phobie sociale

salut timide_NON_phobique ! :)

Tu es un mec ou une fille? (je demande sa parce que généralement on entend jamais parler des hommes phobiques, souffrant de phobie sociale ou autre, c'est très rare!)
moi aussi au début je croyais que c'était de la timidité, assez persistante chez moi et assez forte.. mais jusqu'au jour ou je me suis dit que sa me gachait vraiment trop la vie et que je voulais faire quelque chose pour que sa finisse et que je puisse "évoluer", depuis je consulte un psy, et c'est la ou j'ai "appris" que j'étais phobique sociale, au début je me disais, "ptain sa va un peu fort la... jme cache derriere quelque chose.... " :? mais petit a petit je me suis rendue compte que non tout ce que je ressentais comptait pas pour du beurre, et que je me détruisais dans ma tete aussi souvent que l'occasion se présentait, pas comme tel ado lambda qui na pas confiance en lui, qui est limite timide au début....
je ne sais pas vraiment les caractéristique de l'agoraphobie, mais ce que tu décri lorsque tu es avec des personnes, je le ressens aussi, et c'est une des caractéristique des phobiques sociaux (toujours peur d'etre critiqué, peur et crainte du jugement des autres, peur constante de l'humiliation meme dans une situation banale... genre on me demande si jai pa une clope jdis "non je fume pas dsl... " le mec me regarde comme une lépreuse du genre " t pa oblijer de me raconter ta vie.. " moi c ske je pense sur le coup dans ma tete alors qu'en suite je me dis bien que c'est con et qu'il est juste ennuyé de pa avoir de clopes :roll: )
enfin.... je suis completement daccord avec toi quand tu dis :

Le problème est que chaque rencontre ou discussion je rescensinmanquablement cette torture cerebrales, et je ne finis par ne penser qu'a ça... Tous cela mélé je n'ai plus la tête à la conversasion et répond que des bannalités affligeantes qui écourte a chaque fois la conversasion.
Du genre: "salut comment tu vas? et je repond: ça vas ! "
Et la c'est toujours la même chose je quitte la personne sans appronfondir la rencontre et je fini par me dire que vraiment la personne ne vas pas m'aimer, et la prochaine rencontre je la revois avec ce sentiment de rejet. Je pense toujours que la personne se rappelle que la derniere fois que je lui ai parlé j'ai été mediocre et j'engage donc un contact (dans le meilleur des cas, car en générale j'évite) avec mes préjugé qui remplisseent ma tête et ma conversasion est alors tous aussi pitoyable je n'ai pas la tête à ça, j'essaye d'interprêter toute reaction comme un signe d'antipathie envers moi-même.
on dirait que tu as lu dans mes pensées :D
jéprouve exactement tout ce que tu décris, quand je lisais jfaisais "oui" de la tete comme une conne devant mon ordi :lol:
moi lorsque je suis seule dehors, et que je dois me rendre a un endroit donné, jai TOUJOURS mon discman avec moi de sorte que jécoute tout le temps de la musique pour me créer mon monde et ne pas penser a autre chose et embellier les choses que je vois, les réactions des gens, et me distraire de mes pensées en fin de compte!
ce que je déteste le plus comme situations et heuresement c'est pas fréquent c'est par exemple chez le coiffeur pour peu que tu tombe sur un jeune super a laise, qui veut vous faire parler et toi qui balbutie "oui... lycée... ooh les études.. nan jsé pa tro encore..." fais que répondre aux questions vite fait et il se lasse bien vite je pense!
en général, les phobiques sociaux sont perfectionnistes (on la "détecté" chez moi ...) et donc on veut toujours faire les choses bien sinon a quoi sa sert? et en fait on attend trop de choses de nous par conséquent, on est noyé sous le flot de "demandes tro exigeante"..
mais "timide_NON_phobique" tu veux aussi des conseils pour apprendre a meiux gérer ton stress, tes émotions et tes idées? (japprends tout sa dans ma thérapie dc je peux te le fair partager! :) ) dis moi et jte passe tous les filons que je connais (jinvente rien! :lol: )
je crois que joubli des choses la.. mais bon je me relirais demain enfin tout a lheure (il é 2h11 dc bon... :wink: )
mais surtout di toi que tu nes pas seul(e) meme si les personnes autour de toi ne comprenne peut etre pas ton probleme, ne le prenne pas au sérieux, ( certaines personnes ont tendance a ne pas le prendre au sérieu autour de moi suaf ma mere et une très bonne amie a moi )
en tous cas je suis contente qu'on me parle ici :oops: .. yavé plus personne :cry:
ps: comme toujours je trouve que ma com crains trop et qu'on va me critiquer en lisant ce message... :roll:

