ces médicaments doivent être sevrés pendant au moins autant de temps que tu les as pris. Alors tu penses bien que 2 mois de sevrage pour 10 mois de traitement....ça l'a pas fait.

Il faut refuser ce médicament, Cela fait maintenant 3 ans que je suis en sevrage. Il me reste une dose minimum, mais il faut que je l'arrête vraiment progressivement, les effets secondaires à l'arrêt sont vraiment violents quand le sevrage est mal fait. On souffre aussi de troubles de la mémoire importants.
Bref....Si vous n'êtes pas épileptique....PAS DE RIVOTRIL !
Bon courage à Toi.
Sylvie

reponse

#9 Posté le par DCF__2794
salut lise comme toi j'ai ete greffe .j'ai fait un avc hemoragique a la suite de cela je prends du rivotril j'ai l'impresion d'etre dans un etat different un peu ailleur .je commence seuleument le traitement et je vais vite le terminer pour eviter une dependance je serais heureux d'avoir de tes nouvelles a bientot bob

Message à Ombrelle -vs- rivotril 25-06-01

#8 Posté le par DCF__6221

Salut Ombrelle,

Bon, cela est bien vrai, il faut prendre le temps, et choisir le bon moment comme tout dans la vie et j'espère Denise que tout va bien pour toi. Salutations, Céline XX

Michel -sevrage de rivotril- message d'il y a un an 08-01-01

#7 Posté le par DCF__6221

Salut Michel ! je n'ai pas lu les réponses que tu as pu avoir depuis ta question et j'espère que tu as réussi ton sevrage. Pour ma part j'en étais un moment donné à 6 comprimés mais de 2 mg. Cela m'a fait mal aux muscles surtout mème si le sevrage s'est fait graduellement. Maintenant je prend Remeron accompagné de rivotril .5 mg une fois par jour c'est beaucoup mieux qu'Effexor à +/- 275 mg et 6 comprimés 2 mg. j'ai fait un bon bout de chemin et j'espère bientôt éliminer complètement rivotril enfin lorsque la tempête dans ma vie sera passée. Enfin pour ce qui est des douleurs je t'affirme que c'est tout à fait supportable si en même temps tu fais un sport.

Salutations.

Céline XX

sevrage du rivotril

#6 Posté le par DCF__7764
Bonjour,
je suis une greffée du rein et après quelques mois de greffe, je suis tombée dans la déprime et l'angoisse...mon psychiatre m'a prescrit du Célexa 10 mg (ce qui n'est même pas la dose thérapeutique) et du Rivotril presque à volonté...il me disait aussitôt que tu en sens le besoin tu en prends une...il n'y a pas de dépendance....je n'ai pas écouté mon médecin, j'en prends seulement 1mg au coucher...il y a quelques journées où j'en ai pris plus quand l'angoisse était plus forte...mais à vous lire, je vois bien que mon médecin devrait retourner sur les bancs d'école...c'est une vraie cochonnerie ce médicament-là!!! vivement, je vais descendre ma dose au coucher pour ne plus en prendre du tout!!!
merci de vos témoignages!!!
Lise

rivotril?

#5 Posté le par DCF__2527
Suite à des céphalées de tension avec maux de têtes insupportables, on m'a prescrit du rivotril.
C'est très efficace, relaxant, mais c'est une vraie drogue!
On se sent bien et on augmente les doses au moindre prétexte!
Par contre le sevrage est très dur.
Et les troubles d'anxiété reviennent plus fort qu'avant!
Cà pa^raît dangereux!! On replonge et on ne peut plus s'en sortir!!!
Que faire!

Le seuvrage du rivotril

#4 Posté le par DCF__0390
Message modifié le 25-juin-01 à 22h36  (EST)

Bien certain que c'est possible le seuvrage du rivotril.. et il faut le diminuer à petites doses.

Pour ma part, ça fait 10 ans que je prend du rivotril et un antidépresseur le tofranil je crois, son équvalent est l'imipramine.

Mon médecin généraliste qui a pris la relève de ma psy m'a dit un jour. Madame, dans votre cas, il ne faut pas penser à arrêter votre médication avec tout ce que vous avez subi dans la vie.

J'ai suivi son conseil et maintenant je vis un jour à la fois avec cette médication. Lorsque je me sentirai capable de diminuer les antidépresseurs et le rivotril j'irai à petites doses pour maintenir mon équilibre.

Il faut savoir doser notre capacité à vivre sans ces médicaments.

L'an passé je me sentais prête à commencer une désintoxication mais il a fallu que ma mère nous quitte subitement en janvier dernier alors pas question d'arrêter quoi que ce soit.

Faut prendre le temps...

Denise

rivotril

#3 Posté le par DCF__7504
moi,j ai deja utilisé 2mg 4fois par jours!
avec un entidepresseur(anafranil) c est enorme
comme dose! je ne savait pas exactement de quoi
je souffrait, a la suite d une therapie je savait que je souffrait de panique(agoraphobie)la j ai
changer de medecin et le medecin ma donné du paxil
je me sentait deja mieux! ons a diminuer le rivotril, lentement et la je prend seulement du paxil a faible dose! c est possible avec de l aide
d un psycologue et non pas d un psyciatre. les psyciatre s enpresse de prescrire n importe quoi!
je pense quil faut asseyer de conprendre notre probleme et la avec un medecin consciencieux,diminuer le rivotril, ca marche!
maintenant je travail en hauteur et je ne fait plus de panique! bonne chance

Sevrage

#2 Posté le par DCF__2239
Bonsoir Messieurs,
J`ai moi-même pris du rivotril pendant 5 ans,jusqu`à 3 comprimés de 0.5 mg par jour avec du zoloft...100 mg par jour.J`ai essayer plusieurs fois le sevrage rien n`y fesait,par contre lors d`une période particulièrement heureuse pour moi(nouvel amour)j`ai réessayer et depuis ce temps je n`en prends plus du tout,j`ai commencer tranquillement graines à graines,j`ai baisser très lentement mes médicaments et ca a pas toujours été facile...
Je me suis dit que je méritait bien ca, je me suis aussi fouté de l`opinion des gens, si une grosse crise d`angoisse me pognait je l`acceptait et l`a vivait même si ca fait très mal à l`intérieur...
Maintenant que j`en prends plus je fais encore des crises de panique et d`angoisses mais moins fortes,on dirait qu`à force de prendre ces médicaments les crises deviennent plus fortes...
Depuis ce temps disons que j`accepte un peu plus d`etre nerveuse , anxieuse(anxiété chronique)et je me dis que mes vrais amis(es)resteront toujours...
Je n`aie pas fermé la porte a ce médicament qui m`a redonner mon autonomie et si jamais je redevient plus anxieuse, je n`hésiterais pas à les reprendre...
Bonne Chance Messieurs

sevrage du rivotril

#1 Posté le par DCF__3594

Bonjour Michel , moi aussi je consomme ce médicament controversé mais pour mon cas j'avoue que je ne subit pas de symptômes très sévères.

Cependant j'ai tenté 2 fois en 3 ans (avec la supervision de mon médecin)de cesser la prise du rivotril , mais sans succès puisque en quelques jours je suis devenu très malade.
Je souffrais d'effroyables tremblements ,d'anxiété très sévère et de fortes diarrhées...

J'aimerais bien moi aussi qu'un professionnel ou quelqu'un qui a subit un sevrage puisse nous renseigner.