Marie, tristesse + féminisme.

Publié le

Anciens messages (page 4)

Marie

#36 Posté le par DCF__6538

C'est très interressant le lien que tu fais avec l'autorité de mon père et celle que j'ai sur moi. Donc, il serait possible que ce problème se règle par le fait de revivre mes expérience avec mon père. Entk, ça mérite réflexion.

J'aime aussi le fait que tu me dises que tu sens une émotion. Ça veut dire que j'avance et ça m'encourage.

Je te réécrirai.

Je t'embrasse fort.

Ano

ano

#35 Posté le par DCF__8440


Je comprends mieux maintenant.
Ca me fait plaisir que tu en parles de cette façon. Je ressns dans tes mots de l'émotion.
Tu as beaucoup souffert, mais ça ne veut pas dire que tu dois souffrir toute ta vie. J'aimerais que tu te montres à ton égard moins autoritaire que ton père ne l'était.

malheureusement, j'ai très peu le temps d'ecrire en ce moment. Mais je suis avec toi,

A bientôt, gros bisous,

Marie.

Histoire familliale...

#34 Posté le par DCF__6538

Bon, je décrirais mon père comme étant quelqu'un ayant une personnalité imposante. Contrôlant perfectionniste agressif. Il a perdu sa mère à 11 ans. Il a vécu par la suite chez sa grand-mère. Et pour lui l'échec est très douloureux. Autant le mien que le sien. Il panique lorsqu'il est confronté. Je le représenterais par l'acteur du père du suicidé dans "La société des poêtes disparus". Très critiqueur.

Pour se qui est de ma mère elle est une femme très positive. Dans sa tête, il ne lui arrive que des bonnes choses. Elle ne se souvient que de se qui est positif. Elle n'est jamais malade qu'elle dit. On a essayé de témoigner du contraire, il n'y a rien à faire. Pas de crédibilité lors de compliment.

Ma soeur est de type fonceur si tu lis "Le corps, le soi et l'âme". Elle a besoin de toute la place et a éritée du caractère de mon père. Elle est aussi du type positif à un point ou elle ne voit pas toute la réalité.

Évidemment, je ne me souviens pas du début. Selon Rosenberg je suis de type dissocié "comme si". Ma mère m'a dit que je commensais à être très rationnel très tôt, à 2,3 ans à peine. Aussi, j'ai perdu confiance en se qu'il me disait très tôt. Il ne tenait pas leur parole face à moi.

Je me souviens que jeunes, j'ai eu beaucoup d'otites. On me forçait constamment à aller dehors et j'attendais que le temps passe. Je me souviens que j'avais une amie à Québec, mais je ne me souviens pas de grands choses sur elle.

Je me souviens de très peu de chose sur se qui c'était passé avant mon premier déménagement. Au premier déménagement, je suis déménager à Ste-Foy. Et c'est là que ma mère à garder pendant un certain temps sa job à Chicoutimi. Elle partait et c'est là que mon père me faisait les leçons à sa manière écrasante.

Je me souviens que je pleurais beaucoup, j'étais très triste. Je me sentais écrasé et bousculé violemment. Je me sentais impuissant face à la situation. Quand me mère partait, je me sentais impuissant et je me sentais laissé à moi-même sans aucun recours. Je me souviens de l'école ou j'étais et de certaines personnes que j'ai connu.

Ensuite, il y eu un autre déménagement l'été suivant. Je me suis retrouvé dans la ville voisine. J'ai aussi changé d'école et je me suis retrouvé dans une chorale (l'école est une chorale). Je me souviens des fois ou il m'a engueulé dans l'auto parce que j'avais eu de mauvaises notes. Tout le monde savait que j'avais des problèmes avec mon père... Je me souviens que je tremblais lorsque je me fesais engueuler pour mes notes. Je me souviens aussi qu'ils m'ont obligé à jouer du piano alors que je n'avais pratiquement aucun intéret pour ça.

Après j'ai changé d'école parce que j'étais trop vieux pour rester dans la chorale. À l'école suivante, j'ai eu de mauvaises nos et ça a été le calvert encore une fois. Il m'engueulait si fort que toute la maison pleurait (mère et soeur). À cette époque je me plaignais beaucoup à ma mère, donc j'étais encore sensible.

L'année après, j'ai encore changé d'école, je me suis retrouver à côté d'un étudiant agressif et malsain. En plus de mon père et d'une gagne qui me niaisait. J'ai fait une dépression. Ça été très dur, la seule chose qui était interressante était de dormir. Je fesais tout en cachette de manière à ne pas me faire voir par mon père. Si je lisais, il m'engueulait parce que je que je nétais pas dehors. Et si j'étais dehors, il m'engeulait parce que je ne lisais pas assez. Et si je n'étais pas content, il m'engueulait parce que je n'étais pas content.

Ensuite quand je suis sortie de ma dépression, se fut le fin de mes problèmes je crois.

Entk, j'attends ta réponse. Je vais répondre à ton autre message demain.

Je t'embrasse fort.

Ano

ano

#33 Posté le par DCF__8440


Bonsoir ano,
Je suis bien entendu d'accodr pour t'aider si je peux.
Ce qui m'aiderait dans un premier temps, c'est que tu me racontes ton histoire familiale, que je puisse situer les évênements.
Ensuite, on pourrait revenir sur les évênements et tes émotions plus dans le détail.
J'ai besoin de comprendre mieux qui tu es, même si je commence à te connaître de plus en plus.

J'aimerais aussi que tu me parles en détail de cette troisième année, et ce qui fait qu'elle est une date charnière.

Je te fais de gros bisous, et te souhaite bon courage pour la suite. En tout cas, je suis avec toi, et j'apprécie cette discussion enrichissante.

A bientôt,

Marie.

Tu me fais réfléchir...

#32 Posté le par DCF__6538

Tu as bien vue. Ces choses ne me touchent pas et je me vois effecticement comme quelque chose qu'on peut améliorer sans fin. Je ne crois pas que se soit la cause du perfectionnisme, mais plutôt une concéquence.

Je me suis dissocié de mes émotions parce qu'elles étaient trop dur à vivre (se qui fait que mes défaults ne me touche pas) et je suis devenu perfectionniste parce que mes parents étaient critiqueurs.

J'ai trouvé une solution!!! Si tu pouvais m'aider ça serait génial. Bon c'est qu'il faut que j'écrive sur mon passé, mais plus précisément sur des situations ou je me suis senti abandonné. C'est qu'il faut que je trouve le moyen de pouvoir écrire se qu'il y a dans mon inconscient et une personne qui m'écoute et me répond, ça peut m'aider beaucoup car elle peut mettre le doigt sur certaines choses que je ne veux pas voir. Et comme tu sembles bien sentir les choses, je pense que tu peux m'aider.

Bon je vais te conter certaines choses.

À chaque fois que je pense à relation amoureuse, je pense tout le temps à divorce et à la situation ou je perds mes enfants et que je dois payer des penssions. Et évidemment, ça me fait peur.

Quand, j'étais en 3e année du primaire (la fameuse année) et que ma mère s'en allait de manière à se que se soit mon père que prenne soin de mes leçons, je me sentais abandonné et délaissé. Mais je pense que se n'est pas tout dans le conscient. Je savais se qu'il allait arrivé avec mon père. J'enticipais les leçons et ça faisais mal. Je me mettais à avoir peur de quelque chose qui n'avait pas le choix d'arrivé, alros je me sentais très impuissant. Ça fesait très mal d'enticiper une situation ou j'allais me faire écraser.

J'ai beaucoup de difficultés à rester présent!!!

J'ai très peur de me retrouver avec une femme avec qui je ne suis pas capable de dire non.

Entk pour tout de suite ça va être ça. Si tu peux me poser plus de questions sur se que je viens de te dire, ça m'aiderais.

Je t'embrasse fort.

Ano

ano

#31 Posté le par DCF__8440


J'ai trouvé ce qui me fait dire que tu ne t'aimes pas assez.
Je me trompe peut être, mais je te dis juste ce que je ressens.
La façon dont tu decris tes blessures, j'ai l'impression que ça ne te touche pas. Tu donnes une impression de froideur pour toi même. On dirait que tu te considères comme un robot qui doit être ammélioré pour être efficace. De là ton souci de parfection.
Le problème des robots, c'est qu'ils ne peuvent pas être heureux.

Mis à part ça, je suis très contente pour toi pour la proposition d'emploi. Pour moi, ça prouve que tu travailles bien. C'est chouette d'être reconnu dans son boulot, de se dire qu'on est doué. N'hésites pas à te réjouir, c'est cool ce qui t'arrive. Tu peux être fier de toi et heureux.

Je te fais de gros bisous, et attends ta réaction à ce message.

Gros bisous,

Marie.

Marie

#30 Posté le par DCF__6538

Juste te dire que je n'aurai probablement pas le web pendant plusieurs jours. Mais je voulais te partager se que j'ai dis à Mousseline:

"C'est qu'aujourd'hui, j'ai eu un vraiment drôle d'événement. Je me suis toujours considéré comme étant plus ou moins bon, tout en l'associant au fait que je suis stagière et que je commence. Ben aujourd'hui, j'ai reçu une offre d'emploie d'un de mes employeurs. En même temps je me suis content et fier, et en même temsp j'ai senti que j'avais encore beaucoup à faire avant d'être bon, mais je ne sais pas pourquoi. Autrement dit, je pense que je n'ai pas accès à se générateur de sentiments de ne pas être assez pafait. Il probablement inconscient."

Si ça peut aider ta réflexion.

Je t'embrasse.

Ano

Faiblesse

#29 Posté le par DCF__6538

Je vais commencer par les faiblesses que j'essaie d'enlever parce qu'elle m'empèche de fonctionner:

1-Ma difficulté à établir des contactes. (Peur des engagement et de me faire avoir)

2-Ma difficulté à être efficace quand je travaille. (Pas assez présent)

3-Mon perfectionnisme qui m'empêche d'être heureux.

4-Le fait que je m'écroule trop facilement sous pression et devant les difficultés. (dû au perfectionnisme).

Celles qui m'humilient:

2,4

5-Le fait de rester paralysé devant l'agressivité et de perdre ma confiance vis à vis des personnes agressives.

6-Le fait de ne pas être capable de m'exprimer de manière à me faire respecter dans certaines situations ou des personnes ne me respectent pas.

7-Le fait de savoir que je pourrais être dominer par une éventuelle partenaire.

8-Pleurer, m'humilie même si le fait de ne pas être capable de pleurer me frustre aussi.

Celles avec lesquelles je vis bien:

9-Ma difficulté supporter le monde longtemps.

10-Mon manque de flexibilité qui fait que j'ai de la difficulté qui me limite parfois.

11-Ma difficulté à rencontrer des femmes.

12-Ma difficulté à prendre des initiatives au niveau sociale.

13-Mes difficultés au niveau scolaire.

14-Ma difficulté à exprimer mes sentiments positifs.

Bon, c'est pas mal tout se qu'il me vient à l'esprit dans le moment, mais je saia qu'il y en a plein d'autre avec les quelles j'ai appris à vivre auxquelles je ne pense pas.

Bon, ben dis moi se que tu penses.

Je t'embrasse fort.

Ano

ano

#28 Posté le par DCF__8440


Ce que j'entends par manque d'amour est difficile à expliquer. C'est plutôt quelque chose que je ressens en t'écoutant parler.
J'ai l'impression que ta volonté de perfection t'empêche de t'aimer comme tu es. Je sais que ce n'est ps la première chose que tu veux changer, et pourtant accepter tes blessures et ce que tu es passe aussi par accepter que tu n'es pas parfait.
Et si tu me parlais de ces faiblesses, de ces blessures ?

Je t'écoute, et en attendant ta réponse je vais tâcher de trouver ce qui me fait penser que tu ne t'aimes pas assez.

Je t'envoie de gros bisous, et toute mon amitié,

Marie.

Ici Marie

#27 Posté le par DCF__6538

Pour se qui est des étapes de développement, je vais te répondre un peu plus tard sur l'autre discution. Juste peut-être dire que vu ma blessure, tant qu'elle ne sera pas réglé, je vais toujours avoir un sentiment dans mes trippes que je peux et que je dois faire mieux. Et ce même si les idées disent le contraire. Pour régler le problème, il faut donc accepter cette partie de moi et non commencer par vouloir changer ça. Entk pour moi c'est clair que ça doit se passer comme ça. Pour l'instant, c'est de régler les problèmes du aux blessures de l'étape du renforcement de soi. Ce qui devrait régler du même coup le problème du perfectionnisme permanent.

J'aimerais que tu me parles plutôt de se que tu entends par manques d'amour pour moi-même car c'est un élément important dans ma thérapie.

Je te réécrirai plus tard pour se qui est de l'expression des émotions et autres.

Je t'embrasse.

Ano