nous vaincrons non de non :twisted: lool
n'hésitez pas a répondre! et a donner vos avis!

moi 8)

Voila j'ai 17 ans je suis en term S et j'ai apparemment le meme "problème" que vous. J'en ai jamais parlé a personne donc je me pensais bizarre, ou dans une certaine mesure très timide. Je me suis très clairement reconnus dans vos témoignages, depuis plus de 5 ans j'ai un énorme problème relationnel avec les gens et j'ai juste pensé que j'étai spécial. Mais je me suis rendu compte que je n'etais pas seul.
Non seulement vos témoignages m'ont aidés a prendre conscience de ma phobie sociale (je me pensai agoraphobe) mais aussi à décrypter des mécanismes que je pensai naturel que je rescent en presence d'autre personne que mon entourage proche.
Des expemples simples le téléphone qui sonne, je ne répond pas, je me dis que ce soir je ne veux pas parler, pas le temps etc. J'ose même plus compter le nombre de fois où j'ai pretexté une fatigue ou interdiction de mes parents pour sortir.
j'ai souvent peur d'affronter les gens que je ne connais pas, enfin je pense que tout le monde rescent cela. Mais moi c'est différent quand je rencontre une personne etrangère je me sens rougir quand je croise son regard. Dès mes presentation je me sens "nul" je me dis : pourquoi j'ai pas dis ça au lieu de ça, t'as vraiment été pathétique, regarde le petit sourire qu'il a il se moque de toi, il te prend pour un moins que rien, regarde eux la bas ils rigolent ils se moquent de toi, etc ...
Dans ses moments de panique je rougis, je sens un coup de chaud, je transpire et par conséquent me sens encore plus ridicule ce qui intensifie ma panique, c'est la spirale infernale... De pire en pire je fuis, détourne le ragard ou entre dans le silence. Et la je laisse les autres parler et m'enfoncent dans un sentiment de solitude inexplicable.
Le problème est que chaque rencontre ou discussion je rescensinmanquablement cette torture cerebrales, et je ne finis par ne penser qu'a ça... Tous cela mélé je n'ai plus la tête à la conversasion et répond que des bannalités affligeantes qui écourte a chaque fois la conversasion.
Du genre: "salut comment tu vas? et je repond: ça vas ! "
Et la c'est toujours la même chose je quitte la personne sans appronfondir la rencontre et je fini par me dire que vraiment la personne ne vas pas m'aimer, et la prochaine rencontre je la revois avec ce sentiment de rejet. Je pense toujours que la personne se rappelle que la derniere fois que je lui ai parlé j'ai été mediocre et j'engage donc un contact (dans le meilleur des cas, car en générale j'évite) avec mes préjugé qui remplisseent ma tête et ma conversasion est alors tous aussi pitoyable je n'ai pas la tête à ça, j'essaye d'interprêter toute reaction comme un signe d'antipathie envers moi-même.
C'est ce que j'appelle la spirale INFERNALE, je ne m'en sort pas, je ne sais pas comment faire.
Peut-être ais-je une mauvaise image de moi, pourtant je ne suis pas spécailement moche ou bête.
En classe j'essaye de prendre le plus de fois la parole, mais bon, je fais des efforts me force à parler avec les gens. Mais le problème c'est que en classe comme je connais depuis 2 ans tous les élèves je sens que ça sert a rien... Je suis dans un univers bien connu, j'en ai pas peur, je rescens ces situations d'angoisse en présence de personne etrangère, généralement j'ai des préjugés sur les personnes, me disant que cette personne ne vas pa m'aimer, ce moquer de moi etc
Pour vous dire un des moments les plus dure pour moi est devenue les transport en communs, je prend le car tous les matins et soirs pour me rendre au lycée. Et c'est une vrai torture, je n'en sort pas, chaque fois que je prend le car j'ai ce sentiment de paranoia, le sentiment que tout le monde me regarde, qu'on se moque de moi... Généralment quelqu'un j'ai quelqu'un d'étranger qui s'installe à coté de moi, c'est très dure, je lui repond à peine quand il me demande pour s'assoir, je retire simplement mon sac sans un mot et tourne la tête vers la fenetre. Le pire c'est quand le car s'arrete a un feu ou pour tout autre raison, je ressen de léger spasme, c'est dérangeant, je me sens épié sans arrêt. Je m'enferme dans ma solitude, j'écoute de la musique dans le car pour essayer de m'evader mais cette satégie ne marche que légérement et me coupe de toute discussion.
Voilà j'espère que mon témognage vous interessera, et vous aideras peut-être qui sais...
Si vous avez quelques conseils pour lutter contre ce fléau n'hésité pas.
Aidez-moi..... :?

deja un grand merci a "stephhh" et "oiseau_bleu_" pour mavoir répondu!
je sui tout a fait daccord avec tout ce que vous mavez dit:
tro sévere avec moi meme,je sai ke des fois peut etre je dépasse les limites et ke mes jugement sont trop injuste avec moi meme.. mai je me trouve si nulle ke je narrive pa a me défaire de cette idée!
Je le pense depuis si lontemps, que pour moi c'est devenu un automatisme! et je narrive pa a m'en défaire toute seule... mon psy ma dit de changer mes idées sur moi meme...
mais c'est impossible sans qu'on me prouve le contraire que ce que je dis est faux! par une preuve, pas par des paroles "mééé non.. t'es pa comme sa...." je ne le pense pa quand on me dit sa; il faut ke sa soit concret, sinon je pense que c'est de lappitoiement, ou parce ke ils ne veulent pa me faire de peine :? Pour précision si j'ai dit que " l'on ne peut se faire aimer " c'est que NOTRE attitude empêchera toute bonne relation d'amour.
Dans ton message tu en parles en disant que tu fuis certaines situation. Ce sont ces attitudes qui empêchent l'amour simple de prendre place. Ce n'est pas parce que l'autre te trouve gauche ou inintelligente, ou trouve ton humour débile ou bien d'autres que tu sites dans ton message.
En fait l'autre ne pense pas ça. Mais puisque tu images qu'il le pense alors tu te replies sur toi même comme pour assurer ta protection et tu fermes toute possibilité à une simple relation qui aurait pu devenir bonne. En fait tu mets tout en oeuvre pour t'assurer une protection externe alors que le mal ne vient pas de dehors mais bien de dedans. Tu ne devrais pas bâtir une palissade pour te protéger du dehors mais ouvrir ton esprit à une meilleure vision de toi.
je sui ENTIEREMEN daccord! je sais que c'est moi ki batit un mur ki fai ke japparai froide et distante, kil ne devrai pa y avoir a sinkiété.. mais je voi ladolescent kome kelkun de tré critikeur(ayant moi meme pas mal de préjugés sur les gens, mais jarrive a men défaire) (je pense ke les adultes sont moins critiqueur par maturité desprit :| )
je pense kils son tous a peu pres blasé de tous leurs ami(e)s tellement ils en ont connu et k'ils attendent de lextra par raport a une future amitié... (je c ke sa peu paraitre bizarre, et ke cest faux peut etre mai je le pense
---> concernant une partie des ados, pas tous.. )
je pense que les phobique sociaux ont trop didées préconsues, ki nont pourtant pa lieu detre; des fois kan je parle a mon psy, jme rend bien compte de la connerie de mes sentiments
lui ----> 8O et moi ---> :roll: ..
les gens en général ne prennent pa o sérieu ce genre de pb, te classifie direct kome la "timide de service", meme avec les profs on lenten bien toute la journé " ooh mai ne faites pa vos timides la??!!! participez!!" mé je ne DECIDE PA detre timide ou de rien lacher!
jme trouve dans une impasse ou j'ai pleinement conscience de mon mal etre plus ke jamais et ou je suis encore plu fragile que jamais face a sa, parce ke ce ke je di durant ma thérapie me blesse énormémen! :cry: ma mere di ke c tré courageux de faire une thérapie et davoir pri linitiative, je men rend compte!
maintenan des ke je fai kelkechose je pense direct "tu ni arrivera pa " "c'est nimporte koi ske tu di" et je pense encore plu ke les gens me regardent, mon psy dit ke c normal :x
javance tré lentemen, je ne pensai pa ke sa serai ossi long, car je ne voi toujour pa le "bout" et je persiste a vouloir etre "préparé" pour noel et le jour de lan.. parce ke pour moi sa constitue un véritable obstacle, je recommence lhyperventilation et jai tou un coup lorque j'y pense très mal au ventre!
je sais kil fo faire des exercices de respiration, je les fait chez moi, mais le résultat ne me satisfait presque pas puique ce sont mes pensé ki me genent le plus! des fois kan je sui pleine de confiance dans des situation ou je voi le moment "fatidik" bien loin jme di "tu va les épater" , "sa va etre bien" mais apres.. kan je sui seule je tien un tou otre discour! :oops:
cette peur me ronge, peur du ridicule, peur ke finalemen tou ce ke je pense pourrait etre véridik o yeux de gens ki ne me connaissent meme pa enfin de compte! et peur de retomber dans un isolement kome sa chak foi ou il y a du monde, pour peu ke je trouve kelkun ki naime pa les foules... jadore regarder les gens sans kon me remark, trankilemen et pas ke kelkun propose de faire kelkechose avec tou le monde réuni et la seule conne a dire non c ki?? :evil: moi.. dc la.. --> rabajoi, et lattention se focalise sur moi...
une pensé a démolir je trouve sa si difficile :(
j'ai toujours limpression dennuyer les gens,... rhaa.. modite moi
merci de maider, je vou en sui tré reconnaissante, et espere ne pa tro vou ennuyer :oops: ... a mapitoyer sur mon sort.. meme si je c kun jour j arriverai..
merci! 8)

Salut toi !

En lisant ton message je me suis reconnue lors de mes plus jeunes années. Mais vois tu je ne nommais pas ça de la phobie sociale mais plutôt une manque d'assurance en soi et surtout un grand manque d'estime de soi. Ma fille de 16 ans semblait avoir le même problème mais j'ai eu l'occasion de lui parler souvent de ça. Je n'ai pas toujours été tendre avec elle car peut-être trop directe mais voilà à peu près ce que je lui disais :

A tout âge la relation avec les autres a une grande importance et on ne sait comment avoir la meilleure relation tout en essayant de rester soi-même sachant que l'on ne s'aime pas. Ton jugement est complètement faussé par un manque d'estime de toi. Tu te juges en permanence avec beaucoup trop de sévérité. La plupart du temps tu es vraiment injuste envers toi même et n'acceptes pas le moindre défaut chez toi. A la recherche de la perfection du soi.
Rechercher la perfection est une très bonne chose mais faut-il être injuste et cruel envers soi pour y parvenir ? C'est certain que non. C'est justement l'inverse qu'il faut faire.

Pour bien faire il faut apprendre à s'aimer. Il ne faut pas avoir honte de s'aimer. S'aimer c'est la base de toute bonne relation avec autrui car si l'on ne s'aime pas l'on ne peut se faire aimer. Et pour y arriver il faut accepter ce que tu es mais de façon objective. Tu dois combattre tes pensées négatives car elles sont tes pires ennemies. Tu dois réussir à faire la part des choses entre tes pensées objectives et tes pensées destructrices.
La pensée est créatrice donc lorsque tu penses de toi que tu es mauvaise alors ta pensée sera aussitôt concrétisée. Essaye de t'entraîner en construisant des pensées positives à ton égard. Ce ne doit pas être trop compliqué car au fond tu sais que tu es injuste envers toi alors tu dois faire en sorte d'inverser tes pensées et les mettre au service de ton bien-être.
Il faut pour bien faire cesser d'avoir peur de t'aimer. Nous sommes tous égaux en droits et avons tous autant droit à l'erreur autant qu'à la réussite. Et ce sont nos choix qui nous font avancer dans la vie. Si tu choisis de continuer à te faire du mal alors le cycle continuera mais si tu choisis d'avoir de la sympathie pour toi comme tu pourrais en avoir pour ta meilleure amie alors tu inverseras le processus destructeur et tu te laisserras ainsi la chance de réussir ; Et ta réussite sera de t'aimer.

Pour précision si j'ai dit que " l'on ne peut se faire aimer " c'est que NOTRE attitude empêchera toute bonne relation d'amour. Dans ton message tu en parles en disant que tu fuis certaines situation. Ce sont ces attitudes qui empêchent l'amour simple de prendre place. Ce n'est pas parce que l'autre te trouve gauche ou inintelligente, ou trouve ton humour débile ou bien d'autres que tu sites dans ton message. En fait l'autre ne pense pas ça. Mais puisque tu images qu'il le pense alors tu te replies sur toi même comme pour assurer ta protection et tu fermes toute possibilité à une simple relation qui aurait pu devenir bonne. En fait tu mets tout en oeuvre pour t'assurer une protection externe alors que le mal ne vient pas de dehors mais bien de dedans. Tu ne devrais pas bâtir une palissade pour te protéger du dehors mais ouvrir ton esprit à une meilleure vision de toi.

N'ai pas peur de changer et surtout n'attend pas que l'autre change. L'attente n'est pas une bonne compagne de route. Tu dois agir pour te métamorphoser. Tu te considères comme la chenille en oubliant que tu es promises à devenir le plus magnifique des papillons.

Nous sommes tous des papillons qui méritions d'être heureux.

Surtout évite de projeter tes pensées dans l'autre car ainsi tu deviens ta propre juges en te servant peut-être de ton meilleur ami a venir.
N'oublie jamais que l'autre est tout simplement le meilleur moyen pour toi de te découvrir mais pour cela tu ne dois pas substituer ta penser à la sienne. Laisse lui au moins la chance de te prouver qu'il a ses propres pensées. Ce sera sans doute le plus beau cadeau que tu puisses lui faire. Alors si tu lui fais ce merveilleux cadeau en retour tu auras le plus beau cadeau du monde : l'amour
Donne à l'autre ce que tu veux qu'il te donne. Fais à l'autre ce que tu veux qu'il te fasse.

Je te souhaite la meilleure chance de réussite dans ta réalisation

OIseau_bleu_

Salut à toi,

j'ai vécu (et vis encore mais moins pire) le même problème que toi, la satanée phobie sociale. Perte de nos moyens en situation sociale, avec les amies des amies...Rien qui nous vient en tête pour meubler une simple conversation banale. Je me trouvais extrêmement pathétique. Inintéressante. Mais c'est faux! Les gens ne nous jugent pas aussi sévèrement que nous. Maintenant, je peux parler avec des inconnus dans des partys, j'ose "m'exposer", en classe je me fais de nouveaux amis. Mais avant j'étais un sacré bibelot! Muette comme une carpe, à sourire sans cesse. Il est possible de se sortir de ça. Dis-toi que beaucoup de gens vivent ça à différents niveaux. Un truc: rappelle-toi c'est quand la dernière fois que tu t'es ridiculisée pour vrai en public (gens qui rient de toi, toi qui a honte). Je suis sûre que ça remonte à loin, donc ça fait un bail que personne se moque de toi! La réalité est que le véritable ridicule n'est plus au rendez-vous. Je suis sûre que les gens en général sont intéressés par toi, mais que tu te critiques avant eux et que tu les prives de toi... Pense à ça, je m'en suis sortie, moi qui étais hyper phobique.

Bonne chance